Ce mois-ci on s'emmerde salement avec tout un tas d'albums pas intéressants qui sortent et dont je n'ai pas du tout envie de parler, c'est pour ça qu'aujourd'hui on va causer d'un album sorti en mai dernier, je l'avais mis de côté en cas de période de vaches maigres comme c'est le cas en ce moment, et croyez moi, ce sera plus intéressant qu'une chronique crapoteuse sur le quarante-troisième album de Primal Fear.
Bref, Panegyrist donc, est un jeune groupe de Black Metal avant-gardiste qui a ajouté à la bizarrerie inhérente au genre qu'il pratique un bon gros concept obtus et difficilement compréhensible à base de théosis et de spiritualisme transcendantal avec un soupçon de perennis philosophia, ou un truc comme ça, et vice-versa voir tout le contraire, parce que bon, je ne vais pas vous la faire à l'envers, j'ai absolument rien compris au truc, on va résumer ça à un album qui traite de la relation entre l'homme et dieu et ça ira très bien, si vous voulez vous triturer le cerveau y'a les paroles sur Bandcamp.
Bref, Panegyrist donc, est un jeune groupe de Black Metal avant-gardiste qui a ajouté à la bizarrerie inhérente au genre qu'il pratique un bon gros concept obtus et difficilement compréhensible à base de théosis et de spiritualisme transcendantal avec un soupçon de perennis philosophia, ou un truc comme ça, et vice-versa voir tout le contraire, parce que bon, je ne vais pas vous la faire à l'envers, j'ai absolument rien compris au truc, on va résumer ça à un album qui traite de la relation entre l'homme et dieu et ça ira très bien, si vous voulez vous triturer le cerveau y'a les paroles sur Bandcamp.