C'est marrant comment avec du recul, la discographie de Machine ressemble de plus en plus à des montagnes russes où les bons disques apparaissent finalement comme des anomalies, Burn my Eyes avait permis au groupe de débuter sa carrière au sommet, c'en est suivi une descente qualitative progressive avant de toucher le fond avec le combo de la honte Burning Red/Supercharger, le groupe avait ensuite remonté la pente pour nous pondre après un disque de transition un inespéré The Blackening, et comme Machine Head était revenu au top, Robb Flynn s'est bien évidemment dit qu'il était temps de re-flinguer la carrière de son groupe, partant de là, après s'être farci un Into the Locust fadasse, la seule chose que l'on pouvait espérer du dégueulasse Bloodstone & Diamonds, c'est que Machine Head avait une fois encore touché le fond et qu'il allait se re-bouger le cul pour renaître à nouveau... LOL! même pas en rêve bande de naïfs, je ne sais même pas comment c'est possible, mais Machine s'est encore enfoncé dans les abysses de la dégueulasserie afin de nous proposer avec Catharsis le pire album de son histoire, ouais, c'est encore pire que Supercharger, putain de bordel de merde...
Quinze pistes, soixante-quinze minutes, pour un album où Machine Head veut expérimenter avec sa facette la moins Heavy, la plus putassière, une musique personnelle qui appuie sur les émotions et les mélodies... tout ça pour dire que Catharsis sera une daube mollassonne comme jamais et que en guise d'un album "personnel" et introspectif, on aura un Robb Flynn, cinquante ans au compteur quand même, nous balancer des diatribes adolescentes et naïves sur l'état du la société comme un putain de SJW des réseaux sociaux, donc ouais, il y aura du rap, comme aux heures les plus sombres de l'histoire du groupe, et du Nü Metal aussi, et aussi plein d'autres choses dans un album absolument incohérent qui va certes expérimenter, mais surtout intégralement rater l'intégralité de ce qu'il essaie de faire, globalement, je pense que plutôt que d'écouter ce disque, j'aurais surement trouvé plus agréable de courir un marathon avec la chiasse et une fissure anale, et putain qu'il est long ce disque...
L'album débute par un Flynn qui gueule Fuck the World et qui enchaînera avec des lyrics edgy et complètement premier degré contre la NRA et la droite alternative, en nous illuminant sur le fait que le racisme, c'est vraiment pas bien, il n'y a absolument aucune métaphore, aucun effort dans l'écriture, c'est de la diarrhée verbale avec des slogans débiles qui tiennent sur un tweet, musicalement, c'est pas compliqué, ce morceau, assez direct au demeurant, n'est qu'un assemblage de gimmicks à la Machine Head, ou plutôt un mash-up de divers morceaux de Machine Head, ça n'a aucun sens, c'est bancal, et surtout, ça m'a pris au moins 25 secondes de réflexion pour me souvenir où je l'avais déjà entendu, mais le riff principal qui ouvre Volatile est quand même foutrement proche de celui de Cleansation de Chimaira, je ne suis pas en train d'accuser le groupe de plagiat, mais bon, ce ne sera pas le seul moment du disque où Machine emprunte un riff à quelqu'un d'autre, le plus flagrant étant la honteuse copie intégrale du riff du Love? de Strapping Young Lad sur Beyond the Pale, morceau à la formule fatiguée qui se traîne péniblement jusqu'à quelques leads rappelant The Blackening, le pire là-dedans étant qu'on est dans ce qu'il y a de moins pire dans ce disque et qu'on atteint à peine le niveau de Supercharger, ouais, y'a pire, et j'suis déjà en train de vomir du sang par le cul à l'écoute d'une telle médiocrité...
Vous vous êtes déjà demandé ce que ça pourrait donner si Robb Flynn tapait un slam sur le pire morceau jamais composé par Dropkick Murphys? Il est vrai que personne de sensé ne s'est jamais posé cette question, c'est tellement débile et invraisemblable après tout... Ah... tout le monde sauf Machine Head en fait, car Bastards, c'est exactement ça, un merdier folk acoustique avec Flynn qui donne des conseils à son gamin qui évolue vers un malaisant punk celtique, comment une personne ne serait-ce que dotée des plus rudimentaires capacités cognitives pourrait penser que ce morceau était une bonne idée? mais putain, pourquoi? Comment? et si vous croyez que c'est le pire et que Machine Head ne pourra pas descendre plus bas, vous vous trompez lourdement, car Triple Beam sera un gros bienvenue en 1998 avec un titre qui est globalement un mauvais morceau de Korn, du putain de rapcore mixé à du Nü Metal et un Flyn qui rappe sur les problèmes sociaux, ça n'a aucun sens, surtout cette transition dégueulasse vers un passage Rock alternatif en chant clair complètement hors de propos, ça n'a rien à faire là, on aura d'ailleurs encore du Rap-Metal avec Psychotic, qui lui est un mauvais morceau de Body Count sans la street cred d'Ice T, autre purge minable, Grind You Down empruntera toute sa première moitié à Slipknot, c'est juste terrible et pathétique d'entendre Flynn en train d'imiter aussi salement Corey Taylor, merde on dirait un mauvais groupe de reprises!
