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jeudi 5 septembre 2019

[Chronique] Equilibrium - Renegades

Je dois vous avouer une chose, je n'ai pas écouté l'album précédent d'Equilibrium, Armageddon, sorti en 2016, la raison étant plutôt simple et tient dans ma chronique de leur album Erdentempel, qui était une titanesque daube médiocre de folk débile, partant de là vous imaginez bien que j'avais autre chose à foutre de ma vie que d'écouter un nouveau méfait du gang de René Berthiaume et de sa joyeuse bande d'intérimaires jetables.
Aujourd'hui, cinq ans après le dernier album d'Equilibrium que j'ai écouté, j'étais bien disposé à donner une nouvelle chance aux allemands, enfin quand je dis donner une nouvelle chance, ça veut dire m'autoriser une perte de temps en sachant très bien que ça aller être de la merde dans l'ensemble tout en espérant qu'il y ait quand même deux-trois morceaux pas trop dégueulasses dans le lot... et putain Renegades a surpassé toutes mes attentes, je ne sais toujours pas ce qu'il s'est passé il y a trois ans, mais putain de merde j'ai rarement entendu un tel désastre, Renegades est un album tout bonnement incroyable du début à la fin.

dimanche 14 avril 2019

[Chronique] Eluveitie - Ategnatos

Eluveitie est malheureusement un groupe prolifique et très régulier dans ses sorties, on y a droit tous les deux-trois ans, inlassablement les suisses nous balancent leur mauvaise contrefaçon des plus mauvais riffs de Dark Tranquillity avec une tonne de pipeau et de bignou par dessus, une formule qui lasserait normalement n'importe qui sauf dans un genre comme le Folk, qui est un genre très particulier, à 99% composé de gros beaufs, de gamins avec de l'acné, et la fameuse ménagère probablement fan aussi de Within Temptation, les abrutis en kilt en festival avec leurs cornes en plastiques achetées chez EMP sont généralement des fans d'Eluveitie (et souvent aussi d'Amon Amarth), un positionnement malin de la part du groupe suisse, car le beauf est ce qui fait vivre la scène Métal™, c'est le beauf fan de folk qui achète des tonnes de merch et des cds, il s'en bat les couilles de la musique, ce qu'il veut c'est danser la gigue avec ses potes, et c'est précisément ce que lui donne Eluveitie, partant de là, personne ne sera surpris de la complète médiocrité de ce nouvel album, qui se vendra donc par palettes entières...

vendredi 29 mars 2019

[Chronique] Cellar Darling - The Spell

Cellar Darling c'est le groupe monté par Anna Murphy, Merlin Sutter et Ivo Henzi après leur départ fracassant d'Eluveitie en 2016, les suisses n'avaient pas traîné à sortir un premier album, This is the Sound voyant le jour en 2017, et le moins que l'on puisse dire, c'est que le résultat m'avait laissé plus que perplexe... mouais, en fait pour parler plus simplement l'album était plutôt médiocre, bancal, et montrait plutôt un groupe qui ne savait pas vraiment où aller, tout à fait le genre d'album qui aurait dû marqué la fin de ma relation avec le groupe.
Seulement voilà, deux ans plus tard, Cellar Darling (quelle nom de daube quand même) a sorti tout un tas de singles tiré de son second album et c'était largement plus convaincant qu'il y a deux ans, de quoi me pousser à me taper The Spell et à vous en pondre une chronique, et je dois bien vous avouer que je n'ai pas vraiment perdu mon temps, c'est pas du génie mais The Spell est enfin conforme aux quelques promesses disséminées sur son premier album.

vendredi 15 mars 2019

[Chronique] Týr - Hel

Il y a peu de groupes qui sonnent comme Týr, en fait il n'y en a aucun, ce qui est étrange vu le caractère très balisé de sa musique, un melting-pot où s'entrecroisent le Folk, le Power Metal, les relents Thrash, les hymnes guerriers, au sein d'un enrobage progressif, les ingrédients sont plutôt convenus, mais malgré tout, Týr a toujours su créer un truc qui n'appartenait qu'à lui, un son unique, inimitable, dont eux seuls ont la recette, une recette qu'on avait presque oublié parce que ce nouvel album met fin à une longue période de silence radio puisque six ans séparent le brillant Valkyrja de cette nouvelle offrande du porte-étendard du Metal des Îles Féroé.

