S'il y a bien un groupe détesté par les Trve du Black Metal, c'est bien Liturgy, un groupe dont on a bien du mal à savoir si c'est un Troll ou un véritable projet artistique, il faut dire aussi que son leader Hunter Hunt-Hendrix cristallise la haine des trve par son discours pompeux et abscons, c'est au moins la seule chose qui rapproche Liturgy du Black, le fait d'avoir un leader attention whore qui se recherche la lumière à tout prix et qui se prend ridiculement trop au sérieux.
Bref, après Renihilation et Aesthethica, il était difficile de dire si le groupe était une blague ou non, mais ça c'était avant, car pour son troisième album, Liturgy enlève définitivement le masque, et il n'y a désormais plus aucun doute, Hunter Hunt-Hendrix est un Troll, et The Art Work est une gigantesque merde, mais pas une petite hein, un furoncle, une daube, du n'importe quoi, c'est un peu comme si Liturgy voulait aussi redéfinir à lui seul le concept même d'album de merde, et il y parvient sans mal, The Art Work, c'est l'alpha et l'oméga de la merde, impossible de descendre plus bas, à moins de s'enregistrer en train de chier sur un tambour, mais ce sera peut-être pour le quatrième album...
Bref, après Renihilation et Aesthethica, il était difficile de dire si le groupe était une blague ou non, mais ça c'était avant, car pour son troisième album, Liturgy enlève définitivement le masque, et il n'y a désormais plus aucun doute, Hunter Hunt-Hendrix est un Troll, et The Art Work est une gigantesque merde, mais pas une petite hein, un furoncle, une daube, du n'importe quoi, c'est un peu comme si Liturgy voulait aussi redéfinir à lui seul le concept même d'album de merde, et il y parvient sans mal, The Art Work, c'est l'alpha et l'oméga de la merde, impossible de descendre plus bas, à moins de s'enregistrer en train de chier sur un tambour, mais ce sera peut-être pour le quatrième album...
Après, bien sûr, Liturgy est sur un positionnement hipster, l'artiste incompris d'un grand public trop étroit d'esprit pour réaliser toute la dimension philosophique transcendantale et la vision artistique novatrice de l'artiste (LOL), mais ne vous inquiétez pas, Liturgy trouvera toujours chez Pitchfork ou Noisey un bon connard qui vous dira que The Art Work est un chef-d'oeuvre révolutionnaire du black Metal, trop heureux d'éduquer les masses ignorantes à l'art total de Liturgy (LOL).
Liturgy fait donc du Transcendantal Black Metal, cherchez pas, ça ne veut rien dire, c'est juste un terme inventé par Hunt-Hendrix pour faire son intéressant et se différencier du vil peuple, celui qui précisément ne peut pas comprendre Liturgy car il est bien trop con pour ça, vous savez, The Art Work est le genre d'album qui va être détesté par tout le monde mais que certains chroniqueurs vont encenser uniquement dans le but d'avoir un avis différent de la plèbe, dans le genre, vous être trop stupides pour comprendre, moi j'ai compris.
The Art Work est-il un album de Black? NON!
Est-il expérimental? non
Avant-Gardiste? non plus.
Après tout, je vous avais prévenu, c'est de la merde.
Finalement, ça tombe bien que je vous parle de cet album maintenant, dans la mesure où ma chronique précédente était celle du dernier Dødheimsgard, pour le coup un véritable album de Black d'avant-garde expérimental, et The Art Work est la parfaite antithèse de A Umbra Omega, son parfait contraire, les norvégiens frôlaient la perfection, Liturgy propose une redéfinition de la merde.
Soyons sérieux, être expérimental, ce n'est pas faire n'importe quoi, mais c'est précisément ce que fait Liturgy, cet album est un pur concentré de n'importe quoi, une superposition de textures qui ne vont pas ensemble, sans aucune cohérence, c'est un peu un sandwich pâté/nutella/maroilles où le pain est remplacé par des galettes d'excréments, et si on ajoute à ça le bruit et l'odeur, l'auditeur, il devient fou...