Catharsis est un patchwork honteux qui pue l'opportunisme et la volonté de bouffer à tous les râteliers sans aucune distinction, un résidu de vomi d'influences non-digérées au travers de morceaux sur-joués qui ne reposent que sur des emprunts aléatoires et l'injection au petit bonheur la chance de tous les gimmicks du groupe, sérieusement, je pense que même une bande de trisomiques bourrés parviendrait à sortir un meilleur album que ça avec les mêmes influences, des morceaux comme Catharsis, Razorblade Smile, Screaming at the Sun ou Hope Begets Hope utilisent la même formule usée et fatiguée du Machine Head période Burning Red/Supercharger, avec ses mélodies molles et surfaites, ses riffs groovy de merde, du rap et de nombreux emprunts au Nü Metal, des passages emo avec Flynn qui miaule comme un gros fragile, Heavy Lies the Crown sera également un gigantesque foutage de gueule mais dans un genre différent, puisque cette fois-ci il sera question de tenter de nous refaire un long morceau typé The Blackening, autant dire que c'est forcé à mort, complètement raté, et que Robb Flynn y chante tellement faux que le malaise est total, et niveau malaise, écoutez donc Kaleidoscope, ce titre n'est rien d'autre que du racolage actif d'un Flynn qui nous pond une intro avec des clappements de mains dont le seul dessein sera de communier avec le public en live et de lui faire chanter "So get your middle fingers in the air and sing, They can't ignore us anymore, It’s up to us, so hear me out cause I don’t give a fuck" putain de bordel de merde, musicalement, c'est juste incompréhensible, on passe du Rock alternatif à la Papa Roach au Nü Metal Groovy sans aucune forme de procès, avec une louche d’arrangements symphoniques comme si c'était déjà pas assez le bordel comme ça.
L'album débute par un Flynn qui gueule Fuck the World et qui enchaînera avec des lyrics edgy et complètement premier degré contre la NRA et la droite alternative, en nous illuminant sur le fait que le racisme, c'est vraiment pas bien, il n'y a absolument aucune métaphore, aucun effort dans l'écriture, c'est de la diarrhée verbale avec des slogans débiles qui tiennent sur un tweet, musicalement, c'est pas compliqué, ce morceau, assez direct au demeurant, n'est qu'un assemblage de gimmicks à la Machine Head, ou plutôt un mash-up de divers morceaux de Machine Head, ça n'a aucun sens, c'est bancal, et surtout, ça m'a pris au moins 25 secondes de réflexion pour me souvenir où je l'avais déjà entendu, mais le riff principal qui ouvre Volatile est quand même foutrement proche de celui de Cleansation de Chimaira, je ne suis pas en train d'accuser le groupe de plagiat, mais bon, ce ne sera pas le seul moment du disque où Machine emprunte un riff à quelqu'un d'autre, le plus flagrant étant la honteuse copie intégrale du riff du Love? de Strapping Young Lad sur Beyond the Pale, morceau à la formule fatiguée qui se traîne péniblement jusqu'à quelques leads rappelant The Blackening, le pire là-dedans étant qu'on est dans ce qu'il y a de moins pire dans ce disque et qu'on atteint à peine le niveau de Supercharger, ouais, y'a pire, et j'suis déjà en train de vomir du sang par le cul à l'écoute d'une telle médiocrité...
Vous vous êtes déjà demandé ce que ça pourrait donner si Robb Flynn tapait un slam sur le pire morceau jamais composé par Dropkick Murphys? Il est vrai que personne de sensé ne s'est jamais posé cette question, c'est tellement débile et invraisemblable après tout... Ah... tout le monde sauf Machine Head en fait, car Bastards, c'est exactement ça, un merdier folk acoustique avec Flynn qui donne des conseils à son gamin qui évolue vers un malaisant punk celtique, comment une personne ne serait-ce que dotée des plus rudimentaires capacités cognitives pourrait penser que ce morceau était une bonne idée? mais putain, pourquoi? Comment? et si vous croyez que c'est le pire et que Machine Head ne pourra pas descendre plus bas, vous vous trompez lourdement, car Triple Beam sera un gros bienvenue en 1998 avec un titre qui est globalement un mauvais morceau de Korn, du putain de rapcore mixé à du Nü Metal et un Flyn qui rappe sur les problèmes sociaux, ça n'a aucun sens, surtout cette transition dégueulasse vers un passage Rock alternatif en chant clair complètement hors de propos, ça n'a rien à faire là, on aura d'ailleurs encore du Rap-Metal avec Psychotic, qui lui est un mauvais morceau de Body Count sans la street cred d'Ice T, autre purge minable, Grind You Down empruntera toute sa première moitié à Slipknot, c'est juste terrible et pathétique d'entendre Flynn en train d'imiter aussi salement Corey Taylor, merde on dirait un mauvais groupe de reprises!
