Cult of Fire étant quelque peu au repos depuis la sortie de son impressionnant मृत्यु का तापसी अनुध्यान en 2013, il faut bien que les mecs s'occupent (ok, ils ont sorti un EP l'année dernière, mais un peu anecdotique), et plutôt que de faire comme la plupart des tchèques, à savoir regarder du Hockey sur glace et boire de la bière, les mecs ont décidé de monter un autre groupe, enfin, deux tiers de Cult of Fire seulement, Death Karma étant composé du batteur Tom Coroner et d'Infernal Vlad pour tout le reste, afin de... euh... comment, dire ça, ah ouais, faire du Cult of Fire en plus Death, je simplifie un peu, mais on est pas si loin de la vérité, même si, on y reviendra, il y a d'autres éléments dans la tambouilles des tchèques.
On y reviendra plus tard, car on va commencer cette chronique avec le gros point noir, le truc qui fâche, le défaut tellement dégueulasse qui risque de gâcher l'intégralité de l'album, ce qui n'est quand même pas rien...
On y reviendra plus tard, car on va commencer cette chronique avec le gros point noir, le truc qui fâche, le défaut tellement dégueulasse qui risque de gâcher l'intégralité de l'album, ce qui n'est quand même pas rien...