La vie de chroniqueur Troll Metal sur le Web n'est pas de tout repos, souvent faite de doute et de déception, et de moments où t'as pas envie d'écrire sur un album en particulier, cette semaine, je devais pondre un truc sur le nouveau Ghost, bof, je n'ai pas réussi à me motiver pour vous expliquer pourquoi je n'avais pas du tout aimé, j'aurais pourtant dû écrire cette chronique, car soyons sérieux, les gros groupes, ça fait du clic, et ça flatte mon ego, mais le nombre de clic, je m'en fous un peu, alors j'ai décidé de vous parler d'un groupe de l'underground, pour ce qui sera sans nul doute une des chroniques les moins lue de l'année, mais je m'en tape, car parfois, dans la vie, c'est bien de retourner aux bases et d'écouter un pur produit artisanal bien sanglant, comme c'est le cas avec les catalans de Graveyard (à ne pas confondre avec les rockers suédois du même nom), et au passage, merci à mon pote catalan également Marc de m'avoir filé cette galette, qu'il soit béni sur plusieurs générations, car The Sea Grave est une redoutable boucherie...

