La carrière de Judas Priest depuis vingt-cinq ans ressemble à une mauvaise franchise de slashers de série B (ou Z plutôt), à chaque fois tu crois que le bogeyman est mort à la fin du film mais il revient toujours pour un film suivant toujours plus nul que le précédent.
Judas Priest était donc mort en 1992 quand Rob Halford s'était barré, mais il est revenu à la vie dix ans plus tard après l'échec de la carrière solo du Metal God, Judas Priest était également mort en 2008 après le dégueulasse Nostradamus, Judas Priest était re-re-mort vers 2011 après le départ de K.K Downing et la grosse arnaque de sa putain de """tournée d'adieux""" où ils ont fait passé les fans à la caisse tout en sachant très bien que ce n'était pas encore tout à fait terminé, et puis il y a eu Redeemer of Souls, encore une autre dégueulasserie où le groupe était vieux, usé, fatigué, à la ramasse et incapable de sortir un bon riff, cette fois on pouvait penser que c'était la bonne... sauf que non, et vous savez ce qui se passe quand une franchise autrefois à succès est au fond du trou et qu'il faut continuer à faire du pognon? ouais, tout à fait, c'est l'heure du reboot!!!!
Un reboot clinquant, survitaminé en studio, gavé d'effets spéciaux pour redonner du punch et du nerf à de vieilles recettes, et du sang neuf aussi, car le Judas Priest que vous avez connu pendant son âge d'or est définitivement mort et enterré, sans Downing c'était déjà louche (surtout qu'il y a eu un petit drama dernièrement et qu'on a appris que la séparation ne fut pas aussi amicale qu'on croyait), mais alors là, c'est Glenn Tipton qui vient de lâcher l'affaire, pas de sa faute, le petit vieux à la tremblote et c'est compliqué de jouer de la guitare avec la maladie de Parkinson, ce qui ne l'a pas empêché, d'après l'annonce du groupe, d'avoir joué toutes ses parties sur ce nouvel album, ce qui est possiblement une grosse connerie puisque, on y reviendra plus tard, il ne reste plus vraiment de trace de la touche Tipton dans Firepower, que ce soit dans les riffs où les solos, dire que c'est Faulkner et le désormais nouveau guitariste live Andy Sneap (également co-producteur du bouzin) qui se soient attelé à la tâche semble assez probable, même si on en saura jamais rien puisque Judas Priest ne communiquera plus jamais sur le sujet et que de toute façon, les déclarations du groupe ont autant de valeur que celles de Kiss à l'époque de Psycho Circus quand ils baratinaient qu'Ace Frehley jouait dessus, les vieux groupes aiment bien raconter des conneries...
Bref, Judas Priest est donc officiellement mort avec Firepower, ce reboot de Judas Priest n'est plus qu'un projet solo de Rob Halford sous le nom de Judas Priest, point barre, ce qui ne veut pas dire que c'est un mauvais disque, entendons-nous bien là-dessus, ce que je veux dire, c'est que Firepower est en tout point identique à n'importe quel disque de Rob Halford en solo, ceux des années 2000, Resurrection, Crucible, Made of Metal, d'honnêtes ersatz de Judas Priest chargés de punch et de testostérone, des albums composés en studio par ce renard de Roy Z à l'époque, avec Firepower Roy Z a été remplacé par Faulkner et Sneap, ce qui ne change pas grand chose à l'affaire, tant Firepower est un produit destiné à plaire à tous les fans du groupe, Judas Priest a identifié que les fans aimaient Painkiller, après tout, on parle du dernier album un tant soit peu intouchable du groupe (qui date de vingt-huit ans quand même), et c'est donc là que le groupe nous renvoie (en fait ce sera plutôt Ram It Down mais passons), enfin, quand je dis le groupe, on parle bien sûr des producteurs du bouzin puisque Firepower est un pur produit sans vraiment d'âme qui se contente d'en mettre plein les yeux en misant tout sur la puissance de la production pour donner le change, tant pis si les recettes sont usées et que les riffs soient vachement quelconques et passe-partout, ça sonne lourd et agressif donc ça passe, le fan s'en contentera, même si à aucun moment on a l'impression que Tipton joue sur ce disque, on ne reconnaîtra pas vraiment sa patte dans les riffs ou les leads, car tout est bourrin et sans aucune finesse, presque trop basique avec une approche surement trop frontale.
Une production clinquante, moderne, surpuissante, enrobant un Heavy Metal carrément basique et sans aucun feeling, souvent bourrin d'ailleurs, avec ses gros riffs musculeux et sa section rythmique massive, bravo Judas Priest, vous venez d'accoucher d'un album de Primal Fear.
Mais un bon disque de Primal Fear hein, où la seule chose qui rappellerait qu'on est chez l'original et non chez une copie teutonne serait la jeu de batterie de Scott Travis et le chant du légendaire Metal Godemichet, car niveau riff, on sent le travail de producteur qui applique à la lettre une formule toute faite, prenez juste le premier morceau, ouais, l'éponyme, ça tabasse à mort, c'est violent, bourrin, ça sonne gros et vigoureux, et magie de la technologie (comme en live...), Halford rechante correctement et retrouve du coffre avec un chant puissant et toujours vicieux, évidemment que c'est très bête et terriblement bas-de-plafond, le morceau partageant pas mal de similitudes avec Resurrection sur l'album solo paru en 2000 d'Halford, mais ça fera largement l'affaire pour donner le change.
Partant de là, ce sera du solide sans être jamais la grosse folie, c'est du Judas Priest un peu joué par des robots, sans franchement de feeling et de chaleur, sans vraiment d'âme quoi, mais du Judas Priest correct qui semble vouloir à tout prix rassurer sur son état de santé, ils ont même rappelé un de leur producteurs historiques en la personne de Tom Allom, qui n'avait plus travaillé avec le groupe depuis Ram it Down en 1998, c'est un peu la caution authentique afin de montrer la volonté du groupe de revenir à une époque où il était bien plus en verve que dernièrement, le début d'album sera d'ailleurs sacrément burné, et ça fait très longtemps qu'on avait pas eu un Judas Priest avec autant d'envie d'en découdre, Lightning Strike va faire dans le Heavy sans concession superbement lourd et implacable malgré un refrain un poil fatigué, les deux morceaux les plus vigoureux et frénétiques seront donc placés en ouverture histoire de montrer que le groupe est enfin de retour après 28 ans d'errance, retour aux fondamentaux sans expérimentations, juste du pur Heavy Metal qui ressemble à Judas Priest sans en être vraiment puisqu'il s'agit d'un album solo de Rob Halford composé par des producteurs qui connaissent le business, entendons-nous bien là-dessus.
Il est évident que vue la volonté du groupe de sortir un album de gros dur, ça ne va pas faire dans la finesse, et surtout, ça ne va absolument rien révolutionner du tout, Firepower me rappelle les albums de Saxon, le dernier en date des anglais m'a fait le même effet, ça joue très dur, en forçant le trait et en durcissant constamment le propos sans aucune raison particulière, ça sonne classique, mais ça n'a que pour seul but d'être une sorte de bulletin de santé destiné à rassurer les fans et leur donner envie de payer une place pour la tournée, il est évident qu'avec Judas Priest on est au niveau au dessus d'un Saxon, mais ça reste la même démarche, on rassure, mais en recyclant à mort, et la volonté de sonner fort et dur ne s'accompagnera jamais par la composition de nouveaux classiques, il n'y en a d'ailleurs aucun dans Firepower, juste une ribambelle de morceaux corrects sans plus qui auraient pu se retrouver sur les albums solos d'albums de Rob Halford ou que l'on trouve dans n'importe quel disque de Primal Fear depuis vingt ans.
Firepower n'est pas non plus exempt de tout défaut, il est avant tout une oeuvre de producteurs et de compositeurs compétents qui appliquent une formule en tentant d'émuler le riffing de Tipton, le problème c'est que ça va vite tourner en rond dans les codes et les formules toutes faites, il manque à cet album du charisme et de la folie, Evil never Dies va maintenir la série de bons titres qui ouvrent la galette avec un certain sens du bourrinage et une curieuse dimension Rock n' Roll qui cohabite avec une rythmique lourde de chez lourde aussi gracieuse qu'un bulldozer dans un jardin d'enfants, le souci avec les albums sans âme comme ça, c'est qu'on en atteint très vite les limites, la première partie est de très bonne tenue, c'est un très bon disque de Primal Fear, rien à dire, ça claque et ça envoie le pâté, il n'y a aucune subtilité, chaque morceau est produit pour rappeler le passé glorieux du groupe en en reprenant tous les détails et tous les gimmicks, ça partira un peu plus en sucette après l'interlude complètement inutile qui viendra casser le rythme, et enverra l'album dans le quelconque, avec souvent du mid-tempo certes très Heavy, mais dont on ne retient pas grand chose.
Et c'est tout le souci de Firepower, comme n'importe quel album de Saxon, on l'écoute, on trouve ça cool, on se dit qu'après autant d'année à rouler leur bosse c'est quand même impressionnant de sonner toujours aussi heavy et de ne jamais ralentir, et après quelques écoutes... on oublie l'album et on passe à autre chose tout en sachant que de toute façon, ça n'atteindra jamais le niveau des classiques des années 80, c'est ce qu'est Firepower, un superbe disque facilement oubliable, surtout la seconde moitié, de la Power Ballade Rising from Ruins dont on retiendra le titre plutôt évocateur à un Spectre superbement plat et chiant en passant par un Flame Thrower bancal à mort qui semble être un leftover qui n'aurait même pas fait le cut sur un album de Fight (un des projets solo de Rob Halford dans les 90's) avec son mélange de Groove de tâcheron et de rock 'n' Roll d'un autre âge, on va vite carburer à l'ordinaire, car l'album comporte quatorze titres et dure quasiment une heure, ce qui est effroyablement trop long, surtout quand on remplit le disque avec une flopée de morceaux aussi banals que Traitors Gate ou No Surrender, jusqu'à la grosse faute de goût Lone Wolf, morceau incompréhensible totalement hors de propos et à côté de la plaque, le seul morceau que l'on peu vraiment qualifier de nul et dégueulasse sur ce disque, ce qui est quand même un sacré progrès pour un groupe en perdition depuis des années.
Judas Priest était donc mort en 1992 quand Rob Halford s'était barré, mais il est revenu à la vie dix ans plus tard après l'échec de la carrière solo du Metal God, Judas Priest était également mort en 2008 après le dégueulasse Nostradamus, Judas Priest était re-re-mort vers 2011 après le départ de K.K Downing et la grosse arnaque de sa putain de """tournée d'adieux""" où ils ont fait passé les fans à la caisse tout en sachant très bien que ce n'était pas encore tout à fait terminé, et puis il y a eu Redeemer of Souls, encore une autre dégueulasserie où le groupe était vieux, usé, fatigué, à la ramasse et incapable de sortir un bon riff, cette fois on pouvait penser que c'était la bonne... sauf que non, et vous savez ce qui se passe quand une franchise autrefois à succès est au fond du trou et qu'il faut continuer à faire du pognon? ouais, tout à fait, c'est l'heure du reboot!!!!
Un reboot clinquant, survitaminé en studio, gavé d'effets spéciaux pour redonner du punch et du nerf à de vieilles recettes, et du sang neuf aussi, car le Judas Priest que vous avez connu pendant son âge d'or est définitivement mort et enterré, sans Downing c'était déjà louche (surtout qu'il y a eu un petit drama dernièrement et qu'on a appris que la séparation ne fut pas aussi amicale qu'on croyait), mais alors là, c'est Glenn Tipton qui vient de lâcher l'affaire, pas de sa faute, le petit vieux à la tremblote et c'est compliqué de jouer de la guitare avec la maladie de Parkinson, ce qui ne l'a pas empêché, d'après l'annonce du groupe, d'avoir joué toutes ses parties sur ce nouvel album, ce qui est possiblement une grosse connerie puisque, on y reviendra plus tard, il ne reste plus vraiment de trace de la touche Tipton dans Firepower, que ce soit dans les riffs où les solos, dire que c'est Faulkner et le désormais nouveau guitariste live Andy Sneap (également co-producteur du bouzin) qui se soient attelé à la tâche semble assez probable, même si on en saura jamais rien puisque Judas Priest ne communiquera plus jamais sur le sujet et que de toute façon, les déclarations du groupe ont autant de valeur que celles de Kiss à l'époque de Psycho Circus quand ils baratinaient qu'Ace Frehley jouait dessus, les vieux groupes aiment bien raconter des conneries...
Bref, Judas Priest est donc officiellement mort avec Firepower, ce reboot de Judas Priest n'est plus qu'un projet solo de Rob Halford sous le nom de Judas Priest, point barre, ce qui ne veut pas dire que c'est un mauvais disque, entendons-nous bien là-dessus, ce que je veux dire, c'est que Firepower est en tout point identique à n'importe quel disque de Rob Halford en solo, ceux des années 2000, Resurrection, Crucible, Made of Metal, d'honnêtes ersatz de Judas Priest chargés de punch et de testostérone, des albums composés en studio par ce renard de Roy Z à l'époque, avec Firepower Roy Z a été remplacé par Faulkner et Sneap, ce qui ne change pas grand chose à l'affaire, tant Firepower est un produit destiné à plaire à tous les fans du groupe, Judas Priest a identifié que les fans aimaient Painkiller, après tout, on parle du dernier album un tant soit peu intouchable du groupe (qui date de vingt-huit ans quand même), et c'est donc là que le groupe nous renvoie (en fait ce sera plutôt Ram It Down mais passons), enfin, quand je dis le groupe, on parle bien sûr des producteurs du bouzin puisque Firepower est un pur produit sans vraiment d'âme qui se contente d'en mettre plein les yeux en misant tout sur la puissance de la production pour donner le change, tant pis si les recettes sont usées et que les riffs soient vachement quelconques et passe-partout, ça sonne lourd et agressif donc ça passe, le fan s'en contentera, même si à aucun moment on a l'impression que Tipton joue sur ce disque, on ne reconnaîtra pas vraiment sa patte dans les riffs ou les leads, car tout est bourrin et sans aucune finesse, presque trop basique avec une approche surement trop frontale.
Une production clinquante, moderne, surpuissante, enrobant un Heavy Metal carrément basique et sans aucun feeling, souvent bourrin d'ailleurs, avec ses gros riffs musculeux et sa section rythmique massive, bravo Judas Priest, vous venez d'accoucher d'un album de Primal Fear.
Partant de là, ce sera du solide sans être jamais la grosse folie, c'est du Judas Priest un peu joué par des robots, sans franchement de feeling et de chaleur, sans vraiment d'âme quoi, mais du Judas Priest correct qui semble vouloir à tout prix rassurer sur son état de santé, ils ont même rappelé un de leur producteurs historiques en la personne de Tom Allom, qui n'avait plus travaillé avec le groupe depuis Ram it Down en 1998, c'est un peu la caution authentique afin de montrer la volonté du groupe de revenir à une époque où il était bien plus en verve que dernièrement, le début d'album sera d'ailleurs sacrément burné, et ça fait très longtemps qu'on avait pas eu un Judas Priest avec autant d'envie d'en découdre, Lightning Strike va faire dans le Heavy sans concession superbement lourd et implacable malgré un refrain un poil fatigué, les deux morceaux les plus vigoureux et frénétiques seront donc placés en ouverture histoire de montrer que le groupe est enfin de retour après 28 ans d'errance, retour aux fondamentaux sans expérimentations, juste du pur Heavy Metal qui ressemble à Judas Priest sans en être vraiment puisqu'il s'agit d'un album solo de Rob Halford composé par des producteurs qui connaissent le business, entendons-nous bien là-dessus.
Firepower n'est pas non plus exempt de tout défaut, il est avant tout une oeuvre de producteurs et de compositeurs compétents qui appliquent une formule en tentant d'émuler le riffing de Tipton, le problème c'est que ça va vite tourner en rond dans les codes et les formules toutes faites, il manque à cet album du charisme et de la folie, Evil never Dies va maintenir la série de bons titres qui ouvrent la galette avec un certain sens du bourrinage et une curieuse dimension Rock n' Roll qui cohabite avec une rythmique lourde de chez lourde aussi gracieuse qu'un bulldozer dans un jardin d'enfants, le souci avec les albums sans âme comme ça, c'est qu'on en atteint très vite les limites, la première partie est de très bonne tenue, c'est un très bon disque de Primal Fear, rien à dire, ça claque et ça envoie le pâté, il n'y a aucune subtilité, chaque morceau est produit pour rappeler le passé glorieux du groupe en en reprenant tous les détails et tous les gimmicks, ça partira un peu plus en sucette après l'interlude complètement inutile qui viendra casser le rythme, et enverra l'album dans le quelconque, avec souvent du mid-tempo certes très Heavy, mais dont on ne retient pas grand chose.
Et c'est tout le souci de Firepower, comme n'importe quel album de Saxon, on l'écoute, on trouve ça cool, on se dit qu'après autant d'année à rouler leur bosse c'est quand même impressionnant de sonner toujours aussi heavy et de ne jamais ralentir, et après quelques écoutes... on oublie l'album et on passe à autre chose tout en sachant que de toute façon, ça n'atteindra jamais le niveau des classiques des années 80, c'est ce qu'est Firepower, un superbe disque facilement oubliable, surtout la seconde moitié, de la Power Ballade Rising from Ruins dont on retiendra le titre plutôt évocateur à un Spectre superbement plat et chiant en passant par un Flame Thrower bancal à mort qui semble être un leftover qui n'aurait même pas fait le cut sur un album de Fight (un des projets solo de Rob Halford dans les 90's) avec son mélange de Groove de tâcheron et de rock 'n' Roll d'un autre âge, on va vite carburer à l'ordinaire, car l'album comporte quatorze titres et dure quasiment une heure, ce qui est effroyablement trop long, surtout quand on remplit le disque avec une flopée de morceaux aussi banals que Traitors Gate ou No Surrender, jusqu'à la grosse faute de goût Lone Wolf, morceau incompréhensible totalement hors de propos et à côté de la plaque, le seul morceau que l'on peu vraiment qualifier de nul et dégueulasse sur ce disque, ce qui est quand même un sacré progrès pour un groupe en perdition depuis des années.
J'allais dire que c'est le meilleur disque de Judas Priest depuis Painkiller, mais on est plutôt dans le cadre de l'album le moins mauvais du groupe depuis Painkiller, et ce n'est pas péjoratif quand je dis que c'est le disque le moins mauvais possible à cet instant précis de leur carrière, c'est plutôt un compliment, mais il n'y a rien de vraiment brillant dans Firepower, et en dehors d'une second moitié d'album largement inférieure à la première et d'un titre vraiment nul, on a affaire à un disque correct, sans plus, qui passe bien, qui en met plein la vue de manière artificielle avec sa production surpuissante, mais qui s'oublie très vite, car rien ne retient véritablement l'attention, ça a beau être le "meilleur" album de Judas Priest depuis Painkiller, ça n'en fait pas pour autant un disque brillant, loin de là.
Bien sûr, le seul garant de l'existence du groupe est désormais Rob Halford, car franchement on pourrait remplacer Scott Travis et Ian Hill que personne n'y trouverait rien à redire, sans Downing, désormais sans Tipton, ce Judas Priest est devenu le groupe solo de Rob Halford, où Sneap et Faulkner ont remplacé Roy Z, Firepower est donc ça, un album solo de Rob Halford qui fait dans le bourrin et l'efficace, c'est rutilant, puissant, c'est produit de manière très moderne avec un gros son bien clean, et c'est cool de voir que Judas Priest après presque cinquante ans de carrière soit désormais capable de sonner comme un quelconque Primal Fear, c'est toujours moins mauvais que Nostradamus ou Redeemer of Souls me direz-vous.
Firepower est un cru correct qui rassure sur l'état de santé de ce qui reste du groupe, un groupe qui continuera tant que Rob Halford voudra continuer et qu'il aura les capacités physiques et vocales de le faire, Judas Priest est mort, vive le groupe-solo de Rob Halford maquillé en Judas Priest.
Bien sûr, le seul garant de l'existence du groupe est désormais Rob Halford, car franchement on pourrait remplacer Scott Travis et Ian Hill que personne n'y trouverait rien à redire, sans Downing, désormais sans Tipton, ce Judas Priest est devenu le groupe solo de Rob Halford, où Sneap et Faulkner ont remplacé Roy Z, Firepower est donc ça, un album solo de Rob Halford qui fait dans le bourrin et l'efficace, c'est rutilant, puissant, c'est produit de manière très moderne avec un gros son bien clean, et c'est cool de voir que Judas Priest après presque cinquante ans de carrière soit désormais capable de sonner comme un quelconque Primal Fear, c'est toujours moins mauvais que Nostradamus ou Redeemer of Souls me direz-vous.
Firepower est un cru correct qui rassure sur l'état de santé de ce qui reste du groupe, un groupe qui continuera tant que Rob Halford voudra continuer et qu'il aura les capacités physiques et vocales de le faire, Judas Priest est mort, vive le groupe-solo de Rob Halford maquillé en Judas Priest.
Track Listing:
1. Firepower 03:27
2. Lightning Strike 03:29
3. Evil Never Dies 04:23
4. Never the Heroes 04:23
5. Necromancer 03:33
6. Children of the Sun 04:00
7. Guardians 01:06
8. Rising from Ruins 05:23
9. Flame Thrower 04:34
10. Spectre 04:24
11. Traitors Gate 05:34
12. No Surrender 02:54
13. Lone Wolf 05:09
14. Sea of Red 05:51