N'y allons pas par quatre chemins, le Revival du Death Old-School, c'est de la merde, point barre, la nostalgie à deux balles, c'est pour les gamins idéalisant une époque qu'ils n'ont pas connu, pourtant, le Old School est à la mode, pas seulement dans le Death, ce qui implique que de nouveaux venus arrivent pour ressasser de vieilles recettes avec un son moderne, et que de vieilles gloires en profitent pour revenir en douce en surfant sur la vague.
Le Revival Death Old-School, c'est de la merde, mais malgré tout, il y a trois groupes qui sont sortis du lot avec une trajectoire identique, Morbus Chron, Horrendous, et Tribulation, avec à chaque fois la même histoire, un premier album à l'ancienne et bourrin où l'on sent quand même qu'il se passe quelque chose de différent, et un second disque qui pousse l'expérimentation plus loin en poussant le Death dans une autre direction, Sweven ou Ecdysis répondaient à cet impératif de ne pas s'enfermer dans des codes rigides, d'aller plus loin que la plupart des groupes de Death à l'ancienne, respectueux du genre, mais avec une vision plus large, c'était également le cas pour les suédois de Tribulation avec son second album The Formulas of Death, on était encore dans le Death, mais avec une réelle dimension progressive et une particulièrement gouleyante vibe psychédélique vintage et horrifique.
Partant du fait que Tribulation est un de mes chouchous du Death, vous vous imaginez bien que j'attendais beaucoup de ce troisième album, et comme le veut la tradition, quand t'attends trop d'un disque, t'es forcement déçu, malheureusement, The Children of the Night vient confirmer la règle...
Je me doutais bien que Tribulation n'allait pas nous re-pondre un Formulas of Death part 2, ni même revenir au Death primitif du premier album, l'évolution dans le son des suédois était attendue, je m'attendais donc à être surpris une fois encore, mais comme j'ai la foi, je m'attendais surtout à une nouvelle oeuvre éblouissante de la part des suédois, la claque ultime pour un disque qui aurait dû squatter mon classement de fin d'année en très bonne position, sauf que rien ne va se passer comme prévu ici, malheureusement.
Vous aimez le Death? DOMMAGE! Y'en a plus.
Le progressif, c'était cool le progressif dans le Death Metal, non? bah y'en a plus non plus.
Par contre, si vous aimez le Heavy Vintage, il va y en avoir, plein! pendant presque une heure en plus, du vintage, il ne va plus y avoir que ça jusqu'à l’écœurement.
Avec The Children of the Night, Tribulation se vautre complètement dans la catégorie groupe de Neo-Vintage quelconque où plus que du Tribulation, on va écouter ici un album ultra référencé où l'on va pouvoir name-dropper à l'envie tout un tas de vieilleries des années 80, c'est plutôt ballot, j'était quand même là pour écouter un album de Tribulation, pas forcément un empilement de références, car bien qu'empruntant presque tout aux vieilles gloires, et, il faut quand même l'avouer, parvenir à mélanger plus ou moins habilement pas mal de trucs assez hétéroclites, Tribulation ne va pas parvenir à faire du neuf avec du vieux.
En fait, c'est triste à dire, mais tout cela pue un peu l'opportunisme pour surfer sur la vague actuelle du vintage, de là à dire que la signature chez un gros label comme Century Media ait impacté la composition de l'album et la direction "à la mode" du bouzin, il n'y a qu'un pas que je vais m'empresser de franchir, car ouais, cet album pue l'air du temps, la volonté de coller aux tendances actuelles, et également d'attirer un public bien plus large et mainstream, The Children of the Night, c'est du racolage actif d'un groupe qui vend son cul de manière vulgaire, on aurait aimé que Tribulation mette ses couilles sur la table et aille encore plus loin dans l'inventivité et le détournement du Death Metal pour l'emmener dans une nouvelle direction, on se retrouve avec un disque qui pue la facilité et le retro-Heavy à la Ghost.
