Je rappelle le principe des Chroniques en Rafale™, comme il m'est impossible de tout chroniquer, par manque de temps, de motivation, ou tout simplement car je n'ai pas grand chose d'intéressant à dire, je vous propose chaque mois (ou pas en fait, le rythme est plus erratique que ça) un bloc de mini-chroniques où je donnerai mon avis à l'arrache en survolant quelques albums, sans aller en profondeur, en tâchant d'être concis et précis sur ce que j'en pense, il n'en reste pas moins que ce seront des jugements à l'emporte-pièce où l'on sortira souvent le sulfateuse.
mercredi 31 octobre 2018
dimanche 28 octobre 2018
TV Metal (2018 - Semaine 43)
Ce n'est pas une défaillance de votre moniteur, n'essayez donc pas de régler l'image, nous maîtrisons à présent toute retransmission, nous contrôlons les horizontales et les verticales, nous pouvons vous noyer sous un millier de vidéos, ou dilater une simple image jusqu'à lui donner la clarté du cristal, et même au-delà, nous pouvons modeler votre vision, et lui fournir tout ce que votre imagination peut concevoir, pendant les minutes qui viennent, nous contrôlons tout ce que vous allez voir et entendre, nous partagerons les angoisses, et les mystères qui gisent dans les plus profonds abysses, au-delà du Metal...
On a connu Powerwolf bien plus inspiré dans ses clips, d'habitude on se tape les conneries habituelles sur fond vert mais c'est généralement bien maîtrisé, là on a droit à un clip tout nul intégralement en cgi, avec un moine qui fight un démon lanceur de boules lumineuses, putain, ce clip et son concept sont aussi rincés que la musique pratiquée par les teutons aujourd'hui...
mardi 23 octobre 2018
[Chronique] Soulfly - Ritual
Si vous pensiez vraiment que je n'allais pas m'intéresser à ce nouveau disque du gros Cavalera vous vous mettiez le doigt dans l’œil, cela fait des années que je suis en croisade pour vous dire à quel point les albums de Cavalera Conspiracy ou de Soulfly sont des furoncles infâmes, ce n'est pas aujourd'hui que je vais arrêter, bien sûr que je vais recycler mes arguments, mes jeux de mots pourris, mes insultes, mais le recyclage n'est-il pas la seule chose qu'est capable de faire également Max Cavalera et sa troupe de baltringues ? alors ouais, c'est parti pour une chronique de vieux cons qui radotent et qui recyclent des deux côtés, parce que ce Ritual est tout aussi dégueulasse que le précédent Archangel ou le dernier Cavalera Conspiracy (de toute façon c'est exactement la même merde), un produit vite torché qui ne servira que d'excuse à une nouvelle tournée intensive pour remplir les caisses où notre sac poubelle brésilien se traînera comme une vieille daube rincée...
dimanche 21 octobre 2018
TV Metal (2018 - Semaine 42)
Ce n'est pas une défaillance de votre moniteur, n'essayez donc pas de régler l'image, nous maîtrisons à présent toute retransmission, nous contrôlons les horizontales et les verticales, nous pouvons vous noyer sous un millier de vidéos, ou dilater une simple image jusqu'à lui donner la clarté du cristal, et même au-delà, nous pouvons modeler votre vision, et lui fournir tout ce que votre imagination peut concevoir, pendant les minutes qui viennent, nous contrôlons tout ce que vous allez voir et entendre, nous partagerons les angoisses, et les mystères qui gisent dans les plus profonds abysses, au-delà du Metal...
C'est la grosse nouvelle de la semaine qui a plongé le monde dans l'effroi et la stupéfaction, Yuimetal, l'une des deux gamines qui sert à rien dans Babymetal, a rendu son tablier afin de poursuivre une éventuelle carrière solo, merde, il va donc falloir la remplacer par une autre gamine pour faire des chorégraphies débiles pendant les concerts, sinon à part ça, Babymetal en a profiter pour sortir un nouveau single d'une affligeante banalité, mais c'est ce que fait le groupe depuis deux ans, du Crapcore/Djent basique qui a perdu toute la folie des débuts...
