Tiens, encore une nouvelle vidéo de Dark Tranquillity, et c'est la classe, surement pas leur meilleur titre, mais c'est DT, donc c'est toujours au dessus de la masse quoiqu'il arrive.
La vidéo à la classe également... par contre, les autres membres du groupe n'étaient pas dispo ? il n'y a que Mikael Stanne ici...
Gros programme cette semaine, donc un TV Metal en deux parties, avec du lourd, du léger, du pathétique, ou encore du marrant; du rire aux larmes, TV Metal vous entraîne une fois de plus sur les montagnes russes des sentiments. (cette phrase ne veut rien dire mais elle est plutôt jolie)
Je suis plutôt client de Devin Townsend habituellement, mais pour moi son Deconstruction restera comme une des grosses déceptions de l'année, le moment où Devin sombre totalement dans l'auto-parodie et ne propose plus qu'un gros foutoir composé de tout ce qu'il a déjà fait avant, jusqu'à l'indigestion.
Juular est correct, sans plus, c'est un format court et Devin n'a pas le temps de le foutre en l'air en partant dans ses délires.
Concernant la vidéo, j'ai rien compris, y'a un train et un vieux fou (Devin maquillé ? aucune idéé), c'est plutôt bien fait même s'il ne se passe finalement pas grand chose, et notons un cameo de ziltoid vers 3'20.
Il était temps, 4 ans après le gigantesque The blackening, Machine Head nous propose enfin son successeur, Unto the Locust, à la pochette très moche particulière...
Après 2 premiers brûlots indispensables sorti au mileu des années 90, Machine head s'était ensuite bien vautré avec des daubes infectes telles que "The burning Red" (un album médiocre mais qui est peut être l'un des meilleurs albums de Neo-Metal jamais sorti), "Supercharger" (beurk), et dans une moindre mesure "Through the ashes of empires" (dont le seul titre correct était l'énorme Imperium).
Heureusement, vint l'album de la résurrection que l'on attendait plus, "The Blackening", un disque fou, sombre, complexe, enchevêtrement génial de riffs Thrash et de soli typiquement Heavy, la bande de Robb Flynn transcendait son Power Metal et mettait tout le monde d'accord.
Autant dire qu'après un tel pavé, ce nouvel album était attendu au tournant.
Gros gadin ou autre coup de force ?
Ni l'un ni l'autre finalement, Robb Flynn botte tout simplement en touche et nous propose un album... moyen, avec le cul entre deux chaises et se mordant parfois la queue.
Au moins, ce bon vieux Robb n'a pas repris le Rap, c'est déjà ça de gagné...
Cette semaine, un TV Metal tranquille, un quinzaine de vidéos seulement, les groupes de Deathcore se sont calmés, j'apprécie... mais n'allez pas croire que la qualité a augmenté, loin de là, car on de la daube de chez daube à profusion, de la mèche qui vole et des breakdowns moisis, mais heureusement, pas que ça...
Il semble que The bronx casket Co, emmené par l'excellent DD Verni, bassiste d'Overkill, ait un nouvel album dans les tuyaux, aucune idée, j'ai pas suivi le truc.
Néanmoins, cette vidéo est vraiment excellente, je n'ai rien compris, c'est du noir et blanc, et il se passe des trucs bizarres, c'est à voir...
Une nouvelle fois, on ne peu pas dire que cet été fut particulièrement réjouissant sur le front des séries, en dehors des séries déjà installées qui faisaient leur retour (enfin la suite de Breaking Bad), rien au rayon des nouveautés, à part ce Wilfred qui sortait de nulle part sur FX, avec son pitch complètement hallucinant et halluciné. (Adaptation d'une sitcom australienne du même nom, que je n'ai pas vu)
Je n'y croyais pas trop, mais pourtant, Wilfred tient la route sur la longueur, et nous offre une première saison de 13 épisodes hilarante et bien plus profonde que prévue...
J'aime bien septembre, c'