mercredi 12 septembre 2018

[Chronique] Windfaerer - Alma

Windfaerer est un petit groupe sympa que j'avais découvert il y a trois ans avec leur deuxième album Tenebrosum, c'était marrant de voir un groupe américain aborder comme thème les mythes et légendes de la péninsule ibérique, mais surtout, le groupe était très bon dans ce qu'il faisait, à savoir du Black Folk avec quelques touches de Death mélodique, Windfaerer évolue dans ce genre typiquement américain qu'est le Cascadian Black Metal, qui est devenu la case où l'on range tout ce qui est Black avec du Folk et du violon, enfin, tout ce qui est plus ou moins mélodique et naturaliste.
Mais passons, tout ça pour vous dire que ce nouvel album de Windfaerer, j'espérais qu'il soit excellent et j'en attendais probablement trop, car la vie c'est de la merde et une salope qui vous crache à la gueule au moment ou vous vous y attendez le moins, car contre tout attente, Alma m'a irrémédiablement déçu...

mardi 26 juin 2018

[Chronique] Cor Scorpii - Ruin

Au commencement fut Windir, puis mourut Valfar en 2004, ce qui provoquera la fin du groupe et la créations de diverses entités dans le but plus ou moins assumé de perpétuer l'héritage de Windir, deux principaux groupes formés par les anciens Windir, Vreid et Cor Scorpii, un Vreid qui a globalement évolué vers autre chose au fil des années, et qui surtout a une carrière régulière, ce qui n'est pas le cas de Cos Scorpii, le groupe qui nous intéresse ici, puisque depuis son premier album Monument en 2008, le groupe a sorti... que dalle, rien, nada, juste le vide, ce qui est plutôt con pour les fans puisque Cor Scorpii est probablement ce qui se rapproche le plus de l'esprit de Windir, et il aura fallut attendre dix ans pour qu'enfin voit le jour ce second disque, et heureusement pour les fans, il est plutôt bon et personne ne sera déçu par la tournure des événements, personne ne sera bluffé et sur le cul non plus, Ruin appliquant finalement à la lettre la formule du Sognametal.

mardi 12 juin 2018

[Chronique] The Konsortium - Rogaland

On ne peut pas dire que les norvégiens aient été les plus productifs depuis la sortie de leur premier album éponyme qui date déjà de 2011, on peut même dire qu'ils ont absolument rien branlé depuis et que l'annonce de la préparation d'un second album avait surpris un peu tout le monde, mais bon, puisque Teloch, l'un des instigateurs du projet et membre le plus connu en compagnie du batteur Dirge Rep, a du temps libre pendant le petit break actuel de Mayhem, voilà donc que vient de sortir ce Rogaland qui ne va pas trop chambouler ceux qui avaient apprécier le premier effort, c'est toujours du Black/Thrash typiquement norvégien, mais du Black/Thrash à la The Konsortium, diaboliquement in your face avec une petite touche d'avant-garde, et cette fois-ci, le développement de quelques éléments folk dans la tambouille.

lundi 21 mai 2018

[Chronique] Amorphis - Queen of Time

Sorti il y a déjà trois ans, Under the Red Cloud avait créé une sacré surprise en proposant une certaine revitalisation de la formule Amorphis, une formule, celle développée à partir d'Eclipse et l'arrivée de Tomi Joutsen au chant, qui avait tendance à devenir particulièrement stéréotypée et prévisible, il est vrai que les finlandais étaient tombés dans une certaine facilité en s'embourbant un peu dans le sirupeux et l'accessible, Under the Red Cloud commençait a casser cet espèce de formatage dans la musique d'Amorphis, conservant le caractère catchy du Amorphis moderne et raccrochant les wagons avec la première période du groupe pour un résultat parfois bluffant même si ce changement se faisait dans le cadre de certaines limites, ces limites, on pourrait presque dire qu'elles viennent de disparaître avec Queen of Time, sorte d'album-somme qui est un concentré de tout ce qu'il y a de meilleur chez Amorphis, ouais, c'est bon à ce point-là...