The Art Work est une blague débile pas drôle, incohérente à l'extrême, bordélique, mal composé, avec un chant complètement à côté de la plaque, des blasts Black qui apparaissent parfois en étant hors de propos, et surtout, un cauchemar de bidouillages électroniques, transcendantal mon cul, écouter cet album, c'est manger un sandwich à la merde, l'apprécier, c'est de la scatophilie pure et simple, The Art Work est l'oeuvre d'un type qui veut faire de L'industriel électronique mais qui n'a aucune idée de comment faire, où plutôt il aurait de l'eau dans le cerveau, ce qui expliquerait beaucoup de choses.
Déjà, dès l'intro du disque, on se demande où on est tombé, Fanfare porte bien son nom, vu que c'est presque... une fanfare (duh!) qui joue de la merde, globalement des cuivres pourris et de la flûte à bec jouée par un trisomique, ce qui pourrait être sympa et WTF dans le bon sens du terme si ça ne durait pas plus de deux minutes, et on retrouvera cette flûte à bec débile sur le premier vrai titre Follow, qui mélange tout et n'importe quoi, chant clair désynchronisé, un vague chant black, des tonnes de bidouillages électro, et de la merde sonore, d'emblée ça part mal, mais on va toucher le fond du fin fond des abysses de la nullité abyssale avec Kel Valhaal, et c'est sept minutes de Drone électronique avec encore cette fanfare, SEPT putain de minutes avec en plus Hunt-Hendrix qui continue avec son """chant""" casse-couilles, c'est globalement à ce moment là que j'ai contemplé l'idée de m'ouvrir les veines, car il restait sept putains de """chansons""" derrière.
Liturgy fait donc du Transcendantal Black Metal, cherchez pas, ça ne veut rien dire, c'est juste un terme inventé par Hunt-Hendrix pour faire son intéressant et se différencier du vil peuple, celui qui précisément ne peut pas comprendre Liturgy car il est bien trop con pour ça, vous savez, The Art Work est le genre d'album qui va être détesté par tout le monde mais que certains chroniqueurs vont encenser uniquement dans le but d'avoir un avis différent de la plèbe, dans le genre, vous être trop stupides pour comprendre, moi j'ai compris.
The Art Work est-il un album de Black? NON!
Est-il expérimental? non
Avant-Gardiste? non plus.
Après tout, je vous avais prévenu, c'est de la merde.
Finalement, ça tombe bien que je vous parle de cet album maintenant, dans la mesure où ma chronique précédente était celle du dernier Dødheimsgard, pour le coup un véritable album de Black d'avant-garde expérimental, et The Art Work est la parfaite antithèse de A Umbra Omega, son parfait contraire, les norvégiens frôlaient la perfection, Liturgy propose une redéfinition de la merde.
Soyons sérieux, être expérimental, ce n'est pas faire n'importe quoi, mais c'est précisément ce que fait Liturgy, cet album est un pur concentré de n'importe quoi, une superposition de textures qui ne vont pas ensemble, sans aucune cohérence, c'est un peu un sandwich pâté/nutella/maroilles où le pain est remplacé par des galettes d'excréments, et si on ajoute à ça le bruit et l'odeur, l'auditeur, il devient fou...
The Art Work est une blague débile pas drôle, incohérente à l'extrême, bordélique, mal composé, avec un chant complètement à côté de la plaque, des blasts Black qui apparaissent parfois en étant hors de propos, et surtout, un cauchemar de bidouillages électroniques, transcendantal mon cul, écouter cet album, c'est manger un sandwich à la merde, l'apprécier, c'est de la scatophilie pure et simple, The Art Work est l'oeuvre d'un type qui veut faire de L'industriel électronique mais qui n'a aucune idée de comment faire, où plutôt il aurait de l'eau dans le cerveau, ce qui expliquerait beaucoup de choses.
Déjà, dès l'intro du disque, on se demande où on est tombé, Fanfare porte bien son nom, vu que c'est presque... une fanfare (duh!) qui joue de la merde, globalement des cuivres pourris et de la flûte à bec jouée par un trisomique, ce qui pourrait être sympa et WTF dans le bon sens du terme si ça ne durait pas plus de deux minutes, et on retrouvera cette flûte à bec débile sur le premier vrai titre Follow, qui mélange tout et n'importe quoi, chant clair désynchronisé, un vague chant black, des tonnes de bidouillages électro, et de la merde sonore, d'emblée ça part mal, mais on va toucher le fond du fin fond des abysses de la nullité abyssale avec Kel Valhaal, et c'est sept minutes de Drone électronique avec encore cette fanfare, SEPT putain de minutes avec en plus Hunt-Hendrix qui continue avec son """chant""" casse-couilles, c'est globalement à ce moment là que j'ai contemplé l'idée de m'ouvrir les veines, car il restait sept putains de """chansons""" derrière.
Bon, je suis un peu dur, il y a deux morceaux qui ne donneront pas trop envie de vomir du sang par le cul, Quetzalcoatl est vaguement écoutable, c'est peut-être la seule fois où Liturgy parvient à faire correctement son mix Electro/Indus/Post-Metal, sans être non plus brillant, on peut y ajouter Reign Array, qui n'est qu'un morceau de Post-Black médiocre, mais c'est mieux que rien, et surtout mieux que la merde infâme du groupe servie par le groupe sur l'album, dommage que le chant à ce point pénible et que le titre est dix fois trop long, en dehors de ces deux titres à peu près écoutables, disons moins nuls que les autres, rien à sauver, et surtout pas un Vitriol qui voit Liturgy partir loin dans la nullité avec une mêlasse Hip-Hop bien dégueulasse, décidément, il faut bien du courage pour se taper cette purge jusqu'au bout, et je pense que dans ma vie, je n'ai rien écouter d'aussi nul, que ce soit Metal ou pas, The Art Work est tellement mauvais qu'il ferait passer un random album du gros Cavalera pour un coup de génie, c'est vous dire le niveau atteint par Liturgy, qui nous délivre ici une véritable leçon d'anti-musique, d'anti-art, juste du foutage de gueule qu'il est impossible à prendre au sérieux...
The Art Work est l'équivalent de la Merde d'Artiste de Piero Manzoni, sauf qu'au lieu de chier dans une boîte, Hunter Hunt-Hendrix a chié sur un disque, ce qui est tout aussi sale, c'est aussi un peu comme se retrouver dans un musée d'art contemporain où dubitatif tu regardes un artiste chier par terre pour symboliser les droits des chats errants aux soins dentaires devant un public de fins connaisseurs qui eux comprennent le sens de la démarche...
Le doute n'est désormais plus permis, Liturgy est une gigantesque blague, et Hunt-Hendrix le plus grand Troll de l'histoire du "Metal", même si Metal n'est pas le qualificatif le plus approprié pour cet album, alors Black Metal, ni pensez même pas, The Art Work est une merde, plus qu'une blague, une insulte, c'est un sandwich à la merde que Liturgy vous demande de manger, et à moins d'être scatophile, passez votre chemin, il n'y a rien ici qui soit digne d'intérêt, pas expérimental, pas transcendantal, pas avant-gardiste, juste une grosse merde, allez hop, on tire la chasse et on fait comme si ce disque n'avait jamais existé...
The Art Work est l'équivalent de la Merde d'Artiste de Piero Manzoni, sauf qu'au lieu de chier dans une boîte, Hunter Hunt-Hendrix a chié sur un disque, ce qui est tout aussi sale, c'est aussi un peu comme se retrouver dans un musée d'art contemporain où dubitatif tu regardes un artiste chier par terre pour symboliser les droits des chats errants aux soins dentaires devant un public de fins connaisseurs qui eux comprennent le sens de la démarche...
Le doute n'est désormais plus permis, Liturgy est une gigantesque blague, et Hunt-Hendrix le plus grand Troll de l'histoire du "Metal", même si Metal n'est pas le qualificatif le plus approprié pour cet album, alors Black Metal, ni pensez même pas, The Art Work est une merde, plus qu'une blague, une insulte, c'est un sandwich à la merde que Liturgy vous demande de manger, et à moins d'être scatophile, passez votre chemin, il n'y a rien ici qui soit digne d'intérêt, pas expérimental, pas transcendantal, pas avant-gardiste, juste une grosse merde, allez hop, on tire la chasse et on fait comme si ce disque n'avait jamais existé...
The Art Doesn't Work
Track Listing:
1. Fanfare 02:21
2. Follow 03:31
3. Kel Valhaal 07:11
4. Follow II 07:30
5. Quetzalcoatl 04:48
6. Father Vorizen 05:58
7. Haelegen 02:55
8. Reign Array 11:36
9. Vitriol 05:21
10. Total War 05:06