C'est comme ça, on y peut rien, comme Alexi Laiho n'a toujours pas commencé sa carrière de youtuber faisant des tutos maquillage comme Enjoy Phoenix, il a encore du temps pour faire de la musique, et malheureusement, il va donc falloir se taper une nouvelle purge de la part du finlandais et de ses sbires...
Eh mais dis-donc mec, c'était pas un léger frémissement de retour en forme Halo of Blood? Mouais, on pouvait éventuellement y croire il y a deux ans, c'était pas du génie comme album, mais faut pas oublier que le groupe sortait de deux purges absolument honteuses, Blooddrunk et Relentless Reckless forever, Halo of Blood, malgré tous ses défauts, était surement le meilleur album du groupe depuis dix ans, sachant que le dernier disque plus ou moins correct du combo remonte à 2003 et Hate Crew Deathroll, bref, on pouvait croire que Halo of Blood puisse être le début du commencement du retour de la vengeance de Children of Bodom, sauf que non, ce n'était qu'un petit sursaut d'orgueil qui restera probablement sans suite, car I Worship Chaos est un massif retour en arrière, malheureusement pas jusqu'aux temps des trois premiers albums, I Worship Chaos marque le retour de Laiho à cette époque 2005-2011 que l'on aurait aimé oublier.
J'avoue ne pas trop comprendre ce qui a pu se passer, peut-être est-ce dû au départ du guitariste Roope Latvala, qui n'a pas été remplacé, aucune idée, j'en sais rien, mais Alexi Laiho a décidé après un disque "retour aux sources" de retomber dans les pires travers du Children of Bodom des années 2000, on va juste prendre l'exemple du premier titre de la galette, I Hurt, difficile de faire plus anti-mélodique que cette merde, pour un groupe dont la principale force résidait dans sa capacité à allier avec fluidité violence et mélodies épiques, on tombe de très haut, le riff est totalement nul, la structure linéaire au possible, et CoB nous ressort ses Gang-Shouts minables sur le refrain comme un pauvre groupe moisi de Metalcore, bah putain, paie ton titre d'ouverture en complète négation de tout ce que l'on pouvait aimer dans ce groupe.
Putain de merde, Laiho voulait surement refaire Hate Crew Deathroll et on se retrouve avec Blooddrunk, peut-être l'a-t-il composé et enregistré bourré, qui sait ce qui peut se passer dans la tête de ce diable de finlandais, ce qui est sûr, c'est que si vous espériez la continuité d'Halo of Blood, vous pouvez passer votre chemin et coller une mandale à Laiho au passage, sur ce disque, on a l'impression que Laiho a piqué des pans entiers dans ses vieux titres et a ensuite tout rassemblé en croisant les doigts pour que des trucs complètement hétéroclites puissent fonctionner ensemble, du coup c'est le merdier du début à la fin.
Partant de là, comme c'est le bordel et que le gars a piqué à droite à gauche dans la discographie du groupe, il y aura évidemment des trucs pas trop vilains, qui seront constamment contrebalancés par de la daube, ce qui va nous donner un album et des titres les plus inconstants possibles, l'intro blackisée de Horns est plutôt cool, dommage que le reste du titre soit du MeloDeath bas-de-gamme et quelconque, Prayer for the Afflicted dégage une bonne ambiance, seulement voilà, passées les deux premières minutes, on va vite se rendre compte que ça va tourner en rond jusqu'à la fin, le titre fait cinq minutes et il aurait pu facilement être amputer de la moitié...
