Depuis un mois qu'a activement débutée la promotion du nouvel album du groupe de Corey Taylor, Slipknot a été davantage occupé à:
- Promouvoir son Festival en promettant de brûler de la merde de chameaux H24 pendant trois jours.
- Présenter ses nouveaux masques.
- Préserver le mystère concernant l'identité de ses nouveaux membres.
Parler de musique et de l'évolution artistique du groupe avec ce nouvel album? L.O.L
Bref, six ans après le déjà pas très glorieux All Hope is Gone, et comme ce n'est pas le décès de Paul Gray qui allait empêcher le groupe decachetonner sortir des disques, voilà que Slipknot est de retour, en ayant pris soin de gentiment prier son batteur Joey Jordison d'aller se faire foutre, loin, très loin, parce que c'est pas tout ça, mais faut faire du blé, et il n'était pas question pour Slipknot d'attendre que son batteur soit disponible.
Qu'est-ce que Slipknot en 2014? un groupe qui n'en a plus rien à branler de faire de la musique et qui vient faire du blé en capitalisant sur son statut de groupe iconique du Neo Metal, en misant tout sur l'imagerie et le marketing, donc ouais, .5: The Gray Chapter (notons la subtile référence à son bassiste décédé pour jouer sur l’empathie du public) est un naufrage absolu pour le groupe américain, et tout simplement une gigantesque daube qui pue les excréments de chameaux, une merde que rien ne viendra sauver tout au long de cette longue heure de purge, c'est ainsi, Slipknot s'est chié dessus et a étalé sa merde partout...
- Promouvoir son Festival en promettant de brûler de la merde de chameaux H24 pendant trois jours.
- Présenter ses nouveaux masques.
- Préserver le mystère concernant l'identité de ses nouveaux membres.
Parler de musique et de l'évolution artistique du groupe avec ce nouvel album? L.O.L
Bref, six ans après le déjà pas très glorieux All Hope is Gone, et comme ce n'est pas le décès de Paul Gray qui allait empêcher le groupe de
Qu'est-ce que Slipknot en 2014? un groupe qui n'en a plus rien à branler de faire de la musique et qui vient faire du blé en capitalisant sur son statut de groupe iconique du Neo Metal, en misant tout sur l'imagerie et le marketing, donc ouais, .5: The Gray Chapter (notons la subtile référence à son bassiste décédé pour jouer sur l’empathie du public) est un naufrage absolu pour le groupe américain, et tout simplement une gigantesque daube qui pue les excréments de chameaux, une merde que rien ne viendra sauver tout au long de cette longue heure de purge, c'est ainsi, Slipknot s'est chié dessus et a étalé sa merde partout...
Incorrect, provocateur, subversif, perturbant, effrayant, c'est par ces mots qu'était définie la musique de Slipknot du temps où le Neo Metal était à la mode, globalement il y a plus de dix ans, et même si les albums étaient plutôt médiocres, la capacité du groupe à choquer jouait à plein sur un public jeune et un peu con qui n'attendait rien d'autre pour jouer les rebelles de pacotilles, Slipknot, c'était le groupe de la rébellion adolescente qui sentait la sueur et le biactol, aujourd'hui, le monde a changé, la musique a changé, le Neo est aux oubliettes de l'histoire, et pourtant, Slipknot, lui, n'a pas changé d'un pouce, et s'appuie sur exactement les mêmes recettes dix ans plus tard, ce qui va être le premier problème de The Gray Chapter, le fait d'être un album profondément daté, dépassé, et même carrément has been par bien des aspects, de plus, le groupe en fait tellement pour apparaître encore menaçant et subversif qu'il va juste parvenir à se couvrir de ridicule.
The Gray Chapter est d'une telle nullité abyssale, effroyablement nul, passéiste au possible, daté, que même en étant fan de Neo ou fan de Slipknot, je ne vois pas comment on peut trouver cet album satisfaisant.
