Après nous avoir livré en 2011 un vibrant hommage à la scène Death néandertalienne nord-américaine (Autopsy en tête) avec son premier album Sleepers in the Rift, on avait bien compris avec l'EP A Saunter Through the Shroud que les suédois de Morbus Chron n'allait pas longtemps traîner ses guêtres dans le marécage putride du Death à l'ancienne.
Ce n'est pas la première fois qu'on nous fait le coup ses dernières années, Tribulation avait drastiquement changé de direction pour son second album l'année dernière, et dans une moindre mesure, Obliteration avait également amorcé un léger virage stylistique, mais ces changements de style sont sans commune mesure avec ce qui nous attend avec le second album de Morbus Chron, Sweven, car soyons clair, il ne s'agit pas de Death Metal ici, encore moins de Old School, et l'on pourrait presque pinailler sur l'appartenance au Metal du groupe (ok, j'exagère un peu), ce nouvel album des suédois marque une profonde rupture avec le Death originel, Morbus Chron est devenu... autre chose...
Ce n'est pas la première fois qu'on nous fait le coup ses dernières années, Tribulation avait drastiquement changé de direction pour son second album l'année dernière, et dans une moindre mesure, Obliteration avait également amorcé un léger virage stylistique, mais ces changements de style sont sans commune mesure avec ce qui nous attend avec le second album de Morbus Chron, Sweven, car soyons clair, il ne s'agit pas de Death Metal ici, encore moins de Old School, et l'on pourrait presque pinailler sur l'appartenance au Metal du groupe (ok, j'exagère un peu), ce nouvel album des suédois marque une profonde rupture avec le Death originel, Morbus Chron est devenu... autre chose...