Et c'est à peu prés tout pour le positif, ouch, ça pique, mais j'ai vraiment cherché des trucs biens hein, j'en ai pas trouvé beaucoup, par contre, des morceaux bien pourris, il y en a à la pelle, dans le genre bordel incompréhensible, My Bodom (I Am the Only One) se pose là et emmènera l'auditeur dans un abîme d'incertitude où il se demandera si Laiho ne serait pas juste en train de se foutre de sa gueule, putain ce que tout ça manque d'envie et de couilles, la production semble faire tout son possible pour annihiler toute trace d'abrasion dans le son du groupe, et surtout, les claviers semblent avoir été posés là à l'arrache, uniquement parce que c'est le cahier des charges du groupe, Morrigan est le genre d'échec intégral dans sa tentative d'émuler Follow the Reaper, quant au morceau éponyme, on se croirait en plein dans du Metalcore qui divaguerait sur des soli neoclassiques, mais c'est quoi ce putain de bordel? je ne vous parlerai même pas des quatre dernières pistes de la galette, qui vont de l'infâme au pur filler sans intérêt, j'en ai marre de ce disque...
Riff Groovy/Thrash de merde et MeloDeath de mauvaise qualité avec des claviers random, bah putain il est beau ce neuvième disque de Children of Bodom, où Laiho et ses potes (Latvala a au moins eu l’intelligence de quitter le navire) retombent dans leurs pires travers en proposant ce qui est une négation de ce que toute personne de bon goût aimait chez le groupe.
I Worship Chaos est une daube qu'on imaginait pas après la petite reprise en main Halo of Blood, Children of Bodom n'est même plus foutu de composer un bon single sympa qui défouraille, en fait, j'ai le sentiment que tout le groupe est à la ramasse, la section rythmique est d'une paresse inouïe, Janne Warman semble n'en avoir plus rien à branler et se contente de recycler ses vieilles lignes de claviers, et Laiho... pfff, son chant semble forcé, il n'y a aucune veritable rage là-dedans, même ses solos sont sans imagination et stéréotypés, I Worship Chaos, c'est l'album du vide, du néant artistique, on atteint peut-être pas le niveau de nullité de Blooddrunk mais on s'en rapproche dangereusement, direction la poubelle aux confins des oubliettes de l'oubli au fin-fond de l'Oblivion, deuxième cagibi à droite, pas sûr que le groupe se relève d'un tel album de merde.
Eh mais dis-donc mec, c'était pas un léger frémissement de retour en forme Halo of Blood? Mouais, on pouvait éventuellement y croire il y a deux ans, c'était pas du génie comme album, mais faut pas oublier que le groupe sortait de deux purges absolument honteuses, Blooddrunk et Relentless Reckless forever, Halo of Blood, malgré tous ses défauts, était surement le meilleur album du groupe depuis dix ans, sachant que le dernier disque plus ou moins correct du combo remonte à 2003 et Hate Crew Deathroll, bref, on pouvait croire que Halo of Blood puisse être le début du commencement du retour de la vengeance de Children of Bodom, sauf que non, ce n'était qu'un petit sursaut d'orgueil qui restera probablement sans suite, car I Worship Chaos est un massif retour en arrière, malheureusement pas jusqu'aux temps des trois premiers albums, I Worship Chaos marque le retour de Laiho à cette époque 2005-2011 que l'on aurait aimé oublier.
J'avoue ne pas trop comprendre ce qui a pu se passer, peut-être est-ce dû au départ du guitariste Roope Latvala, qui n'a pas été remplacé, aucune idée, j'en sais rien, mais Alexi Laiho a décidé après un disque "retour aux sources" de retomber dans les pires travers du Children of Bodom des années 2000, on va juste prendre l'exemple du premier titre de la galette, I Hurt, difficile de faire plus anti-mélodique que cette merde, pour un groupe dont la principale force résidait dans sa capacité à allier avec fluidité violence et mélodies épiques, on tombe de très haut, le riff est totalement nul, la structure linéaire au possible, et CoB nous ressort ses Gang-Shouts minables sur le refrain comme un pauvre groupe moisi de Metalcore, bah putain, paie ton titre d'ouverture en complète négation de tout ce que l'on pouvait aimer dans ce groupe.
