Ayant émergé de son marais de Finlande un peu trop tard par rapport à la concurrence, Kalmah n'a pas eu de chance, le groupe ayant été un peu trop vite catalogué comme un sous-Children of Bodom, ou juste un groupe de Death Mélodique de plus prenant le train en marche.
Pourtant, le déficit de notoriété et le manque de reconnaissance des finlandais n'est pas dû à la mauvaise qualité de leur musique, car dès leur premier album Swamplord, et aussi avec les albums qui ont suivi, notamment le second, They will return, la cause était entendue, Kalmah, c'est mieux que Children of Bodom (Bien sûr, je parle du Bodom un peu foireux des années 2000 qui s'est mis à faire n'importe quoi).
D'ailleurs, cette comparaison avec leurs compatriotes n'a franchement plus lieu d'être tant Kalmah s'est progressivement éloigné de l'influence de leurs encombrants voisins, avec une série d'albums incroyablement constants dans la qualité (tout le contraire de la bande à Laiho...), même si en cherchant bien on pourrait trouver à redire concernant For the Revolution, bref, après un excellent 12 Gauge tout en brutalité qui arrachait les poils, voilà que débarque l'horriblement nommé Seventh Swamphony (avouez que c'est moche comme titre), qui délaisse un peu la force brute, même si ça reste particulièrement sauvage, pour un retour a des sonorité un peu plus folk, pour un résultat souvent plus épique que par le passé...
Pourtant, le déficit de notoriété et le manque de reconnaissance des finlandais n'est pas dû à la mauvaise qualité de leur musique, car dès leur premier album Swamplord, et aussi avec les albums qui ont suivi, notamment le second, They will return, la cause était entendue, Kalmah, c'est mieux que Children of Bodom (Bien sûr, je parle du Bodom un peu foireux des années 2000 qui s'est mis à faire n'importe quoi).
D'ailleurs, cette comparaison avec leurs compatriotes n'a franchement plus lieu d'être tant Kalmah s'est progressivement éloigné de l'influence de leurs encombrants voisins, avec une série d'albums incroyablement constants dans la qualité (tout le contraire de la bande à Laiho...), même si en cherchant bien on pourrait trouver à redire concernant For the Revolution, bref, après un excellent 12 Gauge tout en brutalité qui arrachait les poils, voilà que débarque l'horriblement nommé Seventh Swamphony (avouez que c'est moche comme titre), qui délaisse un peu la force brute, même si ça reste particulièrement sauvage, pour un retour a des sonorité un peu plus folk, pour un résultat souvent plus épique que par le passé...