J'adore Eternal Tears of Sorrow, pourtant, malgré une discographie constellée d'albums flirtant avec l’excellence, il semble que les gens n'en ont rien à foutre des finlandais, il faut dire que les changements incessants de line up n'aident pas beaucoup à la stabilité (seuls le bassiste/hurleur Altti Veteläinen et le guitariste Jarmo Puolakanaho sont là depuis le début), de même, les longues périodes d'hibernation du groupes entre ses albums (après le split de deux ans post qui a suivi la sortie en 2001 de A Virgin and a Whore, on est sur un rythme d'un album tous les 3-4 ans) font qu'on a tendance à quelque peu "oublier" l'existence de ce groupe.
Bref, quatre ans après l'excellent Children of the Dark Waters, voilà Eternal Tears of Sorrow ressortant de l'obscurité avec Saivon Lapsi, un album qui poursuit l'évolution du groupe démarrée avec Before the Bleeding Sun en 2006, sauf que contrairement à ses deux aînés, ce petit dernier est moins bon, pas mauvais cependant, il est différent... et moins bon, je vais vous expliquer...
Bref, quatre ans après l'excellent Children of the Dark Waters, voilà Eternal Tears of Sorrow ressortant de l'obscurité avec Saivon Lapsi, un album qui poursuit l'évolution du groupe démarrée avec Before the Bleeding Sun en 2006, sauf que contrairement à ses deux aînés, ce petit dernier est moins bon, pas mauvais cependant, il est différent... et moins bon, je vais vous expliquer...