Le mot est lâché, Ghost (tout du moins le Ghost du premier album), c'est par là que va Tribulation, mais pas seulement, évidemment, car les références seront nombreuses, on citera le To Mega Therion de Celtic Frost, du bon vieux Heavy typé NWOBHM avec des leads qui semblent extraites de vieux Maiden, un peu de Punk Rock, du Heavy Doom, et une vibe horrifique psychédélique à la Hail Spirit Noir, sauf que Hail Spirit Noir, c'est bien, Tribulation qui essaie de faire du Hail Spirit Noir, c'est foireux, surtout que le côté progressif est passé à la trappe.
Adieu le Prog/Death teinté de vintage, bonjour le Rock occulte putassier dont le seul élément rappelant un tant soit peu que Tribulation fut un groupe de Metal extrême sera le chant flirtant constamment avec le Black Metal, ce qui au final fait sonner le disque de la même manière que si Ghost utilisait un chant Black, enfin, du Ghost en moins, car Tribulation n'a pas le côté catchy de ses compatriotes, ni même la science du refrain qui imprègne irrémédiablement votre cerveau, surtout, Tribulation va proposer des chansons bien trop longues et répétitives pour que l'album puisse réellement fonctionner, quasiment chaque morceau aurait pu être amputé d'une à deux minutes tant ça tourne très vite en rond et qu'au lieu d'apporter des twists progressifs, les suédois vont juste rallonger la sauce et étirant au maximum leurs compositions, si le but était de rendre la musique encore plus chiante, bravo, c'est très réussi.
Ce n'est pas l'évolution en tant que concept qui me gêne ici, ni même la disparition du Death, c'est juste qu'avec The Children of the Night, on assiste à l'annihilation de toute l'originalité dont pouvait faire preuve Tribulation sur son second album, difficile également de caractériser d'inventif un album de Heavy Retro, peu importe que le chant "extrême" ait été conservé, Tribulation utilise toutes les grosses ficelles habituelles des groupes de Vintage, et une fois de plus, jamais je n'ai le sentiment d'écouter un album de Tribulation, il faut dire aussi qu'on ne va pas être aidé par le côté répétitif du disque, notamment au niveau de ses atmosphères, car là encore, c'est un peu trop facile, une ambiance horrifique? bah on va mettre de l'orgue un peu partout, et c'est tout, rien d'autre, que dalle, c'est génial et révolutionnaire, non?
"Putain, il vont nous pondre dix fois le même morceau ou quoi?"
C'est précisément ce que je me suis dit la première fois que j'ai écouté l'album, et on était seulement au troisième morceau de la galette, Tribulation est devenu un one-trick pony qui n'a plus grand chose à dire passés les premiers titres de l'album, il n'y aura que de la redite par la suite, et c'est particulièrement triste de voir un groupe comme ça tourner en rond pendant presque une heure.
Sur le premier titre, comme il faut une ambiance horrifique vintage, on démarre avec de l'orgue, parce que voilà, c'est super original, et personne ne l'avait fait avant, et c'est parti pour la tambouille Heavy Rock psychédélique, un riff simple pas trop compliqué, une batterie pas agressive pour un sou, d'ailleurs en parlant de ça, ne vous attendez pas à un seul blast beat sur le disque hein, ni même une mandale dans la gueule bien speedée, pas de ça ici, un bon paquet de leads emprunté au Heavy à l'ancienne, et un growl typé Black histoire de faire extrême, c'est super putain...
On pourrait croire que l'album va démarrer enfin avec un Melancholia un poil plus Heavy au tempo enlevé, mais non, on a juste l'impression de se taper un Kvelertak en version Rock , quant à la suite, ce sera exactement la même tambouille, avec des références diverses, un morceau comme Winds flirte avec le Heavy Doom teinté de Black, un morceau plutôt martial qui se rapproche un peu de Bathory, et avec The Motherhood of God, on bifurquera dans le vieux Heavy avec des leads et des mélodies directement pompés chez Iron Maiden.
