Pour un tunisien, une traversée du désert ne devrait pas prendre trop de temps, sauf pour Myrath, qui était complètement sorti du radar depuis 2011 et la sortie de Tales of the Sand, les mecs avaient tellement bien disparu qu'on pensait leur carrière ensablée à tout jamais, c'était dommage quand même, parce que Myrath c'était quand même vachement bien, à condition évidemment d'aimer le Power progressif et les saveurs orientales, bah ouais, car comme tout un tas de groupes d'Afrique du nord ou du moyen-orient, la dimension Folk est omniprésente, façonnant l'identité des groupes de ces régions.
Bref, Myrath a traversé son désert et nous revient avec un quatrième album, qui est à la fois dans une certaine zone de confort, tout en étant marqué d'une profonde évolution...
Bref, Myrath a traversé son désert et nous revient avec un quatrième album, qui est à la fois dans une certaine zone de confort, tout en étant marqué d'une profonde évolution...