Cela fait longtemps que je n'ai pas chroniqué une bonne grosse bouse, vous savez, pas seulement un mauvais disque, ça il y en a toujours, mais une merde irrécupérable et honteuse, tellement puante qu'elle redéfinit à elle le seule le concept même d'album de merde, ces albums sont rares, très rares même, et cette raréfaction de chroniques d'albums de merde à une explication, car tout est de la faute d'une personne, le gros Max Cavalera, notre sac poubelle brésilien préféré, qui a ralenti sa production de merdes, la dernière fois que nos routes s'étaient croisées, c'était il y a deux ans avec le tout bonnement ignoble Archangel, et depuis plus rien, il faut dire que ce gros tas à la ramasse était trop occupé à faire du cash-grab facile en reprenant Roots en live, une stratégie payante puisque le Metal a la bonne idée d'avoir des fans suffisamment teubés pour payer afin de voir une idole rincée jouer un album de Neo Metal vaguement culte, bref, le Max a fait du pognon, et il est temps désormais de relancer Cavalera Conspiracy, le projet vendu par Max et son management comme étant le vrai Sepultura puisqu'il y a aussi le frangin DJ Iggor dedans, ça aurait pu être un album de Soulfly, mais comme l'idée de Max est de surfer sur la vague nostalgique vu qu'il reprend des vieilleries, vaut mieux choisir le projet en duo avec le frangin, ce qui ne fait aucune putain de différence puisque sans surprise, Psychosis est une gigantesque merde.
Deathcore Groovy, Thrash bourrin, saupoudrage tribal, avec parfois un supplément de saloperies industrielles, telles sont les composantes de ce que l'on peut appeler désormais le CavaleraCore, ce Psychosis ne fera pas exception, les Cavalera n'essaieront même pas de changer un poil de cul à la tambouille, Cavalera conspiracy nous sert une fois de plus un album réchauffé à mort et ultra prévisible qui n'a aucun intérêt, mais qui a une volonté, qui est celle de retrouver l'allant du vieux Sepultura, et notamment Arise, c'est récurrent dans la carrière récente de Cavalera, on en revient toujours au passé sans jamais regarder vers l'avant, stratégie facile qui marche toujours chez le fan de base, il suffit de lui dire que ça va sonner comme à l'ancienne pour qu'il y croit et sort son pognon le couillon, le gros Max est surement complètement à la ramasse mais pas au point de n'avoir pas remarqué que ses fans était suffisamment cons pour tout gober aussi facilement, partant de là, pourquoi le gars se ferait chier?
Le début d'album est conforme à ce que le fan du projet est en droit d'attendre de ses idoles rincées, Insane est typique de ce retour au bourrinage Thrashy, ça n'a aucun intérêt, c'est forcé à mort, mais vue l'exigence du public auquel s'adresse le bouzin, ça fera largement l'affaire, on a donc un tabassage en règle, Iggor n'en a rien de branler de proposer un truc inventif, il est là pour fracasser ses fûts, Max n'en a rien à branler de la poésie, il passe son temps à gueuler le titre du morceau comme il le fait habituellement, ça joue vite, très vite même, ce qui veut donc dire que tu peux être sûr que Max ne joue pas dessus et qu'il laissera Rizzo faire tout le boulot sur scène pendant qu'il beuglera dans le micro l'air hagard en tripotant ses quatre cordes de temps en temps, bref, c'est du CavaleraCore ultra Br00tal et bien teubé torché par des tâcherons du genre, le morceau suivant Terror Tactics aura la même saveur, ça joue toujours aussi vite, c'est toujours aussi con, c'est très punk dans l'esprit, et à mi-morceau ça va partir dans un délire tribal groove industriel complètement naze, ça n'a aucun sens, c'est du n'importe quoi, mais c'est souvent comme ça chez Cavalera Conspiracy, l'album précédent était déjà gavé de bidules industriels, il faut également noter que ce début d'album seront les moins mauvais moments de l'album et qu'à partir de là ça va piquer du nez et s'écraser lamentablement dans un océan de merde, attention, ça éclabousse.