Le pire dans tout ça, c'est que ce genre de morceau, Tribulation le faisait déjà sur The Formulas of Death, mais à petite dose, et cela permettait d'amener de la variété et des aérations judicieuses au Death pratiqué à l'époque, surtout, il le faisait mieux, avec une tension supplémentaire, une ambiance plus crade et malsaine, bien plus flippante que le Heavy horrifique bas de gamme et racoleur pratiqué sur The children of the Night, par ailleurs, on aurait pu largement se passer des deux morceaux instrumentaux, le build-up de Själaflykt est plutôt bien foutu, mais n'abouti sur rien, le morceau s'arrête et le suivant prend le relais, même chose pour Cauda Pavonis, qui se retrouve posé là à l'arrache, ne servant même pas à amener le titre suivant, tout cela est bien entendu gavé des clichés habituels du Rock psychédélique, comme le médiocre et inutile Strains of Horror qui en plus se traîne en longueur durant six interminables minutes.
Il fut un temps où Tribulation était aventureux et presque novateur, il n'est l'est plus, et les suédois plongent dans le vintage pur et dur, un mélange entre Ghost, In solitude, Celtic Frost, Iron Maiden, et plein d'autres trucs de Heavy vintage et de Rock psyché, une somme de références alors que j'étais là pour écouter un disque de Tribulation, ça la fout mal quand même, mais merde, partir de The Formulas of Death pour aboutir à du Blackened Ghost, c'est tout ce que Tribulation avait à proposer?
Cette chronique, c'est bien entendu le reflet de ma déception, car il faut être réaliste, Tribulation propose malgré tout un bon ersatz blackisé de Ghost, avec une certaine qualité dans le mélange des genres, et si cet album avait été sorti par un autre groupe, je lui aurais peut-être collé un petit 3/5, tout en conservant les mêmes arguments, mais il s'agit de Tribulation là, et je ne peut pas me contenter de ça, la note sera donc plus dure, reflétant tout ma déception à l'écoute de ce disque.
Personne ne vit du Death Metal après tout, et Tribulation signe sur un gros label pour racoler un public mainstream avec une réorientation vers un genre à la mode, j'appelle ça de l’opportunisme personnellement, en tout cas la fin de mon histoire d'amour avec Tribulation.
Le Revival Death Old-School, c'est de la merde, mais malgré tout, il y a trois groupes qui sont sortis du lot avec une trajectoire identique, Morbus Chron, Horrendous, et Tribulation, avec à chaque fois la même histoire, un premier album à l'ancienne et bourrin où l'on sent quand même qu'il se passe quelque chose de différent, et un second disque qui pousse l'expérimentation plus loin en poussant le Death dans une autre direction, Sweven ou Ecdysis répondaient à cet impératif de ne pas s'enfermer dans des codes rigides, d'aller plus loin que la plupart des groupes de Death à l'ancienne, respectueux du genre, mais avec une vision plus large, c'était également le cas pour les suédois de Tribulation avec son second album The Formulas of Death, on était encore dans le Death, mais avec une réelle dimension progressive et une particulièrement gouleyante vibe psychédélique vintage et horrifique.
Partant du fait que Tribulation est un de mes chouchous du Death, vous vous imaginez bien que j'attendais beaucoup de ce troisième album, et comme le veut la tradition, quand t'attends trop d'un disque, t'es forcement déçu, malheureusement, The Children of the Night vient confirmer la règle...
Je me doutais bien que Tribulation n'allait pas nous re-pondre un Formulas of Death part 2, ni même revenir au Death primitif du premier album, l'évolution dans le son des suédois était attendue, je m'attendais donc à être surpris une fois encore, mais comme j'ai la foi, je m'attendais surtout à une nouvelle oeuvre éblouissante de la part des suédois, la claque ultime pour un disque qui aurait dû squatter mon classement de fin d'année en très bonne position, sauf que rien ne va se passer comme prévu ici, malheureusement.
Vous aimez le Death? DOMMAGE! Y'en a plus.
Le progressif, c'était cool le progressif dans le Death Metal, non? bah y'en a plus non plus.
Par contre, si vous aimez le Heavy Vintage, il va y en avoir, plein! pendant presque une heure en plus, du vintage, il ne va plus y avoir que ça jusqu'à l’écœurement.
