Nightwish au départ c'était pas trop mal puis c'est parti en couilles, à partir de Once globalement, quand le groupe s'est dit qu'ajouter de la grosse pop dégueulasse à son Metal déjà pas trop couillu et easy listening était bien plus vendeur, bingo, faire de la merde c'est le jackpot assuré, bien vu, après tout, les fans de Nightwsish sont tellement cons qu'ils sont capables de tout pardonner, même un changement de chanteuse dans des conditions troubles, les avantages d'un public mainstream amateur de soupe.
Bref, après l'intermède Anette Olzon, virée comme une merde en pleine tournée, elle même succédant à une Tarja Turunen... également virée comme une merde (sérieusement, les finlandais ont pris des cours chez Anthrax pour la gestion de leurs vocalistes ou quoi?), troisième étape dans la carrière du groupe de Tuomas Holopainen, puisque c'est la géante batave Floor Jansen qui reprend le flambeau, une arrivée qui fait de Floor la membre du groupe ayant plus de virilité que tous les autres réunis, mais un bon choix quand même, car après tout, j'adore Floor Jansen, surement la plus compétente pour assurer à la fois les voix d'opéra de Tarja et les morceaux plus pop de la période Olzon, enfin, une bonne idée, à la base, on verra plus tard que tout ne se passe pas comme prévu.
Donc voilà, après l'horrible mi-album mi-bande originale de film Imaginaerum sorti en 2011 et qui m'avait valu l'ire des fans du combo finlandais, Nightwish va-t-il redresser la barre? coupons court à tout suspense, la réponse est non, et un gros non en plus, car Endless Forms Most Beautiful est un autre disque complètement foiré à ajouter au passif déjà bien chargé de Nightwish...
La sortie d'un nouveau Nightwish reste malgré tout un événement, le groupe demeure un très gros vendeur, tout du moins en Europe, une sortie importante pour le label puisqu'on imagine bien que ça permet à Nuclear Blast de payer les factures pour au moins deux-trois ans (ok, j'exagère un peu), bref, faut pas se tromper et faut en écouler des palettes entières, vu le marché du disque actuel, les enjeux sont énormes (l'album sort d'ailleurs en plein d'éditions "limitées" pour le Cd, et dans au moins une dizaine de versions différentes pour le vinyle où toutes les couleurs possibles y passent), ça tombe bien, Nightwish fait de la soupe accessible au plus grand nombre, du Metal pour la ménagère du "Metal" qui peut écouter du gros son (LOL!) tout en lui permettant de s'évader de son quotidien (ie la cuisine) dans l'univers féerique de l'orchestre finlandais, un peu comme Within Temptation, un groupe qui lui aussi est passé du Metal symphonique à la Power Pop sympho pour ménagères.
En dehors de Floor Jansen, il y a un peu de changement dans le line-up du groupe, puisqu'une autre arrivée est à noter, la titularisation définitive de Troy Donockley, joueur de cornemuse irlandaise et d'autres instruments folkloriques à la con, jusqu'ici invité récurrent sur tous les albums du groupe depuis Dark Passion Play et qui accompagnait également l'orchestre en live, intégrer ce gars définitivement signifie bien entendu une chose: on va encore bouffer de la folk celtique à tous les étages, rappelez-vous, faut plaire au plus grand nombre pour vendre un max, le Folk est à la mode, donc on va encore gaver l'album de douceurs celtiques histoire de plaire à la fameuse ménagère, cœur de cible du projet.
Ah j'oubliais, le batteur originel Jukka Nevalainen est cette fois-ci sur la touche, une histoire bizarre d'insomnie qui l'empêche de jouer, et pendant qu'il essaie de dormir un peu, ou plutôt en attendant de se faire jeter comme une merde par Tuomas, c'est le Wintersun Kai Hahto qui le remplace, ce qui n'a aucune incidence sur le son du groupe, juste un batteur finlandais qui remplace un batteur finlandais histoire de nous servir les plans de batterie les plus plats et basiques possibles, Hahto semble s'emmerder, mais c'est pas grave, c'est surement très bien payé...
