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mercredi 27 juin 2012

[Chronique] Ihsahn - Eremita


Je ne vais pas vous mentir, j'adore Ihsahn, je vénère Emperor depuis que je suis ado, et même s'il m'a brisé le coeur avec la fin du groupe il y a déjà plus de dix ans, je ne lui en veux pas, car le bougre s'est bien rattrapé avec une carrière solo pour l'instant sans fausse note (bon, AngL, son second disque est bien le seul que je trouve un peu faible et que je n'écoute jamais, alors que bizarrement je connais un paquet de personnes qui le considère comme son chef d'oeuvre), développant son propre univers musical, un son qui lui est propre, à la croisée de ses influences et de sa volonté d'explorer de nouveaux horizons.
Avec une régularité métronomique, à raison d'une sortie tous les deux ans, voici donc le quatrième et nouvel album du norvégien, Eremita, a qui revient la lourde tâche de succéder à un After complètement fou qui m'avait traumatisé au point de l'élire album de l'année 2010.
De folie, il en sera malheureusement moins question ici...

dimanche 1 avril 2012

Sigh - In Somniphobia






Sigh a toujours été un cas à part sur la scène Metal, roulant sa bosse depuis 1990, avec un premier album pur Black Metal (mais déjà un poil bizarre) sorti sur le Label d'Euronymous, Deathlike Silence Productions, le combo japonais n'a jamais fait les choses comme tout le monde, passant du black au Rock Psychédélique en passant par le Heavy typé NWOBHM, chaque album est différent, bien que conservant une certaine identité, qui fait que malgré tout, le son du groupe demeure facilement identifiable.
Sigh est donc un groupe caméléon, hybride, qui aime expérimenter, surprendre, voyager là où on ne l'attend pas, tout en maintenant une certaine qualité tout au long de sa déjà conséquente discographie, avec en point d'orgue le merveilleux Imaginary Sonicscape.
Dernièrement, avec Hangman's Hymn et Scenes from Hell, le groupe naviguait dans une sorte de Black Metal orchestral baroque, avec plus ou moins de succès, car je n'avais pas accroché plus que ça à Scenes from Hell, que je trouve encore aujourd'hui un peu bancal et trop bordelique, mais ce n'est pas cette relative déception qui m'a empêché de me procurer le nouvel album qui nous intéresse ici, In Somniphobia, neuvième album du quintette japonais, qui une fois de plus prend tout le monde à contre-pied...