Putain de merde, Laiho voulait surement refaire Hate Crew Deathroll et on se retrouve avec Blooddrunk, peut-être l'a-t-il composé et enregistré bourré, qui sait ce qui peut se passer dans la tête de ce diable de finlandais, ce qui est sûr, c'est que si vous espériez la continuité d'Halo of Blood, vous pouvez passer votre chemin et coller une mandale à Laiho au passage, sur ce disque, on a l'impression que Laiho a piqué des pans entiers dans ses vieux titres et a ensuite tout rassemblé en croisant les doigts pour que des trucs complètement hétéroclites puissent fonctionner ensemble, du coup c'est le merdier du début à la fin.
Partant de là, comme c'est le bordel et que le gars a piqué à droite à gauche dans la discographie du groupe, il y aura évidemment des trucs pas trop vilains, qui seront constamment contrebalancés par de la daube, ce qui va nous donner un album et des titres les plus inconstants possibles, l'intro blackisée de Horns est plutôt cool, dommage que le reste du titre soit du MeloDeath bas-de-gamme et quelconque, Prayer for the Afflicted dégage une bonne ambiance, seulement voilà, passées les deux premières minutes, on va vite se rendre compte que ça va tourner en rond jusqu'à la fin, le titre fait cinq minutes et il aurait pu facilement être amputer de la moitié...
Et c'est à peu prés tout pour le positif, ouch, ça pique, mais j'ai vraiment cherché des trucs biens hein, j'en ai pas trouvé beaucoup, par contre, des morceaux bien pourris, il y en a à la pelle, dans le genre bordel incompréhensible, My Bodom (I Am the Only One) se pose là et emmènera l'auditeur dans un abîme d'incertitude où il se demandera si Laiho ne serait pas juste en train de se foutre de sa gueule, putain ce que tout ça manque d'envie et de couilles, la production semble faire tout son possible pour annihiler toute trace d'abrasion dans le son du groupe, et surtout, les claviers semblent avoir été posés là à l'arrache, uniquement parce que c'est le cahier des charges du groupe, Morrigan est le genre d'échec intégral dans sa tentative d'émuler Follow the Reaper, quant au morceau éponyme, on se croirait en plein dans du Metalcore qui divaguerait sur des soli neoclassiques, mais c'est quoi ce putain de bordel? je ne vous parlerai même pas des quatre dernières pistes de la galette, qui vont de l'infâme au pur filler sans intérêt, j'en ai marre de ce disque...
Riff Groovy/Thrash de merde et MeloDeath de mauvaise qualité avec des claviers random, bah putain il est beau ce neuvième disque de Children of Bodom, où Laiho et ses potes (Latvala a au moins eu l’intelligence de quitter le navire) retombent dans leurs pires travers en proposant ce qui est une négation de ce que toute personne de bon goût aimait chez le groupe.
I Worship Chaos est une daube qu'on imaginait pas après la petite reprise en main Halo of Blood, Children of Bodom n'est même plus foutu de composer un bon single sympa qui défouraille, en fait, j'ai le sentiment que tout le groupe est à la ramasse, la section rythmique est d'une paresse inouïe, Janne Warman semble n'en avoir plus rien à branler et se contente de recycler ses vieilles lignes de claviers, et Laiho... pfff, son chant semble forcé, il n'y a aucune veritable rage là-dedans, même ses solos sont sans imagination et stéréotypés, I Worship Chaos, c'est l'album du vide, du néant artistique, on atteint peut-être pas le niveau de nullité de Blooddrunk mais on s'en rapproche dangereusement, direction la poubelle aux confins des oubliettes de l'oubli au fin-fond de l'Oblivion, deuxième cagibi à droite, pas sûr que le groupe se relève d'un tel album de merde.
Track Listing:
1. I Hurt 04:29
2. My Bodom (I Am the Only One) 04:19
3. Morrigan 05:06
4. Horns 04:10
5. Prayer for the Afflicted 04:55
6. I Worship Chaos 03:40
7. Hold Your Tongue 04:02
8. Suicide Bomber 03:33
9. All for Nothing 05:42
10. Widdershins 05:08