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vendredi 8 février 2019

[Découverte] Mo'ynoq - Dreaming in a Dead Language

Vous saviez que Mo'ynoq (ou Муйнак en russe ou Moynak en karakalpak) était une ville d’Ouzbékistan? ouais, un ancien port de la mer d'Aral, qui a eu un petit souci, qui explique le terme ancien port, avec la-dite mer qui s'est retirée, laissant à la ville un joli cimetière de bateau et des carcasses rouillées en plein désert comme vestiges de sa richesse passée, autant dire que c'est pas franchement la fête du côté de Mo'ynoq, et qu'après une telle catastrophe environnementale, il n'en fallait pas plus pour que des américains se disent que c'était un super nom pour un groupe de Black Metal, et plus précisément de Black Metal qui navigue dans l'atmosphérique et le Death progressif.

mardi 16 octobre 2018

[Chronique] Behemoth - I Loved You at Your Darkest

On avait quitté Behemoth en 2014 après la piteuse entreprise visant à capitaliser sur la notoriété acquise par son leader Nergal après la médiatisation de sa leucémie, The Satanist était un album plutôt raté malgré quelques très bonnes idées disséminées vers la fin de la galette, et même si je le qualifiais d'échec à l'époque, il n'y avait pas grand chose de honteux musicalement, après au niveau des intentions, on pouvait y trouver à redire, The Satanist était marqué par la volonté de Nergal de s'établir comme un vrai artiste et de toucher un public bien plus large et mainstream, l'album étant porté presque uniquement par la personnalité de son chef d'orchestre/attention whore de service, Behemoth n'étant plus qu'un vecteur servant à emmener Nergal vers la célébrité à grand coup de Black/Death aseptisé, parce que ouais, autant aller droit au but, I Loved You at Your Darkest est de très loin l'album le plus dégueulasse infligé à nos oreilles par le polonais et ses sbires, une authentique merde putassière dépourvue de couilles, autopsie du cadavre...

mardi 31 juillet 2018

[Chronique] Imperial Triumphant - Vile Luxury

Il n'aura pas fallu longtemps pour qu'Imperial Triumphant se débarrasse de son étiquette très réductrice de clone américain de Deathspell Omega, et même si la référence est restée un élément du son particulier des américains, Imperial Triumphant est désormais une entité en tout point singulière et presque inimitable.
Imperial triumphant évolue dans cette petite niche de groupe abstrait mêlant Black tortueux et torturé, Death technique dissonant à la Gorguts, et sonorités et constructions expérimentales, son précédent album Abyssal Gods était d'ailleurs une sacré claque dans la gueule d'Art noir avant-gardiste qui n'avait pas laissé indifférent les amateurs de brutalité extrême non-linéaire, et après avoir écouté son EP Inceste il y a deux ans, il y avait peu de doute qu'Abyssal Gods n'était qu'une étape dans la carrière du groupe et que Vile Luxury allait être un peu différent, car il suit en quelque sorte la seule constante dans l'évolution d'Imperial Triumphant, l'immersion de plus en plus profonde dans le bizarre et l'avant-garde jazzy, avec un groupe qui continue inlassablement de sonder les ténèbres les plus cauchemardesques et de retranscrire ses visions névrotiques en musique, tout ça pour vous prévenir que ce ne sera pas vraiment pour tout le monde...

jeudi 21 juin 2018

[Découverte] Mylingar - Döda Drömmar

Le moins que l'on puisse c'est qu'on ne sait pas grand chose concernant Mylingar, à part le fait qu'ils sont suédois, rien, que dalle, personne ne sait qui est dans le groupe, ce que certains savent par contre, c'est qu'il y a deux ans le groupe avait sorti avec Döda Vägar un putain d'EP de Black/Death punitif et apocalyptique, sorte de mur sonore bruitiste et quelque peu dissonant, qui n'avait pas laissé indifférent ceux qui l'avait écouté à l'époque, deux ans plus tard on ne sait toujours rien sur le groupe et c'est produit en indépendant et distribué via Amor Fati Productions pour l'Europe que vient de sortir Döda Drömmar, un premier album tout aussi punitif qu'attendu.