Avec The Children of the Night, Tribulation se vautre complètement dans la catégorie groupe de Neo-Vintage quelconque où plus que du Tribulation, on va écouter ici un album ultra référencé où l'on va pouvoir name-dropper à l'envie tout un tas de vieilleries des années 80, c'est plutôt ballot, j'était quand même là pour écouter un album de Tribulation, pas forcément un empilement de références, car bien qu'empruntant presque tout aux vieilles gloires, et, il faut quand même l'avouer, parvenir à mélanger plus ou moins habilement pas mal de trucs assez hétéroclites, Tribulation ne va pas parvenir à faire du neuf avec du vieux.
En fait, c'est triste à dire, mais tout cela pue un peu l'opportunisme pour surfer sur la vague actuelle du vintage, de là à dire que la signature chez un gros label comme Century Media ait impacté la composition de l'album et la direction "à la mode" du bouzin, il n'y a qu'un pas que je vais m'empresser de franchir, car ouais, cet album pue l'air du temps, la volonté de coller aux tendances actuelles, et également d'attirer un public bien plus large et mainstream, The Children of the Night, c'est du racolage actif d'un groupe qui vend son cul de manière vulgaire, on aurait aimé que Tribulation mette ses couilles sur la table et aille encore plus loin dans l'inventivité et le détournement du Death Metal pour l'emmener dans une nouvelle direction, on se retrouve avec un disque qui pue la facilité et le retro-Heavy à la Ghost.
Le mot est lâché, Ghost (tout du moins le Ghost du premier album), c'est par là que va Tribulation, mais pas seulement, évidemment, car les références seront nombreuses, on citera le To Mega Therion de Celtic Frost, du bon vieux Heavy typé NWOBHM avec des leads qui semblent extraites de vieux Maiden, un peu de Punk Rock, du Heavy Doom, et une vibe horrifique psychédélique à la Hail Spirit Noir, sauf que Hail Spirit Noir, c'est bien, Tribulation qui essaie de faire du Hail Spirit Noir, c'est foireux, surtout que le côté progressif est passé à la trappe.
Adieu le Prog/Death teinté de vintage, bonjour le Rock occulte putassier dont le seul élément rappelant un tant soit peu que Tribulation fut un groupe de Metal extrême sera le chant flirtant constamment avec le Black Metal, ce qui au final fait sonner le disque de la même manière que si Ghost utilisait un chant Black, enfin, du Ghost en moins, car Tribulation n'a pas le côté catchy de ses compatriotes, ni même la science du refrain qui imprègne irrémédiablement votre cerveau, surtout, Tribulation va proposer des chansons bien trop longues et répétitives pour que l'album puisse réellement fonctionner, quasiment chaque morceau aurait pu être amputé d'une à deux minutes tant ça tourne très vite en rond et qu'au lieu d'apporter des twists progressifs, les suédois vont juste rallonger la sauce et étirant au maximum leurs compositions, si le but était de rendre la musique encore plus chiante, bravo, c'est très réussi.
Ce n'est pas l'évolution en tant que concept qui me gêne ici, ni même la disparition du Death, c'est juste qu'avec The Children of the Night, on assiste à l'annihilation de toute l'originalité dont pouvait faire preuve Tribulation sur son second album, difficile également de caractériser d'inventif un album de Heavy Retro, peu importe que le chant "extrême" ait été conservé, Tribulation utilise toutes les grosses ficelles habituelles des groupes de Vintage, et une fois de plus, jamais je n'ai le sentiment d'écouter un album de Tribulation, il faut dire aussi qu'on ne va pas être aidé par le côté répétitif du disque, notamment au niveau de ses atmosphères, car là encore, c'est un peu trop facile, une ambiance horrifique? bah on va mettre de l'orgue un peu partout, et c'est tout, rien d'autre, que dalle, c'est génial et révolutionnaire, non?
"Putain, il vont nous pondre dix fois le même morceau ou quoi?"