Le bon vieux Deathcore groovy tribal ultra mou du genou et prévisible que nous sert Cavalera Conspiracy avec Impalement Execution plongera l'album dans l'ennui le plus total, c'est poussif, c'est plat, et ce n'est surement pas le stéréotypé petit moment nerveux au milieu du morceau qui va sauver le morceau de la médiocrité, un filler dès le troisième titre de l'album, bravo, ça en dit long sur le niveau d'inspiration des responsables du songwritting de ce furoncle, et c'est sans surprise que Spectral War sera un autre titre de CavaleraCore qui bande mou avec encore des trucs tribaux/industriels et des leads de Rizzo qui n'en finit plus de jouer le même solo depuis qu'il a rejoint les entreprises Cavalera il y a désormais plus de dix ans, c'est du travail à la chaîne dont il est question ici, personne n'en a rien a branler du songwritting, mais ça va encore empirer, ouais, c'est possible.
Comment faire pire? facile, il suffit de transformer le CavaleraCore en mauvaise contrefaçon de Ministry, c'est un peu ce qu'est Crom, une partouze grotesque qui ne devrait pas exister, et on ira encore plus loin dans l'indus avec Hellfire, qui renvoie directement au Metal industriel des années 90 que pratiquait Max avec Nailbomb, avec en guest vocal le Godlflesh Justin Broadrick qui est venu prendre un petit chèque en ne branlant pas grand chose sur ce morceau, Judas Pariah continuera sur la même tendance industrielle avec une première moitié ultra bourrine au tractopelle qui n'a aucun sens, c'est tellement bourrin que ça finit par n'avoir plus aucun impact, on parle de deux minutes de pilonnage qui en paraissent dix, t'as tout le temps de repenser à tous les mauvais choix de vie qui ont abouti à ta décision de te taper cet album de merde dont l'écoute s'avère aussi agréable que de courir un marathon avec la chiasse et une fissure anale, personne de sensé n'a envie de s'infliger ça, c'est pourquoi cette chronique s'arrête ici et que je vais vomir et me nettoyer les conduits auditifs à l'acide.
Je m'attendais à un album bourrin, redondant, linéaire, dégueulasse, surchargé de bidouillages industriels et de références forcées à du vieux Sepultura dans un ensemble CavaleraCore inaudible et bordélique... je ne suis donc absolument pas déçu de ce nouveau Cavalera Conspiracy, un album de merde, un de plus à mettre au crédit de notre sac poubelle brésilien et de son frangin le DJ, c'est la merde habituelle qui servira d'excuse à une nouvelle tournée, Psychosis est conforme à ce qu'est fondamentalement Cavalera Conspiracy, un Soulfly bourrin et thrashy versé dans l'industriel, un projet qui sert à faire de l'argent en permettant à Max d'être constamment en tournée, tant pis si le gars est rincé et à la limite du pathétique aujourd'hui, tant qu'il y aura des fans suffisamment cons pour adhérer à cette entourloupe...
Le début d'album est conforme à ce que le fan du projet est en droit d'attendre de ses idoles rincées, Insane est typique de ce retour au bourrinage Thrashy, ça n'a aucun intérêt, c'est forcé à mort, mais vue l'exigence du public auquel s'adresse le bouzin, ça fera largement l'affaire, on a donc un tabassage en règle, Iggor n'en a rien de branler de proposer un truc inventif, il est là pour fracasser ses fûts, Max n'en a rien à branler de la poésie, il passe son temps à gueuler le titre du morceau comme il le fait habituellement, ça joue vite, très vite même, ce qui veut donc dire que tu peux être sûr que Max ne joue pas dessus et qu'il laissera Rizzo faire tout le boulot sur scène pendant qu'il beuglera dans le micro l'air hagard en tripotant ses quatre cordes de temps en temps, bref, c'est du CavaleraCore ultra Br00tal et bien teubé torché par des tâcherons du genre, le morceau suivant Terror Tactics aura la même saveur, ça joue toujours aussi vite, c'est toujours aussi con, c'est très punk dans l'esprit, et à mi-morceau ça va partir dans un délire tribal groove industriel complètement naze, ça n'a aucun sens, c'est du n'importe quoi, mais c'est souvent comme ça chez Cavalera Conspiracy, l'album précédent était déjà gavé de bidules industriels, il faut également noter que ce début d'album seront les moins mauvais moments de l'album et qu'à partir de là ça va piquer du nez et s'écraser lamentablement dans un océan de merde, attention, ça éclabousse.
