C'est marrant comment avec du recul, la discographie de Machine ressemble de plus en plus à des montagnes russes où les bons disques apparaissent finalement comme des anomalies, Burn my Eyes avait permis au groupe de débuter sa carrière au sommet, c'en est suivi une descente qualitative progressive avant de toucher le fond avec le combo de la honte Burning Red/Supercharger, le groupe avait ensuite remonté la pente pour nous pondre après un disque de transition un inespéré The Blackening, et comme Machine Head était revenu au top, Robb Flynn s'est bien évidemment dit qu'il était temps de re-flinguer la carrière de son groupe, partant de là, après s'être farci un Into the Locust fadasse, la seule chose que l'on pouvait espérer du dégueulasse Bloodstone & Diamonds, c'est que Machine Head avait une fois encore touché le fond et qu'il allait se re-bouger le cul pour renaître à nouveau... LOL! même pas en rêve bande de naïfs, je ne sais même pas comment c'est possible, mais Machine s'est encore enfoncé dans les abysses de la dégueulasserie afin de nous proposer avec Catharsis le pire album de son histoire, ouais, c'est encore pire que Supercharger, putain de bordel de merde...
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samedi 27 janvier 2018
[Chronique] Machine Head - Catharsis
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jeudi 7 septembre 2017
[Chronique] Arch Enemy - Will to Power
Dix ans, cela fait désormais dix ans que le navire Arch Enemy est inexorablement en perte de vitesse, dix ans déjà depuis la sortie de Rise of the Tyrant, le dernier disque pleinement satisfaisant d'Arch Enemy, et une décennie à voir un Michael Amott perdre en inspiration à chaque album, même le changement de chanteuse, en échangeant la bonne vieille Gossow pour un modèle canadien plus jeune et plus rutilant, n'y aura rien fait, War Eternal était juste un album d'Arch Enemy pas top où le groupe appliquait sa formule en déroulant ses gimmicks habituels, partant de là, il n'y avait pas grand chose à attendre de ce nouveau disque qui arrive avec sa pochette remplie de tous les pires clichés, au moins vous êtes prévenu par le visuel, l'originalité et la prise de risque ne sont pas au menu de cette cuvée 2017, ce qui dévient une sale habitude...
dimanche 26 février 2017
[Chronique] Six Feet Under - Torment
Vous aimez mangez vos excréments? ceux de votre arrière grand-père qui a la chiasse alors?
Non? et le Vomi alors? c'est cool le vomi, c'est plein de protéines... non plus?
C'est con, parce que si vous n'aimez pas manger du caca et du vomi, il va être difficile pour vous d'aimer ce nouvel album de Six Feet Under, parce que ouais, après avoir littéralement chié/vomi/pissé sur Judas Priest et Iron Maiden l'année dernière pour un nouveau volet de la tristement célèbre série des Graveyards Classics, Chris Barnes et ses mercenaires remettent déjà le couvert avec un nouvel album, déjà que Crypt of the Devil était une purge infâme il y a deux ans, sachez que rien n'a changé et que Six Feet Under va tout faire ici pour conserver haut la main son titre de pire groupe de Death Metal de l'histoire, autrement dit, je pense que j'aurais préféré tomber dans une benne de clous rouillés plutôt que d'écouter cette saloperie.
Non? et le Vomi alors? c'est cool le vomi, c'est plein de protéines... non plus?
C'est con, parce que si vous n'aimez pas manger du caca et du vomi, il va être difficile pour vous d'aimer ce nouvel album de Six Feet Under, parce que ouais, après avoir littéralement chié/vomi/pissé sur Judas Priest et Iron Maiden l'année dernière pour un nouveau volet de la tristement célèbre série des Graveyards Classics, Chris Barnes et ses mercenaires remettent déjà le couvert avec un nouvel album, déjà que Crypt of the Devil était une purge infâme il y a deux ans, sachez que rien n'a changé et que Six Feet Under va tout faire ici pour conserver haut la main son titre de pire groupe de Death Metal de l'histoire, autrement dit, je pense que j'aurais préféré tomber dans une benne de clous rouillés plutôt que d'écouter cette saloperie.
