Tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes depuis 2016, le Rhapsody d'Alex Staropoli avec son line-up tout neuf continuait sa route en occupant le créneau du Power symphonique de facture traditionnel avec son The Eighth Mountain sorti en début d'année, Fabio Lione était bien au chaud chez Angra et besognait ses autres projets parallèles de temps en temps, et Luca Turilli était... complètement inoccupé depuis l'arrêt des activités de son Rhapsody personnel, c'est justement ça qui allait mettre en péril l'équilibre du Rhapsodyverse™, car vous imaginez bien que ce bon vieux Turilli n'allait pas rester inactif très longtemps, et vous savez ce que fait Turilli quand il a besoin de monter un nouveau groupe? bah ouais, il remonte un Rhapsody tout neuf, l'annonce de la tournée de réunion entre Turilli et Lione ne pouvait que mener vers un autre cash-grab facile et la sortie d'un album histoire de continuer à soutirer du pognon aux fans, c'est donc parti pour les aventures dans le Rhapsodyverse épisode 354, Turilli/Lione Rhapsody - Zero Gravity, fausse renaissance et évolution crapoteuse, parce que ouais, c'est une bien belle daube qui nous est offerte ici.
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dimanche 28 juillet 2019
[Chronique] Turilli/Lione Rhapsody - Zero Gravity (Rebirth And Evolution)
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mardi 17 avril 2018
[Chronique] Kamelot - The Shadow Theory
Immobilisme: Disposition à se satisfaire de l'état présent des choses, à refuser le mouvement ou le progrès.
Ouais, c'est avec cette définition que je souhaitais commencer cette chronique aujourd'hui, afin bien sûr de vous faire partager mon excitation à l'idée de vous parler de ce nouvel album de Kamelot, l'enthousiasme de retrouver enfin un groupe qui fait globalement du surplace depuis une dizaine d'années, appliquant désormais sans aucune volonté de faire autre chose la formule dégrossie avec Ghost Opera, plus d'orchestrations, plus de trucs gothiques/romantiques pour plaire à la ménagère, et putain, même la pochette est sur le même modèle que celles de la période Tommy Karevik depuis Silverthorn, un personnage féminin avec une tonne de photoshop par dessus, même l'identité visuelle du groupe fait du surplace, et partant de là, il n'y a aucune doute sur le contenu de ce nouveau produit musical délivré sans âme par les industries Kamelot, un Power Metal surchargé, sombre, mou du genou, conformiste, dogmatique, qui continue d'enfoncer encore un peu plus le groupe dans une impasse créative dans laquelle il semble se complaire, monde de merde, qu'est-ce que je fous là...
Ouais, c'est avec cette définition que je souhaitais commencer cette chronique aujourd'hui, afin bien sûr de vous faire partager mon excitation à l'idée de vous parler de ce nouvel album de Kamelot, l'enthousiasme de retrouver enfin un groupe qui fait globalement du surplace depuis une dizaine d'années, appliquant désormais sans aucune volonté de faire autre chose la formule dégrossie avec Ghost Opera, plus d'orchestrations, plus de trucs gothiques/romantiques pour plaire à la ménagère, et putain, même la pochette est sur le même modèle que celles de la période Tommy Karevik depuis Silverthorn, un personnage féminin avec une tonne de photoshop par dessus, même l'identité visuelle du groupe fait du surplace, et partant de là, il n'y a aucune doute sur le contenu de ce nouveau produit musical délivré sans âme par les industries Kamelot, un Power Metal surchargé, sombre, mou du genou, conformiste, dogmatique, qui continue d'enfoncer encore un peu plus le groupe dans une impasse créative dans laquelle il semble se complaire, monde de merde, qu'est-ce que je fous là...
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