C'est précisément ce que je me suis dit la première fois que j'ai écouté l'album, et on était seulement au troisième morceau de la galette, Tribulation est devenu un one-trick pony qui n'a plus grand chose à dire passés les premiers titres de l'album, il n'y aura que de la redite par la suite, et c'est particulièrement triste de voir un groupe comme ça tourner en rond pendant presque une heure.
Sur le premier titre, comme il faut une ambiance horrifique vintage, on démarre avec de l'orgue, parce que voilà, c'est super original, et personne ne l'avait fait avant, et c'est parti pour la tambouille Heavy Rock psychédélique, un riff simple pas trop compliqué, une batterie pas agressive pour un sou, d'ailleurs en parlant de ça, ne vous attendez pas à un seul blast beat sur le disque hein, ni même une mandale dans la gueule bien speedée, pas de ça ici, un bon paquet de leads emprunté au Heavy à l'ancienne, et un growl typé Black histoire de faire extrême, c'est super putain...
On pourrait croire que l'album va démarrer enfin avec un Melancholia un poil plus Heavy au tempo enlevé, mais non, on a juste l'impression de se taper un Kvelertak en version Rock , quant à la suite, ce sera exactement la même tambouille, avec des références diverses, un morceau comme Winds flirte avec le Heavy Doom teinté de Black, un morceau plutôt martial qui se rapproche un peu de Bathory, et avec The Motherhood of God, on bifurquera dans le vieux Heavy avec des leads et des mélodies directement pompés chez Iron Maiden.
Le pire dans tout ça, c'est que ce genre de morceau, Tribulation le faisait déjà sur The Formulas of Death, mais à petite dose, et cela permettait d'amener de la variété et des aérations judicieuses au Death pratiqué à l'époque, surtout, il le faisait mieux, avec une tension supplémentaire, une ambiance plus crade et malsaine, bien plus flippante que le Heavy horrifique bas de gamme et racoleur pratiqué sur The children of the Night, par ailleurs, on aurait pu largement se passer des deux morceaux instrumentaux, le build-up de Själaflykt est plutôt bien foutu, mais n'abouti sur rien, le morceau s'arrête et le suivant prend le relais, même chose pour Cauda Pavonis, qui se retrouve posé là à l'arrache, ne servant même pas à amener le titre suivant, tout cela est bien entendu gavé des clichés habituels du Rock psychédélique, comme le médiocre et inutile Strains of Horror qui en plus se traîne en longueur durant six interminables minutes.
Il fut un temps où Tribulation était aventureux et presque novateur, il n'est l'est plus, et les suédois plongent dans le vintage pur et dur, un mélange entre Ghost, In solitude, Celtic Frost, Iron Maiden, et plein d'autres trucs de Heavy vintage et de Rock psyché, une somme de références alors que j'étais là pour écouter un disque de Tribulation, ça la fout mal quand même, mais merde, partir de The Formulas of Death pour aboutir à du Blackened Ghost, c'est tout ce que Tribulation avait à proposer?
Cette chronique, c'est bien entendu le reflet de ma déception, car il faut être réaliste, Tribulation propose malgré tout un bon ersatz blackisé de Ghost, avec une certaine qualité dans le mélange des genres, et si cet album avait été sorti par un autre groupe, je lui aurais peut-être collé un petit 3/5, tout en conservant les mêmes arguments, mais il s'agit de Tribulation là, et je ne peut pas me contenter de ça, la note sera donc plus dure, reflétant tout ma déception à l'écoute de ce disque.
Personne ne vit du Death Metal après tout, et Tribulation signe sur un gros label pour racoler un public mainstream avec une réorientation vers un genre à la mode, j'appelle ça de l’opportunisme personnellement, en tout cas la fin de mon histoire d'amour avec Tribulation.
Racolage Vintage
Track Listing:
1. Strange Gateways Beckon 04:28
2. Melancholia 05:16
3. In the Dreams of the Dead 05:52
4. Winds 06:51
5. Själaflykt (instrumental) 05:52
6. The Motherhood of God 05:23
7. Strains of Horror 06:14
8. Holy Libations 06:33
9. Cauda Pavonis (instrumental) 02:55
10. Music from the Other 07:03