lundi 29 janvier 2018

[Chronique] In Vain - Currents

Il y a un truc que je me dis à chaque nouvel album d'In Vain, c'est que quoi qu'il arrive, le groupe ne fera jamais mieux que The Latter Rain, vous allez me dire que je suis dur et que ce changement est idiotement définitif, mais jusqu'à présent, il tient la route, ce qui n'empêche pas que chacun dans leur genre, Mantra et Ænigma soient deux très bons disques aux personnalités et aux orientations bien distinctes, seulement voilà, aucun n'atteint le niveau de brillance du premier album malgré le talent des norvégiens pour proposer une excellente mixture de Death/Black progressif et mélodique, Currents, quatrième album du groupe, sera d'ailleurs ancré dans ce mélange des genres habituel tout en développant sa propre personnalité, comme souvent chez In Vain, leur musique tourne toujours sur les mêmes axes et ils se contentent de l'équilibrer à chaque fois différemment.

lundi 18 décembre 2017

[Chronique] Genevieve - Regressionism

Le premier album de Genevieve, Escapism, avait été l'une des claques tardives de l'année 2015, et encore aujourd'hui je serais bien incapable de décrire précisément de quoi il s'agissait ou de cataloguer le groupe dans un genre en particulier, Genevieve fait partie de ces groupes indescriptibles dont la musique est une expérience unique et sensorielle qui se vit plus qu'elle ne se décrit, il en est ainsi des groupes expérimentaux qui s'affranchissent allègrement des barrières et des normes, on pourra toujours trouver des rapprochements, des ponts avec d'autres choses, mais ce sera toujours diffus et pas nécessairement proche de la vérité, partant de ce postulat, ce n'est pas avec son second album que Genevieve donnera des réponses, bien au contraire, Regressionism étant davantage un fascinant enchevêtrement de questionnements métaphysiques, et avec un groupe toujours aussi hostile d'un point de vue formel, il va falloir s'accrocher...

mercredi 20 septembre 2017

[Chronique] Akercocke - Renaissance in Extremis

Je dois bien vous avouer que je n'avais jamais imaginé avoir à chroniquer un jour un nouvel album d'Akercocke, dix ans après leur dernier album et cinq ans après un split jamais officiellement annoncé, le groupe avait disparu dans l'indifférence générale, Jason Mendonça semblant avoir totalement disparu de la circulation, laissant un vide immense que n'a surement pas réussi à combler Voices, sorte de mauvais ersatz créé par d'anciens membres du groupe dont on espère qu'il sera définitivement mis au repos, parce que cela n'a plus aucun sens depuis que le singe est enfin sorti de sa cage, Mendonça s'est enfin décidé à se remettre au boulot, et allons droit au but, Renaissance in Extremis est l'un des plus brillants comeback de ces dernières années, rien que ça, Akercocke n'est pas revenu pour plaisanter, mais ça on en avait l'habitude.

dimanche 23 juillet 2017

[Chronique] Wode - Servants of the Countercosmos

Il y a des groupes qui n'ont pas de temps à perdre et qui préfère battre le fer tant qu'il est chaud plutôt que de se poser et d'analyser, ou parfois de sur-analyser d'ailleurs, les raisons d'un succès, c'est le cas des anglais de Wode, qui reviennent déjà un an à peine après avoir délivré en guise de premier album une véritable master-class du Black Metal dans tout ce qu'il a de plus féroce et sans concession, un Black à l'ancienne redoutable et finement référencé qui faisait entrer le groupe dans le cercle très fermé des jeunes formations à fort potentiel, c'est surement afin de profiter de cette "hype" qu'est sorti il y a quelques semaines ce second album, qui va s'avérer curieusement bien différent de son prédécesseur, et il est moins bien aussi, pas de beaucoup, mais c'est malheureusement le cas...