mardi 10 avril 2018

[Chronique] Kalmah - Palo

Que reste-t-il du Death mélodique en 2018? plus grand chose malheureusement, on est loin de l'époque bénie de la première moitié des années 2000 quand le genre était en pleine bourre et que les labels signaient absolument tout et n'importe quoi estampillé Melodeath de Scandinavie, le Death mélodique n'est plus à la mode et ne restent que quelques gros noms qui survivent sur leur gloire passée, quand ils n'ont pas totalement délaissé le genre pour faire autre chose, le Death mélodique est un genre périmé d'une époque révolue, car sérieusement, qui est excité aujourd'hui par la sortie d'un nouvel album de Kalmah si ce n'est le vieux fan un peu nostalgique? pas grand monde, car dans le genre, tout a déjà été fait, déjà été dit, le Metalcore a ringardisé le genre chez la jeune génération, et tout n'est finalement que redite et recyclage, ce n'est pas dans le Melodeath qu'il faut chercher l'originalité, et ce n'est pas de chez Kalmah que viendra la renaissance du genre, loin de là, mais on peu toujours compter sur les finlandais pour envoyer du bon gros Melodeath fun et efficace, c'est bien tout ce qui importe, non?

lundi 2 avril 2018

[Chronique] Primordial - Exile Amongst the Ruins

On avait quitté Primordial il y a quatre ans sur un Where Greater Men Have Fallen plutôt très bon et malin dans son processus de consolidation de sa légende, le genre d'album pas exceptionnel mais largement au dessus de la mêlée, de quoi maintenir le statut du groupe et satisfaire n'importe quel fan du gang irlandais, un disque plutôt classique dans son approche, certes, mais qui amenait malgré tout quelques évolution dans le son de Primordial, principalement une dose de Heavy Metal en plus grande proportion qui laissait indiquer que le qualificatif Black Metal ne pouvait plus réellement s'appliquer à un Primordial attaquant à l'époque sa troisième décennie d'existence, que le Primordial d'aujourd'hui soit différent du Primordial d'il y a dix ou surtout vingt ans est quelque chose de normal et un processus naturel d'évolution qu'on ne peut pas leur reprocher, surtout quand la qualité a toujours été au rendez-vous... jusqu'à aujourd'hui, parce que pour la première fois, on ressort irrémédiablement déçu de l'écoute d'Exile Amongst the Ruins.

jeudi 25 janvier 2018

[Chronique] Orphaned Land - Unsung Prophets & Dead Messiahs

En trois décennies et malgré très peu d'albums quand on regarde bien la discographie, Orphaned Land s'est hissé au sommet de la hiérarchie du Couscous Metal™, ce genre mêlant Metal et sonorités Folk orientales qui dans le cas des israéliens a pris des contours progressifs et n'a cessé d'évoluer d'album en album, leader d'un genre qu'il a lui même contribuer à créer et à façonner, une évolution qui a suivie la volonté du groupe de créer la musique la plus universelle possible à même de propager son message utopiste de paix et d'unité entre les peuples, All is One en 2013 répondait à cet impératif d'universalité, une orientation accessible, commerciale bien sûr, sans que cela soit un mal dans ce cas précis, qui a permis le groupe de grandir et de se développer encore et de s'établir comme la référence du Prog saveur orientale, cinq ans plus tard Orphaned Land est de retour, bien décidé à prouver qu'il peut survivre au départ de son guitariste fondateur Yossi Sassi...

lundi 6 novembre 2017

[Chronique] Sons of Crom - The Black Tower

Il y a déjà trois ans j'étais tombé sous le charme du premier album de Sons of Crom, un duo composé d'un finlandais et d'un suédois qui revisitait avec son Riddle of Steel la période viking de Bathory en y ajoutant deux-trois trucs à eux et une petite pincée de modernité, pas beaucoup cependant, Sons of Crom demeurant un fan absolu de l'oeuvre de Quorthon et son Heavy/Doom épique à forte coloration Folk restait malgré tout dans le trip nostalgique de la vague neo-vintage, ceci n'a pas forcément changé avec ce nouvel album, The Black Tower est toujours aussi influencé par Conan le Barbare et Bathory, mais cette fois-ci avec encore plus d'influences versées dans le chaudron, donnant un curieux amalgame qui s'avérera parfois... étrange.

