Vous devez le savoir depuis le temps, je suis assez bon public concernant les groupes barrés et l'avant-garde en général, j'ai une affection particulière pour les zinzins de l'espace qui repoussent les limites et explorent de nouveaux horizons.
Bref, cet album des français de 6h33, je l'attendais de pied ferme, comme du pain béni, ça devait être génial, révolutionnaire, novateur, je l'avais même précommandé chez Kaotoxin, en version bundle en plus, c'est vous dire si j'étais confiant, sauf que voilà, j'ai tout essayé, je l'ai écouté plein de fois, j'ai tout fait pour aimer Deadly Scenes, pour essayer d'en sortir au moins quelque chose de positif, et non, rien, que dalle, j'ai beau l'écouter encore et encore, il n'y a presque rien à sauver du naufrage Deadly Scenes, un authentique échec de la scène nawak française, à mon grand regret, une énorme déception...
Je sais bien que le terme Avant-garde ne veut pas dire grand chose, il rassemble trop de choses disparates pour qu'une définition du genre soit pertinente, le terme Avant-garde a tendance à désigner tout ce qui est trop bizarre et donc trop compliqué à définir, 6h33 se définit comme un groupe de Strange Metal, mouais, encore une fois ça ne veut pas dire grand chose, mais ça se rapproche d'une certaine manière de la réalité, car Avant-gardiste, le combo français ne l'est pas, où alors il peut l'être dans le sens où 6h33 propose une sorte d'initiation à l'avant-garde pour les nuls, des notions de base, et pas grand chose d'autre, car c'est bien là le problème, Deadly Scenes est un album certes étrange, mais jamais particulièrement inventif, ce qui est toujours dramatique dans ce genre de production, pire encore, l'univers de 6h33 est tellement référencé que ça en donne la nausée, le terme est peut-être un peu fort? disons alors que que la myriade de références bien trop appuyées gâche complètement le plaisir d'écoute, annihilant la personnalité du groupe, à tel point que l'on a au final aucune idée de quel est la personnalité du groupe, ni le sens de sa démarche à base de name-dropping excessif et pénible, Deadly Scenes, c'est une somme de références, des références qui ne seront jamais assimilées, des codes repris à la lettre qui ne seront jamais distordus, un Strange Metal qui n'avance pas, qui ne repousse aucune limite, qui se contente d'exister pour le simple fait d'être étrange, partant de là, l'échec était inévitable.
Bref, cet album des français de 6h33, je l'attendais de pied ferme, comme du pain béni, ça devait être génial, révolutionnaire, novateur, je l'avais même précommandé chez Kaotoxin, en version bundle en plus, c'est vous dire si j'étais confiant, sauf que voilà, j'ai tout essayé, je l'ai écouté plein de fois, j'ai tout fait pour aimer Deadly Scenes, pour essayer d'en sortir au moins quelque chose de positif, et non, rien, que dalle, j'ai beau l'écouter encore et encore, il n'y a presque rien à sauver du naufrage Deadly Scenes, un authentique échec de la scène nawak française, à mon grand regret, une énorme déception...
Je sais bien que le terme Avant-garde ne veut pas dire grand chose, il rassemble trop de choses disparates pour qu'une définition du genre soit pertinente, le terme Avant-garde a tendance à désigner tout ce qui est trop bizarre et donc trop compliqué à définir, 6h33 se définit comme un groupe de Strange Metal, mouais, encore une fois ça ne veut pas dire grand chose, mais ça se rapproche d'une certaine manière de la réalité, car Avant-gardiste, le combo français ne l'est pas, où alors il peut l'être dans le sens où 6h33 propose une sorte d'initiation à l'avant-garde pour les nuls, des notions de base, et pas grand chose d'autre, car c'est bien là le problème, Deadly Scenes est un album certes étrange, mais jamais particulièrement inventif, ce qui est toujours dramatique dans ce genre de production, pire encore, l'univers de 6h33 est tellement référencé que ça en donne la nausée, le terme est peut-être un peu fort? disons alors que que la myriade de références bien trop appuyées gâche complètement le plaisir d'écoute, annihilant la personnalité du groupe, à tel point que l'on a au final aucune idée de quel est la personnalité du groupe, ni le sens de sa démarche à base de name-dropping excessif et pénible, Deadly Scenes, c'est une somme de références, des références qui ne seront jamais assimilées, des codes repris à la lettre qui ne seront jamais distordus, un Strange Metal qui n'avance pas, qui ne repousse aucune limite, qui se contente d'exister pour le simple fait d'être étrange, partant de là, l'échec était inévitable.