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vendredi 9 septembre 2016
[Chronique] Pain - Coming Home
N'y allons pas par quatre chemins, je n'attendais rien, absolument rien, de la part de Peter Tägtgren avec cette nouvelle livraison de Pain, même après cinq ans d'absence du projet, il n'y avait aucune excitation particulière, faut dire aussi que le bon vieux Peter a depuis quelques années mis tous ses projets en pilotage automatique, notamment Hypocrisy, c'est pas que c'est véritablement de la merde, mais c'est toujours pareil, Tägtgren n'en a plus rien à foutre, il ne fait plus de musique, encore moins de l'art, il fait des produits, calibrés et prémâchés à destination d'un public déjà acquis à sa cause et qui achètera de toute façon le bouzin sans être trop regardant, un public qui s'est peut-être élargi depuis l'année dernière et sa participation au dégueulassement dégueulasse album solo de Till Lindemann, qui lui avait déjà permis à l'époque de recycler... du Pain, tiens tiens...
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mardi 31 mars 2015
[Chronique] Liturgy - The Art Work
S'il y a bien un groupe détesté par les Trve du Black Metal, c'est bien Liturgy, un groupe dont on a bien du mal à savoir si c'est un Troll ou un véritable projet artistique, il faut dire aussi que son leader Hunter Hunt-Hendrix cristallise la haine des trve par son discours pompeux et abscons, c'est au moins la seule chose qui rapproche Liturgy du Black, le fait d'avoir un leader attention whore qui se recherche la lumière à tout prix et qui se prend ridiculement trop au sérieux.
Bref, après Renihilation et Aesthethica, il était difficile de dire si le groupe était une blague ou non, mais ça c'était avant, car pour son troisième album, Liturgy enlève définitivement le masque, et il n'y a désormais plus aucun doute, Hunter Hunt-Hendrix est un Troll, et The Art Work est une gigantesque merde, mais pas une petite hein, un furoncle, une daube, du n'importe quoi, c'est un peu comme si Liturgy voulait aussi redéfinir à lui seul le concept même d'album de merde, et il y parvient sans mal, The Art Work, c'est l'alpha et l'oméga de la merde, impossible de descendre plus bas, à moins de s'enregistrer en train de chier sur un tambour, mais ce sera peut-être pour le quatrième album...
Bref, après Renihilation et Aesthethica, il était difficile de dire si le groupe était une blague ou non, mais ça c'était avant, car pour son troisième album, Liturgy enlève définitivement le masque, et il n'y a désormais plus aucun doute, Hunter Hunt-Hendrix est un Troll, et The Art Work est une gigantesque merde, mais pas une petite hein, un furoncle, une daube, du n'importe quoi, c'est un peu comme si Liturgy voulait aussi redéfinir à lui seul le concept même d'album de merde, et il y parvient sans mal, The Art Work, c'est l'alpha et l'oméga de la merde, impossible de descendre plus bas, à moins de s'enregistrer en train de chier sur un tambour, mais ce sera peut-être pour le quatrième album...
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jeudi 5 décembre 2013
[Chronique] Five Finger Death Punch - The wrong side of heaven & the righteous side of hell, vol. 2
C'est marrant, mais quand on regarde bien le logo de Five Finger Death Punch et que l'on voit l'acronyme, on lit 5 FDP... coïncidence? je ne pense pas.
Bref, vulgaire stratégie commerciale oblige, nos 5 FdP américains ont décidé de sortir non pas un, mais deux bouses albums cette année, et ceci à même pas quatre mois d’intervale vu que que le premier volume de ce The wrong side of heaven & the righteous side of hell est sorti fin juillet, même Stone Sour n'avait pas osé sortir son doublement médiocre House of Gold & Bones la même année.
Je n'avais pas osé chroniquer le premier volume, mais je l'avais écouté, un peu, par curiosité, surtout parce qu'il y avait Rob Halford en guest sur le premier single (c'est triste de vieillir, le Metal God deviendrait-il sénile?), il y avait aussi la reine du Nü-Metalcore putassier Maria Brink, mais on s'en tape, tout ça pour dire que même si le premier volume de cet album au titre bien trop long pour que je me fasse chier à l'écrire à chaque fois était diablement médiocre et assez représentatif de la soupe pour adolescente mêlant Groove, Thrash, Metalcore et Big Rock US, il n'en demeurait pas mois qu'il était assez catchy et énergique, après tout, on parle de soupe radio friendly ultra calibré, c'est quand même la moindre des choses, le Volume 2 est tout pareil, mais en encore moins bien, et pour le coup, les 5 FDP se foutent bien de la gueule du monde en proposant ce qui semblent être une jolie collections de chutes de studio, ouais, c'est à ce point médiocre et totalement dépourvu d'attributs masculins...
mardi 4 juin 2013
[Chronique] Megadeth - Super Collider
Lettre ouverte à Dave Mustaine de Megadeth
Très cher Dave, Ta gueule.
