C'est comme ça, on y peut rien, on est en 2015 et le groupe de l'ancien hurleur de Cannibal Corpse Chris Barnes continue de sortir inlassablement des albums. (on est bien obligé de citer son ancien groupe puisque c'est globalement le seul argument de vente du bouzin et que Barnes a fait toute sa carrière là dessus)
La discographie de Six Feet Under a donc une particularité, celle d'être parsemé d'une multitude d'étrons et de grosses daubes dégueulasses, du Death au Groove gluant de grosses feignasses pour une flopée d'albums facilement oubliables qui n'intéressent que les fans du gaillard, rigolez pas, ça existe, et j'en connais, des mecs qui doivent jouir en entendant ses aboiements growlés et qui doivent surement se masturber sur ses dreads en concert, le secret de la richesse capillaire du hurleur américain sans doute.
Malgré la médiocrité abyssale de ses productions, Six Feet Under continue sa route dans le néant du Death basique néandertalien, pourtant, on avait cru à un sursaut lors des sorties d'Undead en 2012 et d'Unborn l'année suivante, c'était presque correct (presque), il faut dire aussi que sur ces deux disques, Six Feet Under disposait enfin de bons musiciens, Rob Arnold sur le premier, et Ola englund sur Unborn, ce qui changeait quelque peu la donne, deux ans plus tard, avec Swanson seul guitariste, on va vite retomber dans tous les pires travers du groupe, un combo d'ailleurs réduit sur ce disque à un duo Barnes/Swanson avec des musiciens de session, pour des raisons de coût surement, le budget alloué à la consommation de drogues récréatives de Barnes doit sans doute limiter l'emploi d'autres musiciens à plein temps.
Bref, vous voulez savoir ce qui vous attend avec Crypt of the Devil? de la Merde, avec un grand M, mais ça aurait pu être pire, Six Feet Under aurait pu tout aussi bien ressortir un autre Graveyard Classics et commettre un nouveau viol en réunion de classiques du Metal, on a au moins échappé à ça...
La discographie de Six Feet Under a donc une particularité, celle d'être parsemé d'une multitude d'étrons et de grosses daubes dégueulasses, du Death au Groove gluant de grosses feignasses pour une flopée d'albums facilement oubliables qui n'intéressent que les fans du gaillard, rigolez pas, ça existe, et j'en connais, des mecs qui doivent jouir en entendant ses aboiements growlés et qui doivent surement se masturber sur ses dreads en concert, le secret de la richesse capillaire du hurleur américain sans doute.
Malgré la médiocrité abyssale de ses productions, Six Feet Under continue sa route dans le néant du Death basique néandertalien, pourtant, on avait cru à un sursaut lors des sorties d'Undead en 2012 et d'Unborn l'année suivante, c'était presque correct (presque), il faut dire aussi que sur ces deux disques, Six Feet Under disposait enfin de bons musiciens, Rob Arnold sur le premier, et Ola englund sur Unborn, ce qui changeait quelque peu la donne, deux ans plus tard, avec Swanson seul guitariste, on va vite retomber dans tous les pires travers du groupe, un combo d'ailleurs réduit sur ce disque à un duo Barnes/Swanson avec des musiciens de session, pour des raisons de coût surement, le budget alloué à la consommation de drogues récréatives de Barnes doit sans doute limiter l'emploi d'autres musiciens à plein temps.
Bref, vous voulez savoir ce qui vous attend avec Crypt of the Devil? de la Merde, avec un grand M, mais ça aurait pu être pire, Six Feet Under aurait pu tout aussi bien ressortir un autre Graveyard Classics et commettre un nouveau viol en réunion de classiques du Metal, on a au moins échappé à ça...