J'attendais quand même un minimum, une musique bouillonnante, aventureuse, avec l'effet slam dunk dans la face typique du Metal nawak français, peut-être pas aussi explosif qu'un Pryapisme, mais tout du moins une musique faite de dynamisme et de changements de direction, ce n'est absolument pas le cas ici, Deadly Scenes n'est jamais surprenant, jamais détonnant, il est juste plat et chiant, c'est tellement easy listening qu'on est plus proche d'un Shaka Ponk mou du genou que d'un groupe de Metal d'Avant-Garde, c'est vous dire à quel point on peut s'ennuyer avec 6h33, c'est vendu comme un gonzo du Metal avant-garde alors qu'on a droit à une partie fine sur fond de lounge luxuriant, tout cela est bien trop calme et convenu pour que cela puisse vraiment fonctionner.
Jamais totalement barré, toujours sur la retenu, le groupe français ne se lâche jamais lors de compositions certes chiadées mais peu inventives et soporifiques, vous vous êtes déjà demandé ce que pourrait donner le pire du pire du Happy Metal de Devin Townsend sur lequel chanterait Mike Patton? Deadly Scenes est en quelque sorte la réponse à une question que personne ne voulait se poser.
Je vous parle de Mike Patton, car c'est une composante essentielle du son de 6h33, le chanteur Rorschach est un clone vocal de Patton, il en est tellement proche qu'au premier abord on dirait que Deadly Scenes est un de ses nombreux side-project, autant dire que l'identité sonore du groupe se retrouve dissoute dans cette émulation, et l'on en viendrait presque à regretter la collaboration du groupe avec Strobl ces dernières années, car même si Strobl a lui aussi tendance à émuler Patton, il est un peu plus couteau-suisse et propose davantage de diversité, et cela contribue à cette confusion qui est le problème majeur de 6h33 ici, Deadly Scenes est juste une somme de références, et leur musique ne se définit que par ça, tout au long du disque, on va passer son temps à essayer de se rappeler où on a déjà entendu tel ou tel passage, c'est plutôt con quand même, j'aurait voulu écouter un album de 6h33, pas une compilation de références diverses.
Jamais totalement barré, toujours sur la retenu, le groupe français ne se lâche jamais lors de compositions certes chiadées mais peu inventives et soporifiques, vous vous êtes déjà demandé ce que pourrait donner le pire du pire du Happy Metal de Devin Townsend sur lequel chanterait Mike Patton? Deadly Scenes est en quelque sorte la réponse à une question que personne ne voulait se poser.
Je vous parle de Mike Patton, car c'est une composante essentielle du son de 6h33, le chanteur Rorschach est un clone vocal de Patton, il en est tellement proche qu'au premier abord on dirait que Deadly Scenes est un de ses nombreux side-project, autant dire que l'identité sonore du groupe se retrouve dissoute dans cette émulation, et l'on en viendrait presque à regretter la collaboration du groupe avec Strobl ces dernières années, car même si Strobl a lui aussi tendance à émuler Patton, il est un peu plus couteau-suisse et propose davantage de diversité, et cela contribue à cette confusion qui est le problème majeur de 6h33 ici, Deadly Scenes est juste une somme de références, et leur musique ne se définit que par ça, tout au long du disque, on va passer son temps à essayer de se rappeler où on a déjà entendu tel ou tel passage, c'est plutôt con quand même, j'aurait voulu écouter un album de 6h33, pas une compilation de références diverses.