Amicalement, Djim.
Il faut que tu saches une chose: Je t'aime, toi et ton groupe, tu n'as jamais été un bon chanteur pourtant, tu chantes même comme une patate, mais t'es un putain de guitariste, ouais, j'ai toujours adoré Megadeth, d'un amour inconditionnel, plus encore que pour tes anciens potes de Metallica, d'ailleurs tu avais bien mieux passé le cap des années 90 qu'eux, tu avais choisi de délaisser le Thrash pour t'orienter un peu plus vers le Hard Rock US après le coup de génie qu'était Rust in Peace, et c'était pas trop mal, avec Countdown to Extinction, Youthanasia et Cryptic Writings, seulement voilà, même si je t'aime, j'ai quitté le navire comme un peu tout le monde quand tu as sorti le lamentable et pathétique Risk, tu t'es quand même bien chié dessus avec ce disque, et il t'aura fallu du temps pour t'en remettre, tu avais même tué le groupe après The World needs a hero avant de le reformer deux ans plus tard, trois albums avant le miracle Endgame en 2009, c'était pas du génie non plus, faut pas pousser, mais tu retrouvais tes couilles et tu sortais enfin un vrai album de Thrash à l'ancienne, mais la constance, c'est définitivement pas ton truc, et le soufflet retombait avec Th1rt3en, j'avais été un peu dur avec cet album, mais il le méritait bien tant tu ne t'étais pas trop fait chier avec ce disque, non?
Pourtant, j'y croyais encore, j'osais croire que t'en avais encore sous la semelle et que Th1rt3en n'était qu'un petit accroc sur le chemin de la resurrection, et puis t'as dévoilé le premier single de ton nouvel album, Super Collider, qui m'a fait vomir du sang par le cul, ni plus, ni moins, un titre qui laissait présager du pire, et le pire, tu me l'as donné, car ton nouveau disque est incroyablement pourri, dans sa totalité, un échec total, et une fois de plus, tu m'as laissé tomber...
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mardi 17 avril 2012
Emmure - Slave to the Game
(Note: Je sais, j'avais prévu plein de trucs pour le week-end dernier, mais suite à un problème technique, je n'ai rien pu poster, du coup, je me rattraperai cette semaine, mon bébé est de retour avec une nouvelle carte graphique et de la puissance supplémentaire, vous allez bouffer de la chronique toute la semaine...)
Ok, vous devez vous demander pourquoi je vais chroniquer un album d'Emmure alors que je passe mon temps à chier sur le Deathcore dès que j'en ai l'occasion, surtout dans TV Metal, et je n'ai pas vraiment de réponse à vous donner, mais dans un souci de pluralisme sur ce blog, je me suis jeté à l'eau... ou plutôt dans la fange, afin de vous proposer une chronique, le plus honnête possible (lol) et sans parti-pris (re-lol).
Emmure fait donc du Deathcore, et nous livre ici son cinquième album studio depuis 2007, je ne vous parlerai pas des albums précédents, je ne les ai pas écouté, et ce n'est pas près d'arriver vu le niveau atteint par ce Slave to the Game, qui comme son nom l'indique, parle de jeux vidéo (et aussi de comics)...
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mardi 24 janvier 2012
Enter Shikari - A Flash Flood of Colour
Un peu tristounet ce début d'année, pour l'instant rien ne m'a vraiment emballé, il n'y a qu'à voir les récentes chroniques, toutes plus déprimantes les unes que les autres.
Alors je me suis dis, quitte à chroniquer des albums pas top, autant directement chroniquer de la merde, et ça tombe bien, il y a justement de la chair à canon en stock, avec les nouvelles galettes de Enter Shikari et Attack Attack!
Notons que je n'ai jamais vraiment écouté ces groupes, mais je me suis tapé pas mal de leurs vidéos lors des précédentes éditions de TV Metal, amplement suffisant pour se faire une idée de leur médiocrité.