mardi 16 octobre 2018
[Chronique] Behemoth - I Loved You at Your Darkest
On avait quitté Behemoth en 2014 après la piteuse entreprise visant à capitaliser sur la notoriété acquise par son leader Nergal après la médiatisation de sa leucémie, The Satanist était un album plutôt raté malgré quelques très bonnes idées disséminées vers la fin de la galette, et même si je le qualifiais d'échec à l'époque, il n'y avait pas grand chose de honteux musicalement, après au niveau des intentions, on pouvait y trouver à redire, The Satanist était marqué par la volonté de Nergal de s'établir comme un vrai artiste et de toucher un public bien plus large et mainstream, l'album étant porté presque uniquement par la personnalité de son chef d'orchestre/attention whore de service, Behemoth n'étant plus qu'un vecteur servant à emmener Nergal vers la célébrité à grand coup de Black/Death aseptisé, parce que ouais, autant aller droit au but, I Loved You at Your Darkest est de très loin l'album le plus dégueulasse infligé à nos oreilles par le polonais et ses sbires, une authentique merde putassière dépourvue de couilles, autopsie du cadavre...
dimanche 14 octobre 2018
TV Metal (2018 - Semaine 41)
Ce n'est pas une défaillance de votre moniteur, n'essayez donc pas de régler l'image, nous maîtrisons à présent toute retransmission, nous contrôlons les horizontales et les verticales, nous pouvons vous noyer sous un millier de vidéos, ou dilater une simple image jusqu'à lui donner la clarté du cristal, et même au-delà, nous pouvons modeler votre vision, et lui fournir tout ce que votre imagination peut concevoir, pendant les minutes qui viennent, nous contrôlons tout ce que vous allez voir et entendre, nous partagerons les angoisses, et les mystères qui gisent dans les plus profonds abysses, au-delà du Metal...
On attaque avec de la classe et du bon goût pour les tchèques de Solfernus, un groupe de Black dont l'argument de vente principal est de vous coller un 18+ dans le titre de la vidéo en vous faisant miroiter des boobs, sauf que dans la fausse caverne en carton il y a tellement de fumée qu'on va pas en voir beaucoup des boobs, la scène la plus explicite étant bien entendu ce passage où 3 meufs à poils (de dos) se prosternent à genoux devant le mâle alpha, ajoutons à cela un penchant certain pour l'incrustation de flammes moches et on obtient une bonne grosse daube pleine de clichés...
dimanche 7 octobre 2018
[Chronique] Horrendous - Idol
L'air de rien, en même pas quatre ans et en trois albums sortis entre 2012 et 2015, le jeune groupe américain s'est hissé dans les hautes sphères du Death Metal, en partant d'un Death vindicatif façon revival Old School qui malgré tout apportait un regard neuf sur le genre, Horrendous s'est fait de plus en plus explorateur et apte a faire bouger les lignes, après le juvénile The Chills, Ecdysis puis Anareta n'ont fait que rapprocher le groupe de l'excellence progressiste qui avait habité les productions de grands anciens comme Atheist ou Cynic.
Aujourd'hui le groupe est dans une situation étrange, il a passé le fameux cap du troisième album avec brio et une classe folle, et l'attente est désormais énorme, il ne bénéficie plus de l'effet de surprise non plus, il se doit de répondre à une question, on va où quand on est déjà au sommet?
Aujourd'hui le groupe est dans une situation étrange, il a passé le fameux cap du troisième album avec brio et une classe folle, et l'attente est désormais énorme, il ne bénéficie plus de l'effet de surprise non plus, il se doit de répondre à une question, on va où quand on est déjà au sommet?
TV Metal (2018 - Semaine 40)
Ce n'est pas une défaillance de votre moniteur, n'essayez donc pas de régler l'image, nous maîtrisons à présent toute retransmission, nous contrôlons les horizontales et les verticales, nous pouvons vous noyer sous un millier de vidéos, ou dilater une simple image jusqu'à lui donner la clarté du cristal, et même au-delà, nous pouvons modeler votre vision, et lui fournir tout ce que votre imagination peut concevoir, pendant les minutes qui viennent, nous contrôlons tout ce que vous allez voir et entendre, nous partagerons les angoisses, et les mystères qui gisent dans les plus profonds abysses, au-delà du Metal...
Rien qu'avec son titre, I Loved You At Your Darkest, bien pourri, j'ai pas envie d'écouter le nouveau Behemoth, et c'est encore moins le cas après m'être tapé cette grosse purge de single atmosphérique mou de la bite qui n'a même pas le bon goût d'être ne serait-ce qu'un tout petit peu tendancieux ou subversif, le clip est même en version censurée avec les boobs floutés, bref, une bonne grosse daube de la part des polonais, ce qui commence à devenir une sale habitude...