6h33 va donc galérer et brasser du vent pendant quand même plus de cinquante minutes, où chaque titre est une espèce de figure de style où les atmosphères sont privilégiées, et rien d'autre, le tout étant bien évidemment agrémenté de samples bizarres parce que "ouais, on est trop des déglingos de l'avant-garde, on fait ce qu'on veut", rien que pour le plaisir de mettre des samples, qui n'ont aucun fondement ni raison d'être, ils sont posés là à l'arrache comme des anomalies, caution avant-garde oblige, c'est dans le cahier des charges alors il faut en mettre pour justifier l'étiquette Strange Metal, j'ai du mal à comprendre où le groupe veut en venir, ou si c'est réellement voulu de faire un album aussi référencé, à tel point que l'on ne va plus retenir que ça.
Deadly Scenes est une sorte de Vade-mecum du Nawak Metal, sous-titré l'Avant-Garde pour les nuls, avec des constructions également trop classiques, où l'on rebondit d'un genre à un autre en toute décontraction, certes, mais avec les transitions habituelles de ce genre de production, 6h33 nous propose des morceaux finalement convenus et sans surprises pour qui est déjà versé dans le genre, de l'innovation? nullement, du recyclage? oh que oui, à la pelle!
De ce fait, tout ce que vous allez entendre ici, vous l'avez surement déjà entendu avant, le Happy Metal de Devin Townsend en mode freak show, Faith no More, Mr Bungle, Zappa, Sigh, Diablo Swing Orchestra, voir même Unexpect, 6h33 ne proposera que des références, en nombre tellement conséquent que l'on se demande parfois si Deadly Scenes n'est pas tout simplement un album hommage à la scène zinzin plutôt qu'une véritable création, c'est quand même sacrément gênant pour un groupe qui évolue dans un genre qui ne fonctionne qu'en détruisant les codes, où tout du moins en jouant avec, les distordre et les réagencer, ici, ce n'est pas le cas, c'est même l'inverse.
Prenez un titre comme I'm A Nerd, c'est un gigantesque poke à Devin Townsend, un Happy Metal à la con avec un clone de Patton au chant, alors bien sûr, c'est bien foutu, 6h33 est un élève appliqué, avec ses rythmiques bondissantes, ses chœurs, les différents effets de style, les changements de direction en douceur à base de Stop and Go typique du genre, c'est gentil, tout mignon, mais est-ce vraiment intéressant?
On pourrait dire la même chose de Lazy Boy avec son chant à la Patton, ou du très Townsendien Hellalujah, c'est bien branlé mais on ne peut s'empêcher de penser qu'on a déjà entendu ça avant, Ego Fandango est une espèce de contrefaçon de Diablo Swing Orchestra sans le grain de folie ni la maîtrise des suédois, même quand le groupe essaie de proposer un truc intéressant, ça foire souvent, The Walking Fed était une bonne idée pour son ambiance glauque tribalo-urbaine mais c'est trop long et le morceau ne décollera jamais, on se raccrochera à un Last Bullet for a Gold Rattle en mode western au coin du feu avec du banjo, qui est plutôt entraînant, même si encore une fois le morceau est posé là sans réelle cohérence, les gars ont eu envie de faire un morceau ambiance ruée vers l'or et ils l'ont mis là vers la fin à l'arrache, mouais...
Reste quand même qu'il faut saluer la qualité des orchestrations et des atmosphères, encore heureux, car il n'y a que ça à se mettre sous la dent, 6h33 a vraiment bossé ce point là, ce côté freak show, cette ambiance halloween, ce qui me rend encore plus amer à l'écoute de Deadly Scenes, car 6h33 a vraiment le potentiel pour faire bien mieux qu'un best of du Nawak Metal, ils sont compétents, inventifs, développent un univers assez unique, mais semblent se contenter de bien peu, c'est super bien foutu, les arrangements sont géniaux, le chant féminin est une bonne idée, mais jamais 6h33 ne va nous mettre sur le cul, le seul morceau un peu ambitieux sera le très long titre éponyme final où, enfin, 6h33 va mettre ses couilles sur la table et nous raconter une bonne histoire en alternant les genres, sans folie bien sûr, mais avec un certain talent, et un peu de fun, notamment le gros passage funk qui va bien, par contre, ben ouais, ça fait toujours best of déjà entendu et cette fois-ci, on se croirait dans le Ziltoid de Townsend, pour, et c'est récurrent sur tout l'album, l'utilisation massive de chœurs, de chant féminin, et d'orchestrations, c'est bien gentil mais ça ne fait que diminuer l'impact en noyant l'agressivité dans de la guimauve, encore une fois, on est dans le mash-up de références, et c'est réellement troublant.
