Marre de chroniquer des albums de merde, comme annoncé lundi, après une semaine à thème qui m'a vu plonger dans le néant daubesque et la déchéance musicale, il est temps de revenir à chroniquer de bons disques.
Shores of Null donc, groupe italien qui déboule avec son premier album sous le bras, Quiescence, sorti chez Candlelight la semaine dernière, un jeune groupe, formé en 2013, mais à priori pas un groupe de débutants, puisque composé de membres issus de différents groupes de la scène italienne... que je ne connais absolument pas, ça commence mal, mais peut-on me reprocher ma méconnaissance de combos de l'underground rital comme Embrace of Disharmony ou Il Grande Scisma d'Oriente, et encore moins un groupe de prog qui s'appelle Zippo, dont est issu le chanteur, je ne pense pas, de toute façon on s'en tape un peu, non? Intéressons-nous plutôt à Shores of Null, un groupe pas du tout nul... (Lol, mdr, désolé, ça au moins, c'est fait)
Shores of Null donc, groupe italien qui déboule avec son premier album sous le bras, Quiescence, sorti chez Candlelight la semaine dernière, un jeune groupe, formé en 2013, mais à priori pas un groupe de débutants, puisque composé de membres issus de différents groupes de la scène italienne... que je ne connais absolument pas, ça commence mal, mais peut-on me reprocher ma méconnaissance de combos de l'underground rital comme Embrace of Disharmony ou Il Grande Scisma d'Oriente, et encore moins un groupe de prog qui s'appelle Zippo, dont est issu le chanteur, je ne pense pas, de toute façon on s'en tape un peu, non? Intéressons-nous plutôt à Shores of Null, un groupe pas du tout nul... (Lol, mdr, désolé, ça au moins, c'est fait)