Slipknot ne fait ici qu'accumuler les pires clichés et les lieux communs, et pire encore, The Gray Chapter est mou, désespérément dépourvu de couilles, à croire que le mollasson Stone Sour a déteint sur le groupe.
C'est ainsi, à l'heure actuelle Slipknot n'a plus rien à offrir musicalement au monde à part une resucée absolument grotesque de ce qu'ils faisaient avant, au point de sombrer dans la fange de l'autoparodie, immonde recyclage sans intérêt destiné à plaire à un public peu exigeant qui achètera le bouzin uniquement car il sort du rectum d'un "gros" groupe et qu'une presse complaisante, comme à son habitude, mettra sur un piédestal, le qualifiant surement de retour gagnant pour un "géant" du "Metal".
The Gray Chapter réussit quand même un sacré tout de force, celui d'être composé de... ZERO bons riffs, le summum de la bêtise crasse et de la nullité groovy, riffs de merdes quelconques et passe-partout, pour un groupe qui essaie tellement de sonner bourrin qu'il ne produit absolument rien de pertinent pendant une heure, il suffit juste d'écouter Sarcastrophe pour se rendre compte du désastre, Nü Metal groovy crétin ultra daté, lourdingue, simpliste, avec des scratchs de DJ pour faire djeuns, putain de merde, niveau d'agressivité: néant, le chant de Taylor est tout bêtement foiré, avec son phrasé Hip-hop dégueulasse, on pourra juste se consoler en remarquant qu'il nous a épargné le refrain pop en chant clair sur ce titre, mais ne vous inquiétez pas, ce n'est que partie remise, dès le titre suivant, AOV va remettre à l'heure les pendules du refrain radio friendly inséré là-dedans au pied de biche, impossible de faire plus téléphoné que ça, et non, mettre un passage atmosphérique mystérieux là-dedans ne rend pas le morceau profond ou intelligent, c'est juste encore un putain de cliché.
Difficile de faire plus passe-partout qu'un titre comme Skeptic, une purge Groove très très conne qui semble échappée d'un album d'Ektomorf, c'est vous dire le niveau, ou pourra dire à peu près la même chose d'un Nomadic en mode bourrin, avec par dessus un refrain pop pausé là à l'arrache, et ce n'est pas fini, car le niveau de médiocrité général montera encore d'un cran avec The Negative One, encore du groove de merde avec une rythmique tribale tout ce qu'il y a de plus banal et un chant scandé qui plaira aux rebelles acnéiques, putain, c'est tellement à se pisser dessus de rire tellement on dirait du Soulfly, symbole de la pauvreté des riffs et du caractère redondant de la rythmique tribale.
Et encore, c'est le moins pire, car la galette réserve encore bien de mauvaises surprises et de morceaux vomitifs, la purge de Metal alternatif à l'ambiance sombre pour faire pleurer les Emo, check, The Devil in I s'en charge, mais que dire de Killpop, qui est... du pur Stone Sour, rien que ça, de la soupe minable et putassière, un peu à l'image de ce The One That Kills the Least, un titre mou de Rock alternatif avec un chant de puceau, globalement du Stone Sour avec des soubresauts plus violents qui n'ont pas grand chose à faire là, ce titre n'a aucun sens, et niveau incohérence, Lech va faire très fort, le genre de titre de remplissage qui ne va nulle part, un assemblage hétéroclite un peu WTF où l'on se demande bien où ces mecs veulent en venir, cela vaut pour le bordélique Custer, et l'on passera volontiers sous silence le dernier titre en forme d'outro atmosphérique toute nulle ou encore un Goodbye qui joue la carte de la tristesse, mais qui aboutit à un truc Emo pour adolescent à problème qui se taille les veines car son hamster est mort :c
Cet album n'a aucun sens, aucunes couilles, à aucun moment le groupe ne dégage quoi que ce soit, il n'est ni agressif, ni subversif, rate complètement sa cible quand il veut faire jouer la corde sensible, The Gray Chapter est juste une purge dégueulasse incohérente destinée à faire du blé, après tout, le groupe n'a pas hésité à dégager Jordison comme une merde, et l'ambiance en interne doit être bien dégueulasse, mais business is business, et l'on parle ici d'un paquet de fric, ce qui explique que Jim Root, renvoyé de Stone Sour après un simple coup de fil, cohabite ici avec Corey Taylor tout en continuant à lui chier dessus dans la presse concernant l'autre groupe, car soyons sérieux, quand Root balance At Least One Guy Is Only Concerned About Money, on devine bien qu'il parle de Taylor et non des autres qui ne sont que des mercenaires bien contents d'être là.
