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mercredi 6 janvier 2016

[Chronique] Primal Fear - Rulebreaker

Inébranlable, inoxydable, insubmersible, indécrottable, revoilà Primal Fear, ouais, encore, pour ce qui est en train de devenir un vieux marronnier de ce blog, tous les deux ans en janvier, je vous chronique la nouvelle livraison des allemands pour débuter l'année, on y peut rien, c'est comme ça, la horde teutonne d'über-warriors du Heavy Metal ne lâchera jamais l'affaire et reviendra inlassablement à l'assaut, tant pis si de plus en plus de monde s'en bat les couilles sévère, bah ouais, ça devient un peu lassant à la longue.
Bref, je vous renvoie à la chronique du précédent album Delivering the Black pour une présentation plus exhaustive du groupe, on va tout de suite attaquer cette chronique, où, bien entendu, j'aurai tout a fait pu vous ressortir tout ce que j'avais écrit il y a deux ans tant ce Rulebreaker est en tout point similaire à son prédécesseur.

mardi 28 janvier 2014

[Chronique] Primal Fear - Delivering the Black

Quand il a quitté Gamma Ray en 1994, le puissant chanteur teuton Ralf Scheepers n'avait qu'un objectif, réaliser son rêve et rejoindre Judas Priest, un objectif, et surement aussi une trop grande confiance en soi, car rien ne se déroulé comme prévu, Tim Owens héritera du dream job, et ce bon vieux Ralf se retrouva comme un con le bec dans l'eau.
Mais il en faut plus pour décourager un allemand, car sous l'impulsion de Mat Sinner, Primal Fear fut fondé en 1997 avec globalement un seul objectif, démontrer que c'est lui qui aurait dû avoir le job et pas l'autre baltringue de Ripper, avec un certain succès, car quand on y regarde de plus près, les meilleurs albums post-Painkiller de Judas Priest ont été sortis par... Primal Fear à la fin des années 90, pendant que le Priest s'était embourbé avec des albums plutôt médiocres, Scheepers & Co sortaient des tueries comme Jaws of Death et Nuclear Fire.
Bien sûr, ne vous méprenez pas, Primal Fear n'est pas un groupe génial, ses albums ne le sont évidemment pas non plus, et ne le seront jamais, surtout que depuis une dizaine d'années la qualité des sorties du groupe est en dent de scie, avec un virage plus (trop) mélodique qui n'était pas forcement une bonne idée, malgré tout, aucun disque des teutons ne peut être considéré comme véritablement mauvais, surtout qu'en dehors de quelques baisses d'inspiration, la musique de Primal Fear n'a pas beaucoup varié non plus, et ce n'est pas encore aujourd'hui, avec son dixième album, que les choses vont changer, avec Delivering the Black, on sait d'avance où l'on met les pieds, et Primal Fear va comme à son habitude nous offrir ce qu'il sait faire de mieux, et pas grand chose d'autre...