Il faut quand même parler de la production de l'album, car la encore, c'est la fausse note, on est quand même dans un genre qui joue sur le dynamisme et les aérations, et tu te prends un DR6 compressé de manière dégueulasse sur le coin de la gueule, Deadly Scenes a un son trop compressé, un peu étouffé parfois, qui ne laisse aucun espace pour respirer, ce manque de dynamisme sonore diminue considérablement l'impact des changements de direction dans les morceaux, on a l'impression que tout se mélange dans un cloaque informe qui rend la musique de 6h33 anormalement surchargée, et ça contribue à ce sentiment d'ennui à l'écoute du disque, les plans s'enchaînent sans qu'à aucun moment on ne se sente concerné par ce qu'il se passe, et l'on passe vite de la passivité à la lassitude à l'écoute de Deadly Scenes.
Deadly Scenes est une sorte de Vade-mecum du Nawak Metal, sous-titré l'Avant-Garde pour les nuls, avec des constructions également trop classiques, où l'on rebondit d'un genre à un autre en toute décontraction, certes, mais avec les transitions habituelles de ce genre de production, 6h33 nous propose des morceaux finalement convenus et sans surprises pour qui est déjà versé dans le genre, de l'innovation? nullement, du recyclage? oh que oui, à la pelle!
De ce fait, tout ce que vous allez entendre ici, vous l'avez surement déjà entendu avant, le Happy Metal de Devin Townsend en mode freak show, Faith no More, Mr Bungle, Zappa, Sigh, Diablo Swing Orchestra, voir même Unexpect, 6h33 ne proposera que des références, en nombre tellement conséquent que l'on se demande parfois si Deadly Scenes n'est pas tout simplement un album hommage à la scène zinzin plutôt qu'une véritable création, c'est quand même sacrément gênant pour un groupe qui évolue dans un genre qui ne fonctionne qu'en détruisant les codes, où tout du moins en jouant avec, les distordre et les réagencer, ici, ce n'est pas le cas, c'est même l'inverse.
Prenez un titre comme I'm A Nerd, c'est un gigantesque poke à Devin Townsend, un Happy Metal à la con avec un clone de Patton au chant, alors bien sûr, c'est bien foutu, 6h33 est un élève appliqué, avec ses rythmiques bondissantes, ses chœurs, les différents effets de style, les changements de direction en douceur à base de Stop and Go typique du genre, c'est gentil, tout mignon, mais est-ce vraiment intéressant?
On pourrait dire la même chose de Lazy Boy avec son chant à la Patton, ou du très Townsendien Hellalujah, c'est bien branlé mais on ne peut s'empêcher de penser qu'on a déjà entendu ça avant, Ego Fandango est une espèce de contrefaçon de Diablo Swing Orchestra sans le grain de folie ni la maîtrise des suédois, même quand le groupe essaie de proposer un truc intéressant, ça foire souvent, The Walking Fed était une bonne idée pour son ambiance glauque tribalo-urbaine mais c'est trop long et le morceau ne décollera jamais, on se raccrochera à un Last Bullet for a Gold Rattle en mode western au coin du feu avec du banjo, qui est plutôt entraînant, même si encore une fois le morceau est posé là sans réelle cohérence, les gars ont eu envie de faire un morceau ambiance ruée vers l'or et ils l'ont mis là vers la fin à l'arrache, mouais...