The Gray Chapter est une sorte d'éloge de la médiocrité, un album bancal, incohérent, qui pue le recyclage et la daube pop frelatée du début à la fin, si le but était de faire la "musique" la plus putassière et racoleuse possible, bravo, c'est très réussi, et nul doute que ce furoncle se vendra par palettes entières.
Slipknot est finalement un groupe un peu has been qui vit dans le passé, se contentant de nous recycler ses vieilles recettes, qui étaient déjà très connes et simplistes il y a plus de dix ans, avec l'avalanche de clichés que cela implique, Slipknot n'a plus rien à proposer à part de la provocation de pacotille qui fait aujourd'hui datée et complètement à côté de la plaque.
L'album réussit quand même une chose, foirer 100% des choses qu'il entreprend, ce qui est un véritable exploit, les riffs sont mauvais, le chant est une catastrophe, les rythmiques sont molles, les ambiances sont grotesques, il n'y a absolument rien à sauver de ce naufrage, The Gray Chapter est une monumentale daube qui pue la facilité et le foutage de gueule pur et simple, le plus mauvais disque de toute la discographie du groupe, poubelle...
The Gray Chapter est d'une telle nullité abyssale, effroyablement nul, passéiste au possible, daté, que même en étant fan de Neo ou fan de Slipknot, je ne vois pas comment on peut trouver cet album satisfaisant.
Slipknot ne fait ici qu'accumuler les pires clichés et les lieux communs, et pire encore, The Gray Chapter est mou, désespérément dépourvu de couilles, à croire que le mollasson Stone Sour a déteint sur le groupe.
C'est ainsi, à l'heure actuelle Slipknot n'a plus rien à offrir musicalement au monde à part une resucée absolument grotesque de ce qu'ils faisaient avant, au point de sombrer dans la fange de l'autoparodie, immonde recyclage sans intérêt destiné à plaire à un public peu exigeant qui achètera le bouzin uniquement car il sort du rectum d'un "gros" groupe et qu'une presse complaisante, comme à son habitude, mettra sur un piédestal, le qualifiant surement de retour gagnant pour un "géant" du "Metal".
The Gray Chapter réussit quand même un sacré tout de force, celui d'être composé de... ZERO bons riffs, le summum de la bêtise crasse et de la nullité groovy, riffs de merdes quelconques et passe-partout, pour un groupe qui essaie tellement de sonner bourrin qu'il ne produit absolument rien de pertinent pendant une heure, il suffit juste d'écouter Sarcastrophe pour se rendre compte du désastre, Nü Metal groovy crétin ultra daté, lourdingue, simpliste, avec des scratchs de DJ pour faire djeuns, putain de merde, niveau d'agressivité: néant, le chant de Taylor est tout bêtement foiré, avec son phrasé Hip-hop dégueulasse, on pourra juste se consoler en remarquant qu'il nous a épargné le refrain pop en chant clair sur ce titre, mais ne vous inquiétez pas, ce n'est que partie remise, dès le titre suivant, AOV va remettre à l'heure les pendules du refrain radio friendly inséré là-dedans au pied de biche, impossible de faire plus téléphoné que ça, et non, mettre un passage atmosphérique mystérieux là-dedans ne rend pas le morceau profond ou intelligent, c'est juste encore un putain de cliché.