Bref, après l'intermède Anette Olzon, virée comme une merde en pleine tournée, elle même succédant à une Tarja Turunen... également virée comme une merde (sérieusement, les finlandais ont pris des cours chez Anthrax pour la gestion de leurs vocalistes ou quoi?), troisième étape dans la carrière du groupe de Tuomas Holopainen, puisque c'est la géante batave Floor Jansen qui reprend le flambeau, une arrivée qui fait de Floor la membre du groupe ayant plus de virilité que tous les autres réunis, mais un bon choix quand même, car après tout, j'adore Floor Jansen, surement la plus compétente pour assurer à la fois les voix d'opéra de Tarja et les morceaux plus pop de la période Olzon, enfin, une bonne idée, à la base, on verra plus tard que tout ne se passe pas comme prévu.
Donc voilà, après l'horrible mi-album mi-bande originale de film Imaginaerum sorti en 2011 et qui m'avait valu l'ire des fans du combo finlandais, Nightwish va-t-il redresser la barre? coupons court à tout suspense, la réponse est non, et un gros non en plus, car Endless Forms Most Beautiful est un autre disque complètement foiré à ajouter au passif déjà bien chargé de Nightwish...
La sortie d'un nouveau Nightwish reste malgré tout un événement, le groupe demeure un très gros vendeur, tout du moins en Europe, une sortie importante pour le label puisqu'on imagine bien que ça permet à Nuclear Blast de payer les factures pour au moins deux-trois ans (ok, j'exagère un peu), bref, faut pas se tromper et faut en écouler des palettes entières, vu le marché du disque actuel, les enjeux sont énormes (l'album sort d'ailleurs en plein d'éditions "limitées" pour le Cd, et dans au moins une dizaine de versions différentes pour le vinyle où toutes les couleurs possibles y passent), ça tombe bien, Nightwish fait de la soupe accessible au plus grand nombre, du Metal pour la ménagère du "Metal" qui peut écouter du gros son (LOL!) tout en lui permettant de s'évader de son quotidien (ie la cuisine) dans l'univers féerique de l'orchestre finlandais, un peu comme Within Temptation, un groupe qui lui aussi est passé du Metal symphonique à la Power Pop sympho pour ménagères.
En dehors de Floor Jansen, il y a un peu de changement dans le line-up du groupe, puisqu'une autre arrivée est à noter, la titularisation définitive de Troy Donockley, joueur de cornemuse irlandaise et d'autres instruments folkloriques à la con, jusqu'ici invité récurrent sur tous les albums du groupe depuis Dark Passion Play et qui accompagnait également l'orchestre en live, intégrer ce gars définitivement signifie bien entendu une chose: on va encore bouffer de la folk celtique à tous les étages, rappelez-vous, faut plaire au plus grand nombre pour vendre un max, le Folk est à la mode, donc on va encore gaver l'album de douceurs celtiques histoire de plaire à la fameuse ménagère, cœur de cible du projet.
Ah j'oubliais, le batteur originel Jukka Nevalainen est cette fois-ci sur la touche, une histoire bizarre d'insomnie qui l'empêche de jouer, et pendant qu'il essaie de dormir un peu, ou plutôt en attendant de se faire jeter comme une merde par Tuomas, c'est le Wintersun Kai Hahto qui le remplace, ce qui n'a aucune incidence sur le son du groupe, juste un batteur finlandais qui remplace un batteur finlandais histoire de nous servir les plans de batterie les plus plats et basiques possibles, Hahto semble s'emmerder, mais c'est pas grave, c'est surement très bien payé...
