Avec ses deux premiers albums Black Future et Outer Isolation, Vektor a réussi une chose, tuer le Thrash game et complètement annihiler l'intégralité de la scène Re-Thrash, pulvérisant dans le vide cosmique tous les clones de Slayer/Megadeth/Metallica en culottes courtes sévissant depuis une bonne dizaine d'années en se pensant les rois du monde, sauf que voilà, Vektor est le seul roi du monde du Thrash, un titan, qui a su voir plus loin que les autres, aller plus loin que les autres, des autres qui se sont peut-être cru à l'abri puisque le roi avait plus ou moins disparu de la circulation depuis 2011, cinq longues années où de toute évidence, à l'abri des regards dans une lointaine galaxie obscure, Vektor ourdissait son plan de conquête du monde, car c'est bien de cela qu'il s'agit avec Terminal Redux, après l'éradication de toute concurrence dans le Thrash, il fallait voir plus grand afin de conquérir de nouveaux espaces...
Euh, ouais, sinon, à part ça, Terminal Redux est une tuerie.