(Note: Je sais, j'avais prévu plein de trucs pour le week-end dernier, mais suite à un problème technique, je n'ai rien pu poster, du coup, je me rattraperai cette semaine, mon bébé est de retour avec une nouvelle carte graphique et de la puissance supplémentaire, vous allez bouffer de la chronique toute la semaine...)
Ok, vous devez vous demander pourquoi je vais chroniquer un album d'Emmure alors que je passe mon temps à chier sur le Deathcore dès que j'en ai l'occasion, surtout dans TV Metal, et je n'ai pas vraiment de réponse à vous donner, mais dans un souci de pluralisme sur ce blog, je me suis jeté à l'eau... ou plutôt dans la fange, afin de vous proposer une chronique, le plus honnête possible (lol) et sans parti-pris (re-lol).
Emmure fait donc du Deathcore, et nous livre ici son cinquième album studio depuis 2007, je ne vous parlerai pas des albums précédents, je ne les ai pas écouté, et ce n'est pas près d'arriver vu le niveau atteint par ce Slave to the Game, qui comme son nom l'indique, parle de jeux vidéo (et aussi de comics)...