Floor Jansen c'est quand même la très grosse nouveauté, et au départ, c'était une putain de bonne idée, j'étais même de ceux qui trouvaient bizarre qu'elle n'ait pas eu le job après le renvoi de Tarja, car Jansen, c'est le genre de meuf qui peut tout chanter, et qui surtout a une voix surpuissante qui sonne de manière très Metal, une versatilité flagrante sur l'excellent dernier album de ReVamp, bref, c'est désormais fait, Floor est enfin dans Nightwish, le boulot de ses rêves, et va enfin pouvoir montrer au monde l'étendue de sa palette vocale, sauf que non en fait, je ne sais pas trop ce qui s'est passé, peut-être est-ce dû au fait qu'elle n'est pas été convié au processus de composition de l'album (en gros, c'était: viens en studio, ferme ta gueule et chante de la manière dont on te dit de chanter), mais Floor est méconnaissable sur cet album, et autant le dire tout de suite, complètement sous-exploitée, voici le premier objet du délit:
Non mais vous avez entendu cette putain de purge servie par les finlandais en guise de premier single? Ah ben c'est un super bon morceau... s'il s'agissait d'un single de Nolwenn Leroy, pas de bol, c'est du Nightwish, le single celtique rock dégueulasse gentil qui dégouline de bons sentiments, le riff est nul, les orchestrations font dans le recyclage, comme à chaque single du groupe depuis dix ans, c'est de la guimauve, et que dire de la prestation de Jansen? réduite à chanter cette merde où elle se retrouve à un moment devant des couples âgés qui dansent, bravo, Nightwish est devenu un groupe de maison de retraite ou de kermesse du village pour les vieux pendant une partie de bingo, et c'est quoi ces paroles bordel? c'est une gamine de douze ans qui les a écrites en se basant sur un épisode de mon petit poney??? Sérieusement, engager Floor Jansen pour lui faire chanter une dégueulasserie sirupeuse pareille, c'est un peu comme si vous achetiez un PC de gamer pour jouer à Candy Crush, cela n'a aucun sens, et le pire dans tout ça, c'est que la pauvre Floor sera sous-utilisée pendant toute la totalité de l'album.
Endless Forms Most Beautiful transpire les goûts de chiottes de ses géniteurs et le gros foutage de gueule, montrant un groupe qui n'avance pas et qui recycle sa daube de manière éhontée, ça se vend tout seul, pourquoi s'emmerder après tout?
L'album a un concept, ça ne sert strictement à rien, mais ça permet de faire passer la pilule aux yeux du public et de renouveler le stock de phrases toutes faites en interview, après le pouvoir de l'imagination de l'album précédent, place à la science et à la théorie de l'évolution, le concept est foireux, ça ne se remarque pas du tout dans la musique, mais ça permet au groupe d'avoir l'air intelligent en plaçant de la narration scientifique, lue par le théoricien de l'évolution Richard Dawkins.
Pour ajouter l'injure à l’infamie, sachez également que ce nouvel album fait dans l'extrême longueur avec 78 minutes au compteur, rien que ça, un album fleuve où il n'y a absolument rien à sauver, un véritable exploit de la part de l'orchestre finlandais, monde de merde.
Endless Forms Most Beautiful est une grosse machinerie qui va tourner à vide du début à la fin, "Metal" symphonique à la Michael Bay, surchargé d'orchestrations toujours aussi pompeuses, jouant sur ses effets spéciaux, cache misère à la médiocrité ambiante, mais ça fait dix ans que le groupe nous fait le coup, ce n'est pas une surprise.
Power "Metal" symphonique gentillet et mignon, où l'agressivité est réduite au minimum, où l'influence celtique s'est encore accrue, Nightwish va nous proposer sa tambouille habituelle, peut-être encore plus surchargée que d'habitude, et plus Nightwish en fait des caisses avec ses orchestrations (un véritable orchestre a été utilisé) et ses arrangements Folk (l'influence Donockley), moins sa musique a d'impact, les finlandais se reposent exclusivement sur les effets spéciaux, rien à foutre des riffs qui ne servent que d'accompagnement, on fait all-in sur les orchestrations, et ça pue.