Mais il fallait faire un choix, car mettre les mains dans la merde, ok, mais pas deux fois, faut pas déconner, et c'est donc à pile ou face que l'impitoyable sélection s'est opérée, la pochette avec des bites, ou la pochette avec un triangle rouge? C'est donc sur Enter shikari que c'est tombé, et franchement, à posteriori, j'aurai préféré me couper une jambe avec une lime à ongles plutôt que d'écouter ce putain de désastre auditif...
Heureusement, la chronique sera courte...
Heureusement, la chronique sera courte...
dimanche 5 juin 2011
Morbid Angel - Illud Divinum Insanus
8 ans putain!
8 années après le "moyen" Heretic, Morbid Angel revient pour vous botter le cul et mettre tout le monde d'accord avec un putain d'album de Death Metal... enfin bon, c'était le plan initial.
Le résultat de ces 8 années d'absence et de travail: une putain de grosse merde ignoble.
Ce Illud Divinum Pulanus n'est pas seulement un échec, ou un album raté, c'est une insulte, un glaviot dans la gueule des fans, un foutage de gueule insensé, que je ne n'arrive pas à expliquer.
Pourtant, en dehors du retour de David Vincent, le Morbid Angel nouveau a, sur le papier, de la gueule, avec le remplacement (temporaire?) de Pete Sandoval par l'excellent Tim Yeung (Hate Eternal et un CV long comme le bras) et l'arrivée de Destructhor, guitariste des brutaux Zyklon et Myrkskog, pas le genre de gars à plaisanter donc, même si la photo du groupe faisait un peu gay...
L'album débute par une intro de plus de 2 minutes absolument inutile (sérieusement, y'a vraiment des gens qui écoutent les intros?) avant le premier vrai titre, Too Extreme! (yep, le point d'exclamation est d'origine), et là je mets au défi quiconque de ne pas se dire "mais putain c'est quoi cette merde?!"
Le Riff est médiocre, la prod est assez moche, ça sonne de manière bizarre, et la batterie fait un gros boum-boum-boum débile, on dirait même une boite à rythme.
Ah j'oubliais, y'a aussi David Vincent qui gueule vaguement des conneries comme Extreeeeme!!! et We are your new religion! (comme s'il avait 15 ans quoi...)
J'ai quand même vérifié, je n’écoutais pas par erreur une vieille demo jamais sortie de Rob Zombie dont même lui aurait eu honte, c'était bien Morbid Fucking Angel!
Le titre est d'une absolue nullité, quasiment incroyable, et surtout le calvaire dure 6 minutes... Pathétique et choquant.
Le titre suivant, Existo Vulgoré, ressemble enfin vaguement à ce que j'attendais, ça sonne comme du Death Metal (enfin!) avec la voix assez nulle de Vincent, mais bon, c'est quand même du mauvais Morbid Angel hein, contrairement à Blades of Baal, qui pour le coup est presque un bon titre.
Tim yeung peut enfin jouer et on a même droit à un solo correct, youpi!
En fait avec le recul, je me dis que si MA aurait balancé un album avec une dizaine de Blades of Baal (comme le fait finalement Hate eternal avec plus de couilles) on aurait pu dire qu'à défaut d'avoir sorti un disque génial, il aurait redressé le niveau par rapport à Heretic, et tout le monde aurait été presque content...
Mais non, alors qu'on croit que Poo Extreme est loin derrière et que l'album a réellement commencé, MA nous balance un I am Morbid lamentable, une sorte d'hymne tout nul avec même des choeurs... c'est lent, c'est chiant, on ne retient rien, le solo tombe comme un cheveu sur la soupe, et le passage après le solo (vers 4'05) est... choquant.
Le Riff d'ouverture de 10 More Dead ressemble à du machine head période nu-metal un peu groovy (sic), une chanson assez lente, mais quand même boostée vers la moitié avec un bon solo avant de retomber dans l'ennui.
Vous pensiez avoir touché le fond? Que le groupe ne pouvait pas faire pire que Too Extreme! ?
Et bien Destructos Vs. The Earth/Attack (sérieusement??) va se charger de nous prouver le contraire.
C'est bien simple, ce titre, c'est 7 minutes d'Industriel, mais du moche hein, de l'indus à la Rob Zombie/Manson/Genitorturers, c'est répétitif, ça ne va nulle part, tout simplement à vomir!
