Je rappelle le principe des Chroniques en Rafale™, comme il m'est impossible de tout chroniquer, par manque de temps, de motivation, ou tout simplement car je n'ai pas grand chose d'intéressant à dire, je vous propose chaque mois (ou pas en fait, le rythme est plus erratique que ça) un bloc de mini-chroniques où je donnerai mon avis à l'arrache en survolant quelques albums, sans aller en profondeur, en tâchant d'être concis et précis sur ce que j'en pense, il n'en reste pas moins que ce seront des jugements à l'emporte-pièce où l'on sortira souvent le sulfateuse.
Ce n'est pas une défaillance de votre moniteur, n'essayez donc pas de régler l'image, nous maîtrisons à présent toute retransmission, nous contrôlons les horizontales et les verticales, nous pouvons vous noyer sous un millier de vidéos, ou dilater une simple image jusqu'à lui donner la clarté du cristal, et même au-delà, nous pouvons modeler votre vision, et lui fournir tout ce que votre imagination peut concevoir, pendant les minutes qui viennent, nous contrôlons tout ce que vous allez voir et entendre, nous partagerons les angoisses, et les mystères qui gisent dans les plus profonds abysses, au-delà du Metal...
Vous vous rappelez quand Rotting Christ c'était bien? ouais ça commence à dater hein, aujourd'hui c'est ce merdier liturgique qui ressemble à du très mauvais Triptykon, de la daube mystique chiante et répétitive, je ne peux que vous déconseiller fermement de perdre votre temps avec le dernier album The Heretics sorti le mois dernier...
Ce n'est pas une défaillance de votre moniteur, n'essayez donc pas de régler l'image, nous maîtrisons à présent toute retransmission, nous contrôlons les horizontales et les verticales, nous pouvons vous noyer sous un millier de vidéos, ou dilater une simple image jusqu'à lui donner la clarté du cristal, et même au-delà, nous pouvons modeler votre vision, et lui fournir tout ce que votre imagination peut concevoir, pendant les minutes qui viennent, nous contrôlons tout ce que vous allez voir et entendre, nous partagerons les angoisses, et les mystères qui gisent dans les plus profonds abysses, au-delà du Metal...
On avait quitté Fleshgod Apocalypse il y a trois ans sur un King qui était enfin presque écoutable sans vomir des parpaings par le cul, entre temps les italiens ont dégagé le chanteur et c'est l'omniprésent Francesco Paoli qui a repris les choses en mains, pour le premier single tiré de l'album Veleno (24 mai chez Nuclear blast) livré avec son clip aquatique baroque dans les égouts, on a droit à une continuation de King, c'est à dire que c'est terminé de dégueuler des orchestrations sur un tapis de Blast Beats et une bouillie de riffs de boucher, l'ensemble est donc plus contenu et mieux maîtrisés qu'avant, qui sait, Fleshgod Apocalypse sera peut-être capable de sortir deux albums corrects de suite, ce serait une première.