Ouvrant l'album, Shudder Before the Beautiful (avec un peu de narration au début) est la grosse daube habituelle dans la grande tradition des titres d'ouvertures de Nightwish, une niaiserie cliché au possible, mou, surchargé d'orchestrations et de chœurs, où Floor est réduite au minimum syndical, aucune passion, aucune âme, un produit bas de gamme vaguement Heavy mas pas trop, et ce n'est pas Weak Fantasy, au titre tristement prédestiné, qui va remonter le niveau, loin de là, encore une fois, Nightwish carbure à vide en recyclant ses figures imposés, inspiration proche du néant, arrangements acoustiques et passage celtique Folk minable qui transpire la facilité, un morceau où on entend un peu Marco Hietala, qui est le véritable porté disparu de cet album, j'imagine qu'il fallait bien faire de la place au chant de Donockley, un peu plus présent vocalement ici, mais faire quasiment disparaître le chant de Hietala nuit gravement à l'équilibre et à l’efficacité du groupe, le seul moment où il sera un peu plus présent sera sur Yours Is an Empty Hope, une vaine tentative de refaire un morceau Heavy et sombre comme à l'ancienne, inutile de dire que ça passe complètement à côté tant l'ensemble s'avère forcé au possible, alliance de passages plus Heavy et de parties symphoniques décousues et un peu trop bordéliques, Floor est à côté de ses pompes, à des années lumières de ce dont elle est capable, comme si elle était sur la retenue, à 50% de ses capacités.
Il va de soit que l'album propose également ses ballades dans la grande tradition Nightwishienne du genre, c'est à dire médiocrement plate et trop longues, Our Decades in the Sun va nous faire voyager jusqu'aux confins de l'ennui, la connerie acoustique et symphonique habituelle où il ne se passe rien, qui sera immédiatement suivie d'une Power Ballade, My Walden, où Floor partage l'affiche avec Donockley pour un truc de pop celtique ultra mou du genou, tellement sirupeux et insipide que les guitares semblent être de trop, c'est du niveau d'un album breton de Nolwenn Leroy, malaise...
Après ces deux purges Bisounours au pays des celtes, retour aux affaires courantes et à la médiocrité du titre éponyme, Floor Jansen est au fond du trou avec son refrain affligeant de banalité, d'ailleurs en parlant de banalité, que dire du recyclage et de l'auto-pompage de l'orchestration ouvrant un Alpenglow qui est à se pisser dessus de rire tant le malaise est palpable, je ne vous parlerai même pas de Edema Ruh car ce morceau me donne la nausée et envie de vomir, et ce n'est pas fini, car Nightwish va nous infliger un monument d'ennui orchestral d'une durée totale de trente putain de minutes!
Endless Forms Most Beautiful transpire les goûts de chiottes de ses géniteurs et le gros foutage de gueule, montrant un groupe qui n'avance pas et qui recycle sa daube de manière éhontée, ça se vend tout seul, pourquoi s'emmerder après tout?
L'album a un concept, ça ne sert strictement à rien, mais ça permet de faire passer la pilule aux yeux du public et de renouveler le stock de phrases toutes faites en interview, après le pouvoir de l'imagination de l'album précédent, place à la science et à la théorie de l'évolution, le concept est foireux, ça ne se remarque pas du tout dans la musique, mais ça permet au groupe d'avoir l'air intelligent en plaçant de la narration scientifique, lue par le théoricien de l'évolution Richard Dawkins.
Pour ajouter l'injure à l’infamie, sachez également que ce nouvel album fait dans l'extrême longueur avec 78 minutes au compteur, rien que ça, un album fleuve où il n'y a absolument rien à sauver, un véritable exploit de la part de l'orchestre finlandais, monde de merde.
Endless Forms Most Beautiful est une grosse machinerie qui va tourner à vide du début à la fin, "Metal" symphonique à la Michael Bay, surchargé d'orchestrations toujours aussi pompeuses, jouant sur ses effets spéciaux, cache misère à la médiocrité ambiante, mais ça fait dix ans que le groupe nous fait le coup, ce n'est pas une surprise.
Power "Metal" symphonique gentillet et mignon, où l'agressivité est réduite au minimum, où l'influence celtique s'est encore accrue, Nightwish va nous proposer sa tambouille habituelle, peut-être encore plus surchargée que d'habitude, et plus Nightwish en fait des caisses avec ses orchestrations (un véritable orchestre a été utilisé) et ses arrangements Folk (l'influence Donockley), moins sa musique a d'impact, les finlandais se reposent exclusivement sur les effets spéciaux, rien à foutre des riffs qui ne servent que d'accompagnement, on fait all-in sur les orchestrations, et ça pue.