Difficile de faire plus passe-partout qu'un titre comme Skeptic, une purge Groove très très conne qui semble échappée d'un album d'Ektomorf, c'est vous dire le niveau, ou pourra dire à peu près la même chose d'un Nomadic en mode bourrin, avec par dessus un refrain pop pausé là à l'arrache, et ce n'est pas fini, car le niveau de médiocrité général montera encore d'un cran avec The Negative One, encore du groove de merde avec une rythmique tribale tout ce qu'il y a de plus banal et un chant scandé qui plaira aux rebelles acnéiques, putain, c'est tellement à se pisser dessus de rire tellement on dirait du Soulfly, symbole de la pauvreté des riffs et du caractère redondant de la rythmique tribale.
Et encore, c'est le moins pire, car la galette réserve encore bien de mauvaises surprises et de morceaux vomitifs, la purge de Metal alternatif à l'ambiance sombre pour faire pleurer les Emo, check, The Devil in I s'en charge, mais que dire de Killpop, qui est... du pur Stone Sour, rien que ça, de la soupe minable et putassière, un peu à l'image de ce The One That Kills the Least, un titre mou de Rock alternatif avec un chant de puceau, globalement du Stone Sour avec des soubresauts plus violents qui n'ont pas grand chose à faire là, ce titre n'a aucun sens, et niveau incohérence, Lech va faire très fort, le genre de titre de remplissage qui ne va nulle part, un assemblage hétéroclite un peu WTF où l'on se demande bien où ces mecs veulent en venir, cela vaut pour le bordélique Custer, et l'on passera volontiers sous silence le dernier titre en forme d'outro atmosphérique toute nulle ou encore un Goodbye qui joue la carte de la tristesse, mais qui aboutit à un truc Emo pour adolescent à problème qui se taille les veines car son hamster est mort :c
Cet album n'a aucun sens, aucunes couilles, à aucun moment le groupe ne dégage quoi que ce soit, il n'est ni agressif, ni subversif, rate complètement sa cible quand il veut faire jouer la corde sensible, The Gray Chapter est juste une purge dégueulasse incohérente destinée à faire du blé, après tout, le groupe n'a pas hésité à dégager Jordison comme une merde, et l'ambiance en interne doit être bien dégueulasse, mais business is business, et l'on parle ici d'un paquet de fric, ce qui explique que Jim Root, renvoyé de Stone Sour après un simple coup de fil, cohabite ici avec Corey Taylor tout en continuant à lui chier dessus dans la presse concernant l'autre groupe, car soyons sérieux, quand Root balance At Least One Guy Is Only Concerned About Money, on devine bien qu'il parle de Taylor et non des autres qui ne sont que des mercenaires bien contents d'être là.
The Gray Chapter est une sorte d'éloge de la médiocrité, un album bancal, incohérent, qui pue le recyclage et la daube pop frelatée du début à la fin, si le but était de faire la "musique" la plus putassière et racoleuse possible, bravo, c'est très réussi, et nul doute que ce furoncle se vendra par palettes entières.
Slipknot est finalement un groupe un peu has been qui vit dans le passé, se contentant de nous recycler ses vieilles recettes, qui étaient déjà très connes et simplistes il y a plus de dix ans, avec l'avalanche de clichés que cela implique, Slipknot n'a plus rien à proposer à part de la provocation de pacotille qui fait aujourd'hui datée et complètement à côté de la plaque.
L'album réussit quand même une chose, foirer 100% des choses qu'il entreprend, ce qui est un véritable exploit, les riffs sont mauvais, le chant est une catastrophe, les rythmiques sont molles, les ambiances sont grotesques, il n'y a absolument rien à sauver de ce naufrage, The Gray Chapter est une monumentale daube qui pue la facilité et le foutage de gueule pur et simple, le plus mauvais disque de toute la discographie du groupe, poubelle...
Track Listing:
1. XIX
2. Sarcastrophe
3. AOV
4. The Devil in I
5. Killpop
6. Skeptic
7. Lech
8. Goodbye
9. Nomadic
10. The One That Kills the Least
11. Custer
12. Be Prepared for Hell
13. The Negative One
14. If Rain Is What You Want