Notons quand même que durant les 20 dernières secondes de cette chose, on aura droit à la partie Attack annoncée dans le titre, 20 secondes de blasts sous mixés...
Nevermore n'est pas trop dégueulasse, ce qui semble logique vu que c'est finalement une chanson assez vieille que le groupe joue en live depuis un bout de temps, on est dans du Morbid Angel classique, pas génial, mais vu le désastre qu'est cet album, on ne va pas faire la fine bouche, de même que Beauty Meets Beast, une chanson qui alterne entre le bon et le moyen, et qui est plombée par un titre et des paroles ridicules. (C'est récurrent ici, les paroles sont pitoyables)
Après 2 titres un peu Death Metal, c'est reparti pour une immonde saloperie Rock/Goth/electro, surement la pire de l'album, Radikult, avec un K, parce que ça fait plus evil! C'est bien simple, on dirait du Marilyn Manson!
Je crois que je n'avais jamais rien entendu de pire, une chanson où TOUT serait MAUVAIS!
En gros, cette merde, c'est un riff de The Beautiful People, du nu-metal et des paroles de Bodycount!
Entendre David vincent faire quasiment le rapper en gueulant Kill a cop (LOL) et Hardcore Radicals (re-LOL), c'est juste dégueulasse.
L'album se termine sur une autre merde, le Techno/Hardcore/Radical Mix de Dj Azagthoth, le bien ironiquement nommé Profundis - Mea Culpa (Sérieux? c'est une blague?) on ne parle même plus de Metal ici, juste d'un étron puant qui ne ressemble à rien!
Alors j'entends déjà les gens me dire, "c'est dégueulasse de descendre un album, les gars ont le droit d'expérimenter et de changer des trucs"
Expérimenter????
Parce que faire de la daube électro/metal/indus comme il y a 15 ans c'est expérimenter?
Il fut un temps où Morbid Angel expérimentait, où le groupe avait des années d'avance, où ils influençaient le genre, mais en 2011, Morbid Angel est lamentable.
Juste pour rire, un epetite déclaration de Trey Azagthoth dans Decibel Magazine:
"I think the REAL fans of this band understand that already. We don't check into the scene to see what the scene people accept or don't accept.
I'm basically just trying to explore music and push boundaries and create something new, which is something w've been doing anyway"
Ok, donc ce bon vieux Trey a totalement craqué, repousser les frontières? créer quelque chose de nouveau???
Et en plus il nous explique qu'en gros, il n'écoute pas de Death Metal...
Mais putain Trey, si tu voulais être DJ, fallait appeler Igor Cavalera, ou monter un side project avec ton pote David pour te produire dans les boites de nuit de Miami, parce que rappeler David Vincent et ses fringues en latex pour transformer une légende du Death Metal en Genitorturers bis, c'est une idée de merde...
Pour moi, l'album se divise comme suit:
Correct:
Blades of Baal
Existo Vulgoré
Nevermore
Médiocre:
I am Morbid
Beauty meets Beast
10 more dead (seulement en partie)
Trahison/Genitorturers Style/Merdique:
Too Extreme
Destructos vs. the Earth/Attack
Radikult
Profundis - Mea Culpa
J'avoue que je ne comprend pas comment ils ont pu sortir ce truc, personne ne leur à dit que c'était de la merde, même pas les gars que Season of Mist?
D'ailleurs, le label avait-il écouté ce machin avant de décider de sortir une édition limité Ikea à 129€ ??
Morbid Angel est donc responsable de l'un des plus grand fiasco de l'histoire du Metal, ce Illud Divinum Insanus n'est pas seulement leur St Anger à eux, c'est encore pire, une honte absolue, une sorte d'avis de décès en forme de gros majeur adressé à leurs fans et au Death metal en général, "Allez vous faire foutre, on est Morbid Angel et on vous emmerde, si vous ne comprenez pas ce disque, vous êtes des cons."
Alors certes, bien que les "expérimentations" ne représentent finalement que 4 titres sur 10 (et en polluent 3 autres), elles plombent suffisamment ce disque pour l'empêcher d'être sauver par les quelques titres corrects présents sur cette galette.
Et le sentiment de trahison est bien trop fort...
RIP Morbid Angel
0.5/10
L'un des rares bons titres:
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