Ouvrant l'album, Shudder Before the Beautiful (avec un peu de narration au début) est la grosse daube habituelle dans la grande tradition des titres d'ouvertures de Nightwish, une niaiserie cliché au possible, mou, surchargé d'orchestrations et de chœurs, où Floor est réduite au minimum syndical, aucune passion, aucune âme, un produit bas de gamme vaguement Heavy mas pas trop, et ce n'est pas Weak Fantasy, au titre tristement prédestiné, qui va remonter le niveau, loin de là, encore une fois, Nightwish carbure à vide en recyclant ses figures imposés, inspiration proche du néant, arrangements acoustiques et passage celtique Folk minable qui transpire la facilité, un morceau où on entend un peu Marco Hietala, qui est le véritable porté disparu de cet album, j'imagine qu'il fallait bien faire de la place au chant de Donockley, un peu plus présent vocalement ici, mais faire quasiment disparaître le chant de Hietala nuit gravement à l'équilibre et à l’efficacité du groupe, le seul moment où il sera un peu plus présent sera sur Yours Is an Empty Hope, une vaine tentative de refaire un morceau Heavy et sombre comme à l'ancienne, inutile de dire que ça passe complètement à côté tant l'ensemble s'avère forcé au possible, alliance de passages plus Heavy et de parties symphoniques décousues et un peu trop bordéliques, Floor est à côté de ses pompes, à des années lumières de ce dont elle est capable, comme si elle était sur la retenue, à 50% de ses capacités.
Il va de soit que l'album propose également ses ballades dans la grande tradition Nightwishienne du genre, c'est à dire médiocrement plate et trop longues, Our Decades in the Sun va nous faire voyager jusqu'aux confins de l'ennui, la connerie acoustique et symphonique habituelle où il ne se passe rien, qui sera immédiatement suivie d'une Power Ballade, My Walden, où Floor partage l'affiche avec Donockley pour un truc de pop celtique ultra mou du genou, tellement sirupeux et insipide que les guitares semblent être de trop, c'est du niveau d'un album breton de Nolwenn Leroy, malaise...
Après ces deux purges Bisounours au pays des celtes, retour aux affaires courantes et à la médiocrité du titre éponyme, Floor Jansen est au fond du trou avec son refrain affligeant de banalité, d'ailleurs en parlant de banalité, que dire du recyclage et de l'auto-pompage de l'orchestration ouvrant un Alpenglow qui est à se pisser dessus de rire tant le malaise est palpable, je ne vous parlerai même pas de Edema Ruh car ce morceau me donne la nausée et envie de vomir, et ce n'est pas fini, car Nightwish va nous infliger un monument d'ennui orchestral d'une durée totale de trente putain de minutes!
On sort la chorale d'enfants (Facepalm) et c'est parti pour 6 longues minutes de vide abyssal avec The Eyes of Sharbat Gula, saloperie orchestrale propice à la méditation qui nous amène au très très gros pavé The Greatest Show on Earth, qui est supposé être le truc le plus épique et monumental jamais composé par Holopainen... MDR!
Ce truc est juste interminable, la narration de Dawkins est de rigueur parce que bon, y'a un concept sur l'Homme tu vois, avec un grand H, et faut bien rentabiliser le gaillard, narration et ambiance celtique pendant six minutes avant un riff de merde posé là à l'arrache, et un passage central que se veut plus "dur", où les trois chanteurs seront mis à contribution, Nightwish propose globalement une bande originale de film sans film, où absolument toutes les grosses ficelles orchestrales du groupe seront passées en revue sur fond de blah blah scientifique, je ne veux même pas en parler davantage, ce titre pue le délire mégalo d'Holopainen, un titre fleuve sans réelle émotion où tout semble factice et bien trop pompeux pour être honnête.
Within Temptation c'était peut-être à chier, mais au moins on pouvait rigoler avec leurs guests complètement WTF, Endless Forms Most Beautiful est juste un gigantesque furoncle de la part d'un groupe qui se prend bien trop au sérieux.