samedi 30 septembre 2017

[Chronique] Ensiferum - Two Paths

Pas la peine d'aller à la note, vous savez d'avance que je vais défoncer ce nouveau disque d'Ensiferum, pourtant, ce n'était pas mon objectif à la base, j'étais même carrément disposé à laisser un chance à Two Paths, bon, ok, les dernier albums sont complètement dégueulasses et honteux, mais on parle quand même d'un groupe qui a malgré tout sorti un bon disque dans sa carrière, Iron, c'était il y a désormais plus de dix ans mais sait-on jamais, ça pourrait revenir, on a connu des miracles plus improbables que ça... Non.
Non, car Two Paths est une merde de Nightwish Folk pipeau-drakkar pour beaufs avinés agitant leurs cornes et épées en plastique dans les festivals, on peut dire que le groupe est au moins constant dans la médiocrité.

mercredi 9 août 2017

[Chronique] The Soundbyte - Solitary IV

C'est un peu triste que The Third and the Mortal n'existe plus, bon, cela fait déjà plus de dix ans mais le groupe a laissé un vide chez tous les amoureux de Doom aux penchants atmosphériques et avant-gardistes, heureusement que ce bon vieux Trond Engum est encore là avec son projet solo The Soundbyte pour entretenir la flamme car ses anciens collègues n'ont pas été très actifs depuis le split, Solitary IV est donc, comme indiqué subtilement dans le titre du disque même si les précédents ne s'appelaient pas Solitary, le quatrième album du projet, et autant vous prévenir tout de suite, on ne sera pas forcément dans le monde du Metal avec ce disque, enfin, un peu quand même, mais sans y être vraiment...

dimanche 9 avril 2017

[Chronique] Schattenvald - V

C'est une chronique que j'aurais presque pu caser dans la catégorie découverte tant la musique des allemands est méconnue dans nos contrées, pourtant, comme le nom de l'album l'indique subtilement, il s'agit déjà du cinquième album pour Schattenvald, à l'origine une création solitaire du multi-instrumentaliste Nachtsturm devenu duo depuis l'arrivée du chanteur Iskharian il y a cinq ans.
Comme vous l'avez sans doute deviné avec la pochette, Schattenvald fait du Black Metal, mais pas n'importe lequel, vu qu'ils appellent ça du Upper Franconian Black Metal, ne vous triturez pas trop le cerveau, à part définir l'origine géographique du combo (la Haute-Franconie en Bavière donc, pour les plus fins observateurs), l'étiquette ne sert pas à grand chose, si ce n'est également nous dire que que ça va parler de l'histoire de cette région dans des lyrics en allemands que je ne comprends pas, vivement qu'un groupe de Black du Pas-de-Calais prenne l'étiquette du Trve Ch'ti Black Metal et nous fasse des morceaux épiques sur les mineurs et l'alcoolisme...

samedi 25 mars 2017

[Chronique] Demonic Resurrection - Dashavatar

Du Metal qui sent le curry et le poulet Tandoori, on en a déjà eu dans le passé, on citera volontiers les russes de Kartikeya pour le Melodeath ou les tchèques de Cult of Fire pour le Black Metal épicé aux charmes de l'orient, avec Demonic Resurrection, on franchit un pas et on monte d'une caste dans la street-cred puisque là pour le coup le groupe vient de là-bas, d'Inde, et ce ne sont pas des cochons, puisque le groupe de Demonstealer, plus ou moins le seul membre permanent du projet, s'est taillé une assez jolie réputation avec ses quatre premiers albums, principalement dans un registre Black/Death symphonique très marqué par Cradle of Filth qui, étrangement, n'explorait pas franchement la riche histoire de sa région d'origine, n'intégrant que très peu de sonorités exotiques, si j'insiste sur ce point-là dans cette introduction, vous avez deviné, c'est qu'avec ce cinquième album, ça a changé, et Demonic Resurrection nous propose presque un album qui pourrait être sponsorisé par l'office du tourisme du Maharashtra tant il est imprégné de saveurs exotiques.