Catharsis est un patchwork honteux qui pue l'opportunisme et la volonté de bouffer à tous les râteliers sans aucune distinction, un résidu de vomi d'influences non-digérées au travers de morceaux sur-joués qui ne reposent que sur des emprunts aléatoires et l'injection au petit bonheur la chance de tous les gimmicks du groupe, sérieusement, je pense que même une bande de trisomiques bourrés parviendrait à sortir un meilleur album que ça avec les mêmes influences, des morceaux comme Catharsis, Razorblade Smile, Screaming at the Sun ou Hope Begets Hope utilisent la même formule usée et fatiguée du Machine Head période Burning Red/Supercharger, avec ses mélodies molles et surfaites, ses riffs groovy de merde, du rap et de nombreux emprunts au Nü Metal, des passages emo avec Flynn qui miaule comme un gros fragile, Heavy Lies the Crown sera également un gigantesque foutage de gueule mais dans un genre différent, puisque cette fois-ci il sera question de tenter de nous refaire un long morceau typé The Blackening, autant dire que c'est forcé à mort, complètement raté, et que Robb Flynn y chante tellement faux que le malaise est total, et niveau malaise, écoutez donc Kaleidoscope, ce titre n'est rien d'autre que du racolage actif d'un Flynn qui nous pond une intro avec des clappements de mains dont le seul dessein sera de communier avec le public en live et de lui faire chanter "So get your middle fingers in the air and sing, They can't ignore us anymore, It’s up to us, so hear me out cause I don’t give a fuck" putain de bordel de merde, musicalement, c'est juste incompréhensible, on passe du Rock alternatif à la Papa Roach au Nü Metal Groovy sans aucune forme de procès, avec une louche d’arrangements symphoniques comme si c'était déjà pas assez le bordel comme ça.
Ce qui est dingue avec cet album, c'est qu'il n'y a absolument rien à sauver de ce naufrage, musicalement, on est dans du pur n'importe quoi, du bordel, comme si personne n'avait pensé à construire des morceaux cohérents, Catharsis va du mash-up auto-parodique au patchwork recyclé en passant par le pot-pourri d'influences jetées dans ce merdier de manière erratique, cet album est réellement invraisemblable, et ferait presque passer Lulu pour un putain de chef-d'oeuvre, et ça ce n'est que pour la partie musique, car l'autre infamie, c'est la performance de Robb Flynn, ici vocalement médiocre, poussif, qui miaule comme un con des passages emo d'une profonde mièvrerie, et force son chant quand il s'agit de balancer sa diarrhée verbale de SJW colérique sur l'état de la société, contre la politique, trump, la NRA, la droite alternative, les nazis, des paroles qui ont des problématiques actuelles mais qui sont passées sous le spectre d'une musique profondément ancrée vingt ans en arrière, on est en 2018 mec, t'as cinquante piges, tu peux plus faire du Nü Metal comme ça et balancer une avalanche de Fuck You en guise de message politique, c'est plus possible, et ridicule.
Il faut savoir une chose, Robb flynn ne se remettra jamais en question puisque si vous n'aimez pas ce disque c'est que vous êtes un hater de merde réfractaire au changement et il n'en a rien à branler de vos gueules, dommage que lui même n'ait pas compris que les gens peuvent tout à fait accepter le changement, seulement si, évidemment, c'est pour le meilleur, et pas un retour débile en 1998 pour nous pondre un disque de Neo Metal dégueulasse, putassier, honteux, racoleur, surfait, bancal, invraisemblable, incompréhensible, débile, surjoué, plagié, nul, médiocre, inécoutable, déficient, pathétique, sans aucun intérêt, sans aucun sens, un patchwork easy-listening merdique de références non-digérées vomi par un groupe et un leader complètement à la ramasse, Catharsis est un album malade, dégénéré, de très loin le pire album de l'histoire de Machine Head, que rien ne peut sauver, soixante-quinze minutes qui ne provoquent que le malaise et la nausée, impardonnable.
Track Listing:
1. Volatile 4:38
2. Catharsis 6:10
3. Beyond the Pale 4:30
4. California Bleeding 4:12
5. Triple Beam 4:41
6. Kaleidoscope 4:03
7. Bastards 5:04
8. Hope Begets Hope 4:30
9. Screaming at the Sun 3:54
10. Behind a Mask 4:07
11. Heavy Lies the Crown 8:48
12. Psychotic 5:01
13. Grind You Down 4:06
14. Razorblade Smile 4:00
15. Eulogy 6:33