Aujourd'hui on va plonger dans les abysses de l'Underground avec un groupe que vous ne connaissez peut-être pas, ce qui est surement mieux pour votre santé mentale (et une preuve de bon goût...), avec le second album des jeunes et fringants bordelais de Strynn, évoluant dans le Vrai Noir Metal Souterrain à l'ancienne, ouais, de la grande douceur une fois encore, vu que le groupe est plus partisan de vous enfoncer de force des cannelés cloutés dans le rectum que de se lancer dans de longues discussions pompeuses sur l’œnologie.
Strynn s'était déjà fait, un peu, remarqué l'année dernière avec la sortie de son premier opus, Decadence, un album plutôt influencé par le Black old school que l'on qualifiera de classique, une petite vaguelette dans le petit océan du Black franchouillard pour un effort solide malgré tout, pas de quoi non plus s'exploser le Stryng de plaisir (désolé), mais Decadence montrait déjà un certain penchant plus qu'appréciable pour l’extrémisme sonore, et c'est presque tout naturellement que ce second opus, Alienation, va aller beaucoup plus loin que son prédécesseur dans l'hermétisme et la violence, voyant Strynn s'engager dans un genre tout particulier (et une étiquette que je viens d'inventer), le Br00tal Drone Black Nihiliste, tout un programme...
Strynn s'était déjà fait, un peu, remarqué l'année dernière avec la sortie de son premier opus, Decadence, un album plutôt influencé par le Black old school que l'on qualifiera de classique, une petite vaguelette dans le petit océan du Black franchouillard pour un effort solide malgré tout, pas de quoi non plus s'exploser le Stryng de plaisir (désolé), mais Decadence montrait déjà un certain penchant plus qu'appréciable pour l’extrémisme sonore, et c'est presque tout naturellement que ce second opus, Alienation, va aller beaucoup plus loin que son prédécesseur dans l'hermétisme et la violence, voyant Strynn s'engager dans un genre tout particulier (et une étiquette que je viens d'inventer), le Br00tal Drone Black Nihiliste, tout un programme...