vendredi 27 janvier 2017

[Découverte] Heid - Alba

Comme on est en janvier et que bizarrement il y a plein de plus ou moins grosses sorties de groupes connus, c'est tout naturellement qu'aujourd'hui nous allons nous intéresser au premier album d'un groupe espagnol inconnu qui est sorti en fin d'année dernière et que vous avez peut-être raté puisque c'est paru en indépendant, bref, Heid, c'est du pur produit artisanal ibérique, ça tombe bien, c'est du Folk, ou du Pagan, je dois bien vous avouer que la frontière est particulièrement floue entre les deux et que les explications données par les principaux intéressés se réclamant de l'une de ces deux mouvances relèvent davantage de l'enculage de mouche que de la définition claire et précise, donc j’appellerai ça du Folk, et même que dans le cas présent, c'est du Folk Melodeath, un genre que je n'aime pas trop habituellement, mais dans le cas de nos ibériques, Alba s'avère être un album vraiment efficace dans son genre, qu'il soit Pagan ou Folk.

samedi 31 décembre 2016

[Découverte] Fleshmeadow - Umbra

Il y a une raison pour laquelle il y a peu d'albums qui sortent en décembre, c'est que tout le monde s'en bat les couilles, les gens sont plutôt occuper à pinailler sur les listes de fin d'année ou à préparer les fêtes de fin d'année, du coup, je me demande bien pourquoi les groupes sortent des albums à cette période-là, et c'est encore plus dramatique quand il s'agit d'un premier album, aussi bon soit-il, je métais fait la même réflexion la semaine dernière avec l'album de The Lifted Veil, et voilà aujourd'hui les norvégiens de Fleshmeadow qui tentent leur chance dans le vide interstellaire des fêtes de fin d'année, si le but était de sortir un premier album en indépendant (et sans bandcamp, ce qui est super bizarre pour un groupe comme ça) en bénéficiant du moins de couverture médiatique et de maximiser ses chances de passer inaperçu, bravo, c'est très réussi, et vous savez ce qui est réussi également? ouais, Umbra, c'est con, tout le monde s'en cogne mais le disque est quand même foutrement bon.

samedi 24 décembre 2016

[Découverte] The Lifted Veil - The Wicked Shall Inherit the Earth

Ah le mois de décembre, ce mois génial où c'est toujours une bonne idée de sortir ton premier EP quand t'es un groupe inconnu afin de bénéficier du plus bas niveau de couverture médiatique possible car les gens n'en ont absolument rien à branler de toi.
Donc voilà, tout droit sorti de sa Finlande natale, voici The Lifted Veil qui vient de balancer son premier EP dans le vide des fêtes de fin d'année, heureusement que je suis vigilant et que je l'ai rattrapé au vol, car ce serait con de passer à côté de ce The Wicked Shall Inherit the Earth gavé jusqu'à la gueule de comptines célébrant le vrai esprit de Noël, ouais, le réveillon à coups de ceinturon clouté dans la gueule qui sent la bière et le vieux vomi, bref, on est parti pour parler Death/Black de gros méchant, joyeux Noël.

jeudi 30 juin 2016

[Chronique] Sheidim - Shrines of the Void

Tiens, ça fait longtemps qu'on a pas parlé de Black Metal ici, je parle de vrai Black hein, pas de trucs expérimentaux avant-gardiste avec du Black dedans, du pur et dur qui sent la vieille crypte humide, pour ça, il est évident que l'on ne va pas du tout parler du dernier Dark Funeral parce que je m'en fous complètement et qu'il a rejoint la corbeille après une seule écoute, et on va plutôt se diriger vers un groupe inconnu qui sort son premier disque, des espagnols en plus, parce que c'est bien connu, entre deux siestes et une fournée de tapas, c'est en Espagne qu'on fait le meilleur Black suédois (affirmation à prendre avec des pincettes quand même).