vendredi 27 janvier 2017

[Découverte] Heid - Alba

Comme on est en janvier et que bizarrement il y a plein de plus ou moins grosses sorties de groupes connus, c'est tout naturellement qu'aujourd'hui nous allons nous intéresser au premier album d'un groupe espagnol inconnu qui est sorti en fin d'année dernière et que vous avez peut-être raté puisque c'est paru en indépendant, bref, Heid, c'est du pur produit artisanal ibérique, ça tombe bien, c'est du Folk, ou du Pagan, je dois bien vous avouer que la frontière est particulièrement floue entre les deux et que les explications données par les principaux intéressés se réclamant de l'une de ces deux mouvances relèvent davantage de l'enculage de mouche que de la définition claire et précise, donc j’appellerai ça du Folk, et même que dans le cas présent, c'est du Folk Melodeath, un genre que je n'aime pas trop habituellement, mais dans le cas de nos ibériques, Alba s'avère être un album vraiment efficace dans son genre, qu'il soit Pagan ou Folk.

vendredi 30 septembre 2016

[Chronique] Insomnium - Winter's Gate

Vous vous souvenez de Shadows of the Dying Sun il y a deux ans? c'était pas trop mal mais il fallait bien avouer que les finlandais d'Insomnium s'était engagé sur le terrain glissant de l'immobilisme comme finalement un paquet de groupe de Death mélodique avant lui, un choix safe à court terme mais dangereux sur le long terme, car après tout, qui a vraiment envie d'écouter le même album tous les deux ans? C'est bien la lassitude qui prend le pas sur l'attrait de la nouveauté à chaque sortie d'album, et l'on se retrouve dans cette situation où on écoute chaque nouvel album sans être pleinement convaincu, en se rappelant de cette époque révolue où un groupe était réellement bluffant.
Novateur, Insomnium ne l'a jamais été, mais il a toujours été garant d'un certain état d'esprit, d'un MeloDeath intense et très chargé émotionnellement, typiquement finlandais donc, un Insomnium qui avait décidé de ne plus rien changer à la formule, du moins c'était le cas il y a deux ans, car aujourd'hui, il va se passer quelque chose d'assez inattendu avec Winter's Gate, Insomnium va prendre des risques! ... en fait pas trop, mais il va parvenir à camoufler le caractère prévisible de sa musique en nous proposant un concept album, on pourrait parler d'un cache-misère, mais la dimension épique de Winter's Gate va faire tourner la machine à un régime correct.

lundi 19 septembre 2016

[Chronique] Marsh Dweller - The Weight of Sunlight

Aujourd'hui c'est chronique découverte, avec le premier album de Marsh Dweller, pas un groupe mais plutôt un one-man band où l'habitant du marais ce nomme John Owen Kerr, qui n'est pas forcément un inconnu de l'underground américain puisqu'il joue de la batterie chez Seidr, où il côtoie Austin Lunn de Panopticon, cette information sera très importante au moment d'aborder The Weight of Sunlight, car Marsh Dweller fait du Black/Folk aussi, tiens tiens...

dimanche 10 avril 2016

[Chronique] Moonsorrow - Jumalten aika

Moonsorrow est grand, Moonsorrow est le groupe le plus épique de l'univers, Moonsorrow est une légende, ouais ouais, on connait, tout le monde sort les même qualificatifs à chaque sortie d'album, des sorties d'ailleurs de plus en plus espacées dans le temps, puisque désormais il semble qu'il faille attendre quatre ou cinq ans pour avoir un nouveau disque, comme quoi en plus d'être un titan, Moonsorrow est un malin qui sait très bien une chose, c'est qu'il risque de lasser si il reprenait un rythme de production plus soutenu, ce n'est pas que l'orchestre finlandais fait toujours la même chose, mais un peu quand même, malgré tout; C'est ainsi, Moonsorrow évolue toujours largement au dessus des autres, inégalable, intouchable, mais évoluant dans toutes les limitations inhérentes à son genre, Jumanten Aika, c'est un peu ça, le roi en pleine opération de sécurisation des frontières.