Guitares en berne, batterie mollassonne, gigantesque surcharge orchestrale, débauche de conneries celtiques, et surtout une chanteuse à la base puissante et polyvalente complètement sous-exploitée et atrocement mal utilisée, Nightwish a tout faux du début à la fin, et se vautre en faisant le plus de bruit possible, jamais le groupe n'avait proposé une tambouille aussi plate et sans couilles, on se demande même ce qu'est venue faire Floor Jansen dans cette galère tant on lui demande de chanter de la soupe et des paroles qui sont juste risibles.
De la soupe sans aucune âme, c'est ce que propose Nightwish ici, et c'est encore pire qu'avant, Endless Forms Most Beautiful atteint des sommets d'ennui et de médiocrité avec son "Metal" bisounours symphonico-celtique, tellement pop et easy-listening que ça me fait mal au cul d'utiliser le terme Metal pour cette purge.
Les compositions sont linéaires au possible, tout fait déjà entendu mais en version sur-orchestrée afin de pallier au manque d'idées, les refrains son généralement nuls, Endless Forms Most Beautiful pue le recyclage et le manque d'inspiration, cet album est juste un produit, que la ménagère trouvera dans des dizaines d'éditions limitées dans son supermarché entre deux paquets de lessive, de l'easy-listening qui fait aussi Metal qu'un album de Nolwenn Leroy, c'est moche, très moche même, et c'est tellement à chier que ça devrait se vendre sans problème, ce qui est le but de l'opération.
Ce truc est juste interminable, la narration de Dawkins est de rigueur parce que bon, y'a un concept sur l'Homme tu vois, avec un grand H, et faut bien rentabiliser le gaillard, narration et ambiance celtique pendant six minutes avant un riff de merde posé là à l'arrache, et un passage central que se veut plus "dur", où les trois chanteurs seront mis à contribution, Nightwish propose globalement une bande originale de film sans film, où absolument toutes les grosses ficelles orchestrales du groupe seront passées en revue sur fond de blah blah scientifique, je ne veux même pas en parler davantage, ce titre pue le délire mégalo d'Holopainen, un titre fleuve sans réelle émotion où tout semble factice et bien trop pompeux pour être honnête.
Within Temptation c'était peut-être à chier, mais au moins on pouvait rigoler avec leurs guests complètement WTF, Endless Forms Most Beautiful est juste un gigantesque furoncle de la part d'un groupe qui se prend bien trop au sérieux.
Guitares en berne, batterie mollassonne, gigantesque surcharge orchestrale, débauche de conneries celtiques, et surtout une chanteuse à la base puissante et polyvalente complètement sous-exploitée et atrocement mal utilisée, Nightwish a tout faux du début à la fin, et se vautre en faisant le plus de bruit possible, jamais le groupe n'avait proposé une tambouille aussi plate et sans couilles, on se demande même ce qu'est venue faire Floor Jansen dans cette galère tant on lui demande de chanter de la soupe et des paroles qui sont juste risibles.
De la soupe sans aucune âme, c'est ce que propose Nightwish ici, et c'est encore pire qu'avant, Endless Forms Most Beautiful atteint des sommets d'ennui et de médiocrité avec son "Metal" bisounours symphonico-celtique, tellement pop et easy-listening que ça me fait mal au cul d'utiliser le terme Metal pour cette purge.
Les compositions sont linéaires au possible, tout fait déjà entendu mais en version sur-orchestrée afin de pallier au manque d'idées, les refrains son généralement nuls, Endless Forms Most Beautiful pue le recyclage et le manque d'inspiration, cet album est juste un produit, que la ménagère trouvera dans des dizaines d'éditions limitées dans son supermarché entre deux paquets de lessive, de l'easy-listening qui fait aussi Metal qu'un album de Nolwenn Leroy, c'est moche, très moche même, et c'est tellement à chier que ça devrait se vendre sans problème, ce qui est le but de l'opération.
Track Listing:
1. Shudder Before the Beautiful 06:29
2. Weak Fantasy 05:23
3. Élan 04:48
4. Yours Is an Empty Hope 05:34
5. Our Decades in the Sun 06:37
6. My Walden 04:38
8. Edema Ruh 05:15
9. Alpenglow 04:45
10. The Eyes of Sharbat Gula 06:03
11. The Greatest Show on Earth 24:00