Reste quand même qu'il faut saluer la qualité des orchestrations et des atmosphères, encore heureux, car il n'y a que ça à se mettre sous la dent, 6h33 a vraiment bossé ce point là, ce côté freak show, cette ambiance halloween, ce qui me rend encore plus amer à l'écoute de Deadly Scenes, car 6h33 a vraiment le potentiel pour faire bien mieux qu'un best of du Nawak Metal, ils sont compétents, inventifs, développent un univers assez unique, mais semblent se contenter de bien peu, c'est super bien foutu, les arrangements sont géniaux, le chant féminin est une bonne idée, mais jamais 6h33 ne va nous mettre sur le cul, le seul morceau un peu ambitieux sera le très long titre éponyme final où, enfin, 6h33 va mettre ses couilles sur la table et nous raconter une bonne histoire en alternant les genres, sans folie bien sûr, mais avec un certain talent, et un peu de fun, notamment le gros passage funk qui va bien, par contre, ben ouais, ça fait toujours best of déjà entendu et cette fois-ci, on se croirait dans le Ziltoid de Townsend, pour, et c'est récurrent sur tout l'album, l'utilisation massive de chœurs, de chant féminin, et d'orchestrations, c'est bien gentil mais ça ne fait que diminuer l'impact en noyant l'agressivité dans de la guimauve, encore une fois, on est dans le mash-up de références, et c'est réellement troublant.
Il faut quand même parler de la production de l'album, car la encore, c'est la fausse note, on est quand même dans un genre qui joue sur le dynamisme et les aérations, et tu te prends un DR6 compressé de manière dégueulasse sur le coin de la gueule, Deadly Scenes a un son trop compressé, un peu étouffé parfois, qui ne laisse aucun espace pour respirer, ce manque de dynamisme sonore diminue considérablement l'impact des changements de direction dans les morceaux, on a l'impression que tout se mélange dans un cloaque informe qui rend la musique de 6h33 anormalement surchargée, et ça contribue à ce sentiment d'ennui à l'écoute du disque, les plans s'enchaînent sans qu'à aucun moment on ne se sente concerné par ce qu'il se passe, et l'on passe vite de la passivité à la lassitude à l'écoute de Deadly Scenes.
Entendons-nous bien, l'album n'est pas honteux, il est juste décevant, dans le sens où 6h33 fait beaucoup de promesses, pour finalement n'en tenir aucune.
L'album est quand même assez fun par certains aspects, mais le fait qu'il soit à ce point référencé pour en fin de compte n'être plus qu'une somme de références est profondément gênant, si le but était de faire un album hommage en forme de Mash-up de Devin Townsend et de Mike Patton, c'est réussit, mais je ne vois pas vraiment quel intérêt cela peut avoir.
Deadly Scenes, c'est du name-dropping à n'en plus finir, quasiment du fan service pour qui veut s'amuser à rechercher toutes les références aux artistes cités plus haut, merde, c'est que je voulais un album intéressant et qui me botte le cul moi, en tout cas écouter un album vraiment original de Strange Metal, en somme, écouter un album de 6h33 et non un petit guide ultra référencé du Metal zinzin, dommage, car le groupe a le potentiel pour faire bien mieux que ça, pour l'instant, le manque de personnalité du projet est pour moi complètement rédhibitoire.
(Album en écoute sur Bandcamp)
L'album est quand même assez fun par certains aspects, mais le fait qu'il soit à ce point référencé pour en fin de compte n'être plus qu'une somme de références est profondément gênant, si le but était de faire un album hommage en forme de Mash-up de Devin Townsend et de Mike Patton, c'est réussit, mais je ne vois pas vraiment quel intérêt cela peut avoir.
Deadly Scenes, c'est du name-dropping à n'en plus finir, quasiment du fan service pour qui veut s'amuser à rechercher toutes les références aux artistes cités plus haut, merde, c'est que je voulais un album intéressant et qui me botte le cul moi, en tout cas écouter un album vraiment original de Strange Metal, en somme, écouter un album de 6h33 et non un petit guide ultra référencé du Metal zinzin, dommage, car le groupe a le potentiel pour faire bien mieux que ça, pour l'instant, le manque de personnalité du projet est pour moi complètement rédhibitoire.
(Album en écoute sur Bandcamp)
Le petit Vade-mecum du Strange Metal
Track Listing:
1. Hellalujah
2. Ego Fandango
3. The Walking Fed
4. I'm a Nerd
5. Modus Operandi
6. Black Widow
7. Last Bullet for a Gold Rattle
8. Lazy Boy
9. Deadly Scenes