Au fur et à mesure des années, Within Temptation est devenu une grosse entreprise qui fonctionne pas trop mal, il faut dire aussi que ça fait plus de quinze ans que le groupe n'a eu de cesse de se transformer en groupe de pop électronique, délaissant de plus en plus le Metal symphonique qui avait fait sa réputation, c'est un choix malin commercialement parlant hein, la musique de Within Temptation s'adressant à un public majoritairement féminin tout aussi ménopausé que la musique du groupe, l'adoucissement du son s'est fait au même rythme que la transformation de Sharon Den Adel en une sorte d'héroïne pop/rock à laquelle son cœur de cible peut facilement s'identifier, et puis ça tombe bien, la musique flasque en pleine descente d'organe, ça passe super bien en fond sonore dans la cuisine (#Sexisme #GrosBeauf).
Alors qu'on avait connu un très très léger retour à certaines sonorités vaguement plus métalliques avec l'album précédent Hydra (toute proportion gardée, car ça restait malgré tout de la merde), Resist va reprendre sa marche en avant en direction des confins de l'abîme de la nullité profonde pour ce qui sera en tout point le pire album de l'histoire du groupe, et on parle d'un groupe qui a sorti un furoncle honteux comme The Unforgiving, il faut dire aussi que Resist n'est tout simplement pas un album de Metal...
Alors qu'on avait connu un très très léger retour à certaines sonorités vaguement plus métalliques avec l'album précédent Hydra (toute proportion gardée, car ça restait malgré tout de la merde), Resist va reprendre sa marche en avant en direction des confins de l'abîme de la nullité profonde pour ce qui sera en tout point le pire album de l'histoire du groupe, et on parle d'un groupe qui a sorti un furoncle honteux comme The Unforgiving, il faut dire aussi que Resist n'est tout simplement pas un album de Metal...