Le bon vieux Deathcore groovy tribal ultra mou du genou et prévisible que nous sert Cavalera Conspiracy avec Impalement Execution plongera l'album dans l'ennui le plus total, c'est poussif, c'est plat, et ce n'est surement pas le stéréotypé petit moment nerveux au milieu du morceau qui va sauver le morceau de la médiocrité, un filler dès le troisième titre de l'album, bravo, ça en dit long sur le niveau d'inspiration des responsables du songwritting de ce furoncle, et c'est sans surprise que Spectral War sera un autre titre de CavaleraCore qui bande mou avec encore des trucs tribaux/industriels et des leads de Rizzo qui n'en finit plus de jouer le même solo depuis qu'il a rejoint les entreprises Cavalera il y a désormais plus de dix ans, c'est du travail à la chaîne dont il est question ici, personne n'en a rien a branler du songwritting, mais ça va encore empirer, ouais, c'est possible.
Comment faire pire? facile, il suffit de transformer le CavaleraCore en mauvaise contrefaçon de Ministry, c'est un peu ce qu'est Crom, une partouze grotesque qui ne devrait pas exister, et on ira encore plus loin dans l'indus avec Hellfire, qui renvoie directement au Metal industriel des années 90 que pratiquait Max avec Nailbomb, avec en guest vocal le Godlflesh Justin Broadrick qui est venu prendre un petit chèque en ne branlant pas grand chose sur ce morceau, Judas Pariah continuera sur la même tendance industrielle avec une première moitié ultra bourrine au tractopelle qui n'a aucun sens, c'est tellement bourrin que ça finit par n'avoir plus aucun impact, on parle de deux minutes de pilonnage qui en paraissent dix, t'as tout le temps de repenser à tous les mauvais choix de vie qui ont abouti à ta décision de te taper cet album de merde dont l'écoute s'avère aussi agréable que de courir un marathon avec la chiasse et une fissure anale, personne de sensé n'a envie de s'infliger ça, c'est pourquoi cette chronique s'arrête ici et que je vais vomir et me nettoyer les conduits auditifs à l'acide.
Je m'attendais à un album bourrin, redondant, linéaire, dégueulasse, surchargé de bidouillages industriels et de références forcées à du vieux Sepultura dans un ensemble CavaleraCore inaudible et bordélique... je ne suis donc absolument pas déçu de ce nouveau Cavalera Conspiracy, un album de merde, un de plus à mettre au crédit de notre sac poubelle brésilien et de son frangin le DJ, c'est la merde habituelle qui servira d'excuse à une nouvelle tournée, Psychosis est conforme à ce qu'est fondamentalement Cavalera Conspiracy, un Soulfly bourrin et thrashy versé dans l'industriel, un projet qui sert à faire de l'argent en permettant à Max d'être constamment en tournée, tant pis si le gars est rincé et à la limite du pathétique aujourd'hui, tant qu'il y aura des fans suffisamment cons pour adhérer à cette entourloupe...
Track Listing:
1. Insane 03:50
2. Terror Tactics 04:57
3. Impalement Execution 04:25
4. Spectral War 05:03
5. Crom 05:29
6. Hellfire 03:10
7. Judas Pariah 03:52
8. Psychosis 03:59
9. Excruciating 06:22