mercredi 25 mai 2016

[Chronique] Withered - Grief Relic

Il y a quelques jours je vous parlais de Blackened Death fort peu conventionnel, aujourd'hui, nous allons encore parler de Death/Black, mais dans une optique un poil plus traditionnelle que la vision d'Howls of Ebb du genre, plus respectueuse des normes, certes, mais ce n'est pas pour autant que c'est moins bien, surtout qu'on en parle d'un bestiau comme Withered.
Formé en 2003 par Mike Thompson, Withered a connu une évolution au gré des albums qui l'a amené en 2010 à son chef-d'oeuvre Dualitas, le genre d'album qui aurait dû permettre au combo d'Atlanta de passer un niveau supplémentaire en terme de notoriété, sauf que... non, le line-up du groupe s'est désagrégé peu de temps après et ce sont six années de silence qui ont suivi Dualitas avant le retour du géant américain, que l'on retrouve ici avec un line-up plutôt excitant, puisqu'en dehors de Thompson et du fidèle batteur Beau Brandon, complètent le line-up le Primitive Man Ethan McCarthy et l'homme le plus occupé du monde Colin Marston, qui en plus de jouer dans une bonne dizaine de groupes (Gorguts, Krallice, Dysrhythmia, Encenathrakh, Behold the Arctopus...) est également occupé à produire un peu tous les groupes de Metal extrême abstrait d’Amérique du nord, partant de là, et après donc un Dualitas qui avait botté le cul d'à peu près tout le monde, on attendait beaucoup de Grief Relic, bonne nouvelle, personne ne sera déçu.

samedi 26 mars 2016

[Chronique] Vredehammer - Violator

Vous vous êtes déjà demandé ce que ça pourrait donner si on mélangeait du Black/Death norvégien avec du Lamb of God? Ouais, je sais, c'est bizarre et très con comme idée, quel couillon pourrait avoir envie de faire ça? Et bien ce couillon, c'est Per Valla, guitariste de Allfader et de Those Left Behind, et jusque récemment membre du backing-band d'Abbath, dont il a quitté le confort, et surement le chèque qui devait tomber à la fin du mois, pour se consacrer au second album de son Vredehammer, son groupe solo où il fait un peu ce qu'il veut, d'abord side-project, qui est en train d'évoluer, peut-être, en un véritable groupe.
Évoluer, c'est surement ce que souhaitait faire Valla avec son Vredehammer, qui nous avait livré un bon petit disque de Black/Death de facture plutôt classique avec Vinteroffer il y a deux ans, et comme vous vous en doutez déjà, Violator sera quelque peu différent de son prédécesseur...

mardi 10 novembre 2015

[Chronique] Genevieve - Escapism

Dans ce monde de merde pataugeant dans la médiocrité, on peut toujours compter sur Grimoire Records pour nous fournir notre dose de bidules sortant de l'ordinaire, le mode de fonctionnement du label est d'ailleurs assez particulier, puisque c'est également un studio, et chaque album qui sort chez Grimoire est également enregistré dans le-dit studio et très souvent produit par le boss Noel Mueller.
Ce n'est pas la première fois que je vous parle d'un des groupes de ce label, par le passé on avait déjà eu les premiers albums de Wrought Iron et de Snakefeast, dans des genres différents mais avec des points communs, un certain niveau d'excellence et la volonté de proposer quelque chose de... différent, pour ne pas dire totalement weirdo dans le cas de Snakefeast.
Bref, avec la sortie du premier album des américains de Genevieve, c'est l'occasion pour moi de vous balancer une petite chronique découverte, plutôt concise, d'un album qui en vaut la peine, et qui va également nécessiter un peu de courage, car là encore, c'est du bizarre et du pas du tout évident à appréhender.

dimanche 22 février 2015

[Chronique] Imperial Triumphant - Abyssal Gods

On peut toujours compter sur le label italien Code666 pour nous délivrer notre dose de Metal bizarre à chaque début d'année, et ça tombe bien, puisque le mois de février est toujours un mois assez pauvre en sorties d'albums sympa, et bon, dans la mesure où j'aime le Metal et que j'aime aussi le bizarre, ce label et moi sommes faits pour nous aimer.
Après un premier album Abominamentvm en 2012 qui était donc... euh ouais, bizarre, et un EP en 2013, le très bien nommé Goliath, revoilà Imperial Triumphant et son Black Metal avant-gardiste étrange pour de nouvelles aventures dans la noirceur absolue des ténèbres, car c'est bien de ça dont il s'agit avec Abyssal Gods, tout ce que les américains font ici, ils le faisaient déjà en 2012, sauf que pour ce deuxième effort, Imperial Triumphant s'enfonce encore plus loin dans les enfers, Abyssal Gods est plus sombre encore, plus violent, encore plus torturé et schizophrène, et l'on a quasiment affaire au paroxysme de la musique d'Imperial Triumphant, où chaque élément d'Abominamentvm est poussé à l'extrême, amateur de musique non linéaire et de dissonances déstructurées, ceci est pour toi...

vendredi 6 février 2015

[Chronique] Thulcandra - Ascension Lost

Pauvre Thulcandra, Steffen Kummerer (la tête pensante d'Obscura) a beau aujourd'hui se démener en interview afin de défendre l'authenticité du projet, le mal est fait depuis bien longtemps, dès le premier album Fallen Angel's Dominion, à une époque où, maladroitement peut-être, Kummerer passait son temps à clamer son amour et son admiration pour Dissection, faisant passer le groupe pour une sorte de groupe hommage au combo mythique de Jon Nödtveidt, il n'en fallait pas plus pour que dans l'esprit des gens, l'on passe de groupe hommage à... gros plagiat de Dissection.
La même musique, les magnifiques pochettes bleutées de Necrolord, il était tentant de parler de copie, et ce n'était pas particulièrement faux tant Thulcandra manquait cruellement de personnalité, et ce n'est pas le second album Under a Frozen sun qui allait y changer quelque chose malgré le très léger changement de direction, il faut dire que faire une reprise d'Unanimated participait à la confusion entourant ce que voulait vraiment faire Thulcandra, un hommage, une copie de qui vous savez, un groupe souhaitant s'affranchir de ses influences bien trop pesantes? aucune idée, et j'imagine que le but de cet album est de répondre à cette problématique, ou tout du moins de dissiper le flou concernant ce qu'est vraiment Thulcandra...

mercredi 4 février 2015

[Chronique] Agos - Irkalla Transcendence [EP]

La Grèce est en train de devenir l'un des plus gros fournisseurs européens de Metal, peut-être pas en quantité, mais la qualité des sorties helléniques est plutôt impressionnante depuis quelques années, au point de squatter régulièrement mes classements de fin d'année.
Certes, nos amis grecs œuvrent plutôt dans les genres extrêmes, le Death et le Black principalement, avec une forte propension pour le old school, en prenant souvent un certain plaisir à revisiter la scène locale des années 90, j'en profite pour faire un petit aparté pour vous signaler que des membres d'Aenaon, Transcending Bizarre et Varathron se sont réunis récemment pour lancer Katavasia, dont l'album est prévu pour le mois de mars, et ça promet d'être assez gouleyant.
Bref, revenons à ce premier EP d'Agos, qui est lui un one-man band formé par Van Gimot, un type qui aime bien bosser seul puisqu'il fait également tout chez Virus of Koch, un projet de Black Metal occulte à l'ancienne, et de Black, il en sera question ici aussi, car Irkalla Transcendence va nous envoyer du bon gros Black/Death, et vu que je prends je temps de vous en parler, vous vous imaginez bien que c'est pas mauvais du tout...