Il faudra donc se taper avec Crypt of the Devil une dizaine de morceaux de matériel "original", un disque qui contient tout ce que peut proposer un groupe aussi con et bas-de-plafond que Six Feet Under, c'est à dire tout sauf de bonnes chansons, un album tellement médiocre, un de plus, que l'on se demande comment un tel groupe de tâcherons peut avoir sorti désormais 14 albums et toujours avoir un deal chez un gros label, ah ouais, y'a l'étiquette "ancien chanteur de" pour vendre le bouzin à des couillons nostalgiques.
Nouveaux musiciens de session... roulement de tambour, des mecs de Cannabis Corpse, Phil Hall, Brandon Ellis, et le batteur Josh Hall, utiliser des mecs d'un groupe qui n'est qu'une parodie fumeuse de Cannibal Corpse pour un album d'un groupe qui est une parodie de Cannibal Corpse, Chris Barnes est un putain de génie, c'est en tout cas tout ce qu'il fallait pour transformer Six Feet Under en parodie d'une parodie, c'est l'inception de la parodie, et il est impossible de prendre cet album au sérieux.
Random image horrifique à l'ancienne pour la pochette, titre d'album ultra générique, ça c'est pour l'emballage, d'emblée sa part super bien, non? Rassurez-vous, la musique sera au diapason.
Le cahier des charges est simple, tellement simple qu'il en devient carrément simpliste, du Groove über gras tellement dégueulasse qu'il a la même texture et l'odeur que des excréments collés au cul d'un grabataire oublié depuis une semaine dans un mouroir, du riff ultra basique interchangeable, de la mélodie dans le vain dessein d'essayer de prouver que Six Feet Under est composé de vrais musiciens, et bien entendu, l'idole de toute une génération, Chris Barnes avec son growl en forme d'aboiements débiles, la seule raison d'être du groupe; Partant de là, comment échapper à une purge innommable telle que celle-ci.
Vous cherchez un bon titre? y'en a pas.
En même temps, prendre au sérieux un type de 48 ans qui chante un truc qui s'appelle Broken Bottle Rape, ça va être compliqué.
Six Feet Under propose son mix de Death groovy vaguement Thrashy avec des paroles à prendre au trente-six millième degré, et ça pourrait presque marcher si les riffs n'étaient pas aussi plats et indignes, Six Feet Under propose des riffs de merde complètement quelconques, en complet décalage avec un travail pas trop dégueulasse sur les leads, qui sont bien la seule chose que l'on pourrait éventuellement retenir de ce massacre, après tout, c'est la moindre des choses venant d'un Brandon Ellis également guitariste chez Arsis, c'est aussi le seul élément un tant soi peu technique de la galette, car pour le reste, on nage dans le néant.
Death Metal néandertalien sans une once d’intérêt, sans même un titre vaguement moyen qui sortirait du lot, Six Feet Under fait preuve d'une redoutable constance dans la nullité, avec son groove primitif et ses ambiances que tu vois arriver à des kilomètres tant l'album est prévisible, même les morceaux les plus rapides parviennent par je ne sais quel miracle à passer à côté, ah ben si, c'est facile à expliquer en fait, les riffs sont à chier, et c'est à chaque fois pareil, sur chaque putain de morceau, riff de merde, super solo qui met une bonne ambiance, et retour aux affaires courantes et à la platitude, j'entends bien que le but de Six Feet Under n'est pas de révolutionner quoi que ce soit, mais de proposer un Death rudimentaire et Old-school dont le but est de plaire aux nostalgiques de Cannibal Corpse, mais ce que fait ici Six Feet Under s’apparente à du pur foutage de gueule, il n'y a pas vraiment de mot pour décrire un tel dilettantisme, les mecs ont dû torcher ce disque sur un coin de table entre deux pétards, il n'y a pas d'autres explications, Crypt of the Devil n'est même pas une bonne copie de Cannibal Corpse, c'est dire le niveau cataclysmique de la chose, jamais SFU n'avait sonné de manière aussi générique et inefficace qu'ici.
Comme d'habitude chez Six Feet Under, la puissance et le caractère abrasif que l'on serait en droit d'attendre de ce genre de production sont irrémédiablement noyés dans le groove pataud et lourdaud déployé par Barnes et ses acolytes, surtout que ce bon vieux Chris Barnes est loin d'être à la fête ici, son growl est toujours unique et reconnaissable, pas de doute là-dessus, mais putain que ça semble forcé et à côté de la plaque, Barnes semble être en lutte permanente pour maintenir sur growl sur les rails, jusqu'à en devenir carrément risible, Barnes hurle désormais comme une auto-parodie, ce qui est finalement en parfaite adéquation avec ce qu'est Crypt of the Devil, par ailleurs, on passera poliment sous silence les paroles ridicules à base de Gore de bas étage, l'autre trademark du groupe, encore une chose qui ne changera malheureusement jamais.
Six Feet Under ne combat que dans une seule catégorie désormais, celle du plus mauvais groupe de Death Metal de l'univers, un titre qui se joue entre la horde de Chris Barnes et les allemands de Debauchery, je ne sais pas si ces derniers ont prévu de sortir un disque cette année, mais il va falloir se bouger le cul et descendre encore plus bas pour regagner leur place sur le trône puant, car Crypt of the Devil est une gigantesque étron jeté dans le fosse septique du Death Metal.
Rien à sauver de cette énième livraison de Six Feet Under, 36 minutes de purge Death Metal expédiées à l'arrache par des tâcherons dont le seul argument de vente est la présence de Barnes, c'est bien peu, surtout qu'il est ici en très petite forme, il n'y a aucun intérêt à acheter ce disque vue la foisonnance dans le Death Metal actuellement, je pourrais vous citer facilement un bon millier d'albums supérieurs à celui-ci, passez votre chemin et faites comme si cet album n'était jamais sorti, il n'en vaut pas la peine, où alors considérer cet album comme une bête de foire, car ce n'est pas tous les jours qu'un groupe atteint le Zéro Absolu du Death Metal.
Nouveaux musiciens de session... roulement de tambour, des mecs de Cannabis Corpse, Phil Hall, Brandon Ellis, et le batteur Josh Hall, utiliser des mecs d'un groupe qui n'est qu'une parodie fumeuse de Cannibal Corpse pour un album d'un groupe qui est une parodie de Cannibal Corpse, Chris Barnes est un putain de génie, c'est en tout cas tout ce qu'il fallait pour transformer Six Feet Under en parodie d'une parodie, c'est l'inception de la parodie, et il est impossible de prendre cet album au sérieux.
Random image horrifique à l'ancienne pour la pochette, titre d'album ultra générique, ça c'est pour l'emballage, d'emblée sa part super bien, non? Rassurez-vous, la musique sera au diapason.
Le cahier des charges est simple, tellement simple qu'il en devient carrément simpliste, du Groove über gras tellement dégueulasse qu'il a la même texture et l'odeur que des excréments collés au cul d'un grabataire oublié depuis une semaine dans un mouroir, du riff ultra basique interchangeable, de la mélodie dans le vain dessein d'essayer de prouver que Six Feet Under est composé de vrais musiciens, et bien entendu, l'idole de toute une génération, Chris Barnes avec son growl en forme d'aboiements débiles, la seule raison d'être du groupe; Partant de là, comment échapper à une purge innommable telle que celle-ci.
Vous cherchez un bon titre? y'en a pas.
En même temps, prendre au sérieux un type de 48 ans qui chante un truc qui s'appelle Broken Bottle Rape, ça va être compliqué.
Six Feet Under propose son mix de Death groovy vaguement Thrashy avec des paroles à prendre au trente-six millième degré, et ça pourrait presque marcher si les riffs n'étaient pas aussi plats et indignes, Six Feet Under propose des riffs de merde complètement quelconques, en complet décalage avec un travail pas trop dégueulasse sur les leads, qui sont bien la seule chose que l'on pourrait éventuellement retenir de ce massacre, après tout, c'est la moindre des choses venant d'un Brandon Ellis également guitariste chez Arsis, c'est aussi le seul élément un tant soi peu technique de la galette, car pour le reste, on nage dans le néant.
Death Metal néandertalien sans une once d’intérêt, sans même un titre vaguement moyen qui sortirait du lot, Six Feet Under fait preuve d'une redoutable constance dans la nullité, avec son groove primitif et ses ambiances que tu vois arriver à des kilomètres tant l'album est prévisible, même les morceaux les plus rapides parviennent par je ne sais quel miracle à passer à côté, ah ben si, c'est facile à expliquer en fait, les riffs sont à chier, et c'est à chaque fois pareil, sur chaque putain de morceau, riff de merde, super solo qui met une bonne ambiance, et retour aux affaires courantes et à la platitude, j'entends bien que le but de Six Feet Under n'est pas de révolutionner quoi que ce soit, mais de proposer un Death rudimentaire et Old-school dont le but est de plaire aux nostalgiques de Cannibal Corpse, mais ce que fait ici Six Feet Under s’apparente à du pur foutage de gueule, il n'y a pas vraiment de mot pour décrire un tel dilettantisme, les mecs ont dû torcher ce disque sur un coin de table entre deux pétards, il n'y a pas d'autres explications, Crypt of the Devil n'est même pas une bonne copie de Cannibal Corpse, c'est dire le niveau cataclysmique de la chose, jamais SFU n'avait sonné de manière aussi générique et inefficace qu'ici.
Comme d'habitude chez Six Feet Under, la puissance et le caractère abrasif que l'on serait en droit d'attendre de ce genre de production sont irrémédiablement noyés dans le groove pataud et lourdaud déployé par Barnes et ses acolytes, surtout que ce bon vieux Chris Barnes est loin d'être à la fête ici, son growl est toujours unique et reconnaissable, pas de doute là-dessus, mais putain que ça semble forcé et à côté de la plaque, Barnes semble être en lutte permanente pour maintenir sur growl sur les rails, jusqu'à en devenir carrément risible, Barnes hurle désormais comme une auto-parodie, ce qui est finalement en parfaite adéquation avec ce qu'est Crypt of the Devil, par ailleurs, on passera poliment sous silence les paroles ridicules à base de Gore de bas étage, l'autre trademark du groupe, encore une chose qui ne changera malheureusement jamais.
Six Feet Under ne combat que dans une seule catégorie désormais, celle du plus mauvais groupe de Death Metal de l'univers, un titre qui se joue entre la horde de Chris Barnes et les allemands de Debauchery, je ne sais pas si ces derniers ont prévu de sortir un disque cette année, mais il va falloir se bouger le cul et descendre encore plus bas pour regagner leur place sur le trône puant, car Crypt of the Devil est une gigantesque étron jeté dans le fosse septique du Death Metal.
Rien à sauver de cette énième livraison de Six Feet Under, 36 minutes de purge Death Metal expédiées à l'arrache par des tâcherons dont le seul argument de vente est la présence de Barnes, c'est bien peu, surtout qu'il est ici en très petite forme, il n'y a aucun intérêt à acheter ce disque vue la foisonnance dans le Death Metal actuellement, je pourrais vous citer facilement un bon millier d'albums supérieurs à celui-ci, passez votre chemin et faites comme si cet album n'était jamais sorti, il n'en vaut pas la peine, où alors considérer cet album comme une bête de foire, car ce n'est pas tous les jours qu'un groupe atteint le Zéro Absolu du Death Metal.
1. Gruesome 03:06
2. Open Coffin Orgy 04:22
3. Broken Bottle Rape 03:02
4. Break the Cross in Half 03:35
5. Lost Remains 03:25
6. Slit Wrists 03:54
7. Stab 03:52
8. The Night Bleeds 04:09
9. Compulsion to Brutalize 03:17
10. Eternal Darkness 04:12