dimanche 30 décembre 2018

[Bilan 2018] Top 20 - Les meilleurs albums de l'année

Je ne vais pas trop vous ennuyer avec une longue introduction, vous êtes venus pour un Top 20, il est là, les vingt meilleurs albums de l'année, et je ne vais même pas vous entourlouper avec des mentions honorables pour rallonger la liste, non, cette année encore, c'est 20 disques et pas un de plus.
Comme d'habitude, vous allez gueuler, parce qu'il n'y a pas machin, truc est devant bidule, cette merde n'a rien à faire là, mais ce n'est que ma liste, et même si j'ai forcement raison du haut de ma suffisance, vous avez aussi le droit de penser différemment, ce qui implique que vous ayez tort, entendons-nous bien.
Après Ihsahn en 2010, Ulcerate en 2011, Borknagar en 2012, Ulcerate encore en 2013, Aenaon en 2014, A Forest of Stars en 2015, Vektor en 2016, et Akercocke l'année dernière, le grand gagnant de l'année 2018 est...

samedi 29 décembre 2018

[Bilan 2018] Flop 10 - Les Bouses de l'année

C'est la fin de l'année, alors on sort les poubelles, et après les déceptions, voici les bouses, les irrécupérables, les grosses merdes non-recyclables, une seule solution pour ces albums, le passage par l'incinérateur, leur annihilation totale, c'est donc un classement de la honte qui va suivre, je vous ai sélectionné le meilleur du pire, dix albums embarrassants pour leurs auteurs, qui redéfinissent la conception même de la médiocrité, j'espère que vous vomirez.
Allez, on ne perd pas de temps en introduction, on plonge dans la fange, qui pour succéder à Morbid Angel, Wintersun, Megadeth, Centinex, Lindemann, Anthrax, et Suicide Silence l'année dernière ?
And the Loser of the year is...

vendredi 28 décembre 2018

[Bilan 2018] Flop 10 - Les Déceptions de l'année

Le monde des bouses se divise en deux catégories, les albums dont on attendait rien, et ceux dont on attendait quelque chose, c'est cette seconde catégorie qui nous intéresse ici, ces albums dont on imaginait qu'ils pouvaient être bien, et qui ont vite tourné à la catastrophe.
C'est ainsi que vous trouverez dans ce classement des grosses merdes, et parfois de bons disques, ou plutôt des pas trop mauvais, avec un point commun, la Déception, ça aurait dû être bien, mais pour des raisons différentes, ça ne l'est pas, la frontière est mince entre la vraie grosse bouses et l'album décevant, mais elle existe, c'est pour cela que j'ai décidé de diviser le classement des flops en deux catégories distinctes, par contre, du coup, pensez à lire les chroniques si vous voulez plus d'explications.
Bref, assez avec le bavardage et les explications, c'est parti pour le classement des albums les les plus décevants de l'année, dont certains me brisent encore le cœur aujourd'hui...

dimanche 23 décembre 2018

TV Metal (2018 - Semaine 51)

Ce n'est pas une défaillance de votre moniteur, n'essayez donc pas de régler l'image, nous maîtrisons à présent toute retransmission, nous contrôlons les horizontales et les verticales, nous pouvons vous noyer sous un millier de vidéos, ou dilater une simple image jusqu'à lui donner la clarté du cristal, et même au-delà, nous pouvons modeler votre vision, et lui fournir tout ce que votre imagination peut concevoir, pendant les minutes qui viennent, nous contrôlons tout ce que vous allez voir et entendre, nous partagerons les angoisses, et les mystères qui gisent dans les plus profonds abysses, au-delà du Metal...
Quelle putain de claque que ce nouveau single des finlandais de Swallow the Sun, le groupe nous propose ici un long voyage aussi naturaliste que mystique pendant plus de dix minutes, un morceau particulièrement atmosphérique qui sert en quelque sorte de bande-son à un splendide court-métrage à la photographie grandiose, bref, c'est l'un des meilleurs clip que j'ai vu cette année.

vendredi 21 décembre 2018

[Chronique] Sulphur Aeon - The Scythe of Cosmic Chaos

Après un brillant premier album, Swallowed by the Ocean's Tide, en 2013, les allemands de Sulphur Aeon sont partis dans un curieux délire, tout faire comme Behemoth, une stratégie qui nous avait Gateway to the Antisphere deux ans plus tard et c'était l'une des plus grosse déception de l'année, c'est un drôle de choix de carrière que de modifier une tambouille particulièrement savoureuse pour se rapprocher du cadavre puant qu'est devenu Behemoth (j'ai une chronique pour ça), Sulphur Aeon passant d'un occulte Lovecraftian Death Metal™ à un Black/Death putassier et facile, et si vous pensiez que le groupe allait se refaire la cerise et reprendre enfin là où les choses s'étaient arrêtées en 2013, vous allez une fois de plus tomber de haut, The Scythe of Cosmic Chaos étant encore plus mauvais que Gateway to the Antisphere, monde de merde...

mardi 18 décembre 2018

[Chronique] Svartidauði - Revelations of the Red Sword

L'Islande, caillou insignifiant perdu dans l'Atlantique, environ 350000 habitants, au moins deux fois plus de moutons, et une horde de groupes de Black Metal qui forme une scène vivace qui s'est largement développée ces dernières années, une scène évidemment consanguine où chaque artiste joue dans divers projets en même temps quand ce n'est pas un seul gars qui se cache derrière plusieurs one-man bands, mais quand même, le nombre de groupe de Black par habitant doit péter tous les records mondiaux.
Svarti Dauði, que google translate traduit par Peste Noire, ou Black Death pour les anglophones, est donc un groupe... de Black ouais, comme vous pouviez vous en douter, mais du Black qui a la densité d'un bon gros parpaing que tu reçois dans la tronche dans un déluge de dissonance et de mélodies cataclysmiques, un parpaing délivré par l'un des groupes les plus importants de la scène Black Metal islandaise depuis la sortie de son premier album Flesh Cathedral il y a déjà six ans.

dimanche 16 décembre 2018

TV Metal (2018 - Semaine 50)

Ce n'est pas une défaillance de votre moniteur, n'essayez donc pas de régler l'image, nous maîtrisons à présent toute retransmission, nous contrôlons les horizontales et les verticales, nous pouvons vous noyer sous un millier de vidéos, ou dilater une simple image jusqu'à lui donner la clarté du cristal, et même au-delà, nous pouvons modeler votre vision, et lui fournir tout ce que votre imagination peut concevoir, pendant les minutes qui viennent, nous contrôlons tout ce que vous allez voir et entendre, nous partagerons les angoisses, et les mystères qui gisent dans les plus profonds abysses, au-delà du Metal...

Alors qu'on avait rien demandé après la catastrophe Battles, c'est bel e bien un nouvel album d'In Flames qui est annoncé pour mars prochain, et ça promet encore une belle merde, ce premier single est une purge fatiguée renvoyant directement vers Come Clarity, ce qui est déjà largement mieux que tout ce qu'il y a sur Battles me direz-vous, mais je vous (dé-)conseille l'écoute de l'autre single This is our house pour se rendre compte de l'étendue des dégâts, Anders Friden a enfin réussi a transformer In Flames en Passenger, et c'est une immondice sonore, bref, n'attendez rien de cette prochaine dégueulasserie...

jeudi 13 décembre 2018

[Chronique] Marsh Dweller - Wanderer

Si le nom de Marsh Dweller vous dit quelque chose, félicitations, vous êtes un lecteur assidu de ces pages et vous savez déjà que ce one-man band de l'américain John Owen Kerr avait sorti il y a deux ans avec The Weight of Sunlight un premier album particulièrement croustillant œuvrant dans un Black/Folk très référencé et largement influencé par Panopticon, peut-être un peu trop d'ailleurs, car ma chronique de cet album se terminait par ses mots: "dommage cependant qu'il n'est pas suffisamment aventureux pour se détacher complètement de ses influences parfois trop pesantes."
Partant de là, si vous suivez un peu ce qui se passe ici, vous vous doutez probablement que si je prends le temps de vous parler de ce second album de Marsh Dweller, c'est qu'on va avoir affaire avec Wanderer à une bestiole radicalement différente de son prédécesseur, à tel point qu'il va désormais être difficile de classer ça dans la case Black Metal...

dimanche 9 décembre 2018

TV Metal (2018 - Semaine 49)

Ce n'est pas une défaillance de votre moniteur, n'essayez donc pas de régler l'image, nous maîtrisons à présent toute retransmission, nous contrôlons les horizontales et les verticales, nous pouvons vous noyer sous un millier de vidéos, ou dilater une simple image jusqu'à lui donner la clarté du cristal, et même au-delà, nous pouvons modeler votre vision, et lui fournir tout ce que votre imagination peut concevoir, pendant les minutes qui viennent, nous contrôlons tout ce que vous allez voir et entendre, nous partagerons les angoisses, et les mystères qui gisent dans les plus profonds abysses, au-delà du Metal...

C'est le 22 février que sortira ce qui s'annonce déjà comme le disque le moins excitant de l'année prochaine Distance Over Time, pas excitant car cela fait bien dix ans que Dream Theater n'a pas composé un seul morceau cool, se contentant de ressasser toujours les mêmes vieilles idées, bref, parlons plutôt de ce clip ultra cheap (sérieux y'a plus d'argent?) indigne de la stature du groupe, un bête clip de studio où Mangini est juste ridicule à lever ses bras pour atteindre des cymbales accrochées au plafond, et où sort de nulle part des plans où Petrucci fait griller de la viande, on a connu le groupe plus ambitieux (et plus inspiré) par le passé.

lundi 3 décembre 2018

[Chroniques en rafale] Novembre 2018

Je rappelle le principe des Chroniques en Rafale™, comme il m'est impossible de tout chroniquer, par manque de temps, de motivation, ou tout simplement car je n'ai pas grand chose d'intéressant à dire, je vous propose chaque mois (ou pas en fait, le rythme est plus erratique que ça) un bloc de mini-chroniques où je donnerai mon avis à l'arrache en survolant quelques albums, sans aller en profondeur, en tâchant d'être concis et précis sur ce que j'en pense, il n'en reste pas moins que ce seront des jugements à l'emporte-pièce où l'on sortira souvent le sulfateuse.

dimanche 2 décembre 2018

TV Metal (2018 - Semaine 48)

Ce n'est pas une défaillance de votre moniteur, n'essayez donc pas de régler l'image, nous maîtrisons à présent toute retransmission, nous contrôlons les horizontales et les verticales, nous pouvons vous noyer sous un millier de vidéos, ou dilater une simple image jusqu'à lui donner la clarté du cristal, et même au-delà, nous pouvons modeler votre vision, et lui fournir tout ce que votre imagination peut concevoir, pendant les minutes qui viennent, nous contrôlons tout ce que vous allez voir et entendre, nous partagerons les angoisses, et les mystères qui gisent dans les plus profonds abysses, au-delà du Metal...

Dis-moi qui sont tes guests et je te dirais qui tu es, après le chanteur de Papa Roach, voici une autre figure du Rock alternatif en la personne d'Anders Friden qui se retrouve invité sur un single de Within Temptation, et autant le dire que dans le genre grosse soupe pour ménagère ménopausée on tiens du lourd avec ce morceau garanti sans aucune trace d'agression, c'est tellement mou que ça pourrait servir de musique de fond à une publicité pour des yaourts, niveau clip ça reprend l'imagerie de clip précédent, une histoire de révolution futuriste avec des méchants très méchants et des gentils qui ont des drapeaux, ça promet un splendide album de merde tout ça...