On avait quitté Fleshgod Apocalypse il y a trois ans sur un quatrième album, King, qui était, à défaut d'être brillant, enfin écoutable, pour la première fois depuis le premier album Oracles, les italiens n'avaient pas accouché d'une horrible chiasse dégueulasse mal produite et inaudible comme il l'avait fait avec Labyrinth, avec un songwritting qui se décidait enfin à intégrer vraiment les éléments symphoniques et le travail d'un producteur qui connaissait son boulot, King était un honnête petit disque de Death symphonique pas honteux.
Et puis le groupe a traversé une période de turbulences avec le départ de deux de ses guitaristes/chanteurs, Cristiano Trionfera et Tommaso Riccardi, qui laissait penser à une reprise en main totale de l'entreprise par l'omniprésent Francesco Paoli, cette période d'incertitudes expliquerait peut-être l'absence totale d'évolution dans un album qui se veut avant tout rassurant à défaut d'aller de l'avant.
Et puis le groupe a traversé une période de turbulences avec le départ de deux de ses guitaristes/chanteurs, Cristiano Trionfera et Tommaso Riccardi, qui laissait penser à une reprise en main totale de l'entreprise par l'omniprésent Francesco Paoli, cette période d'incertitudes expliquerait peut-être l'absence totale d'évolution dans un album qui se veut avant tout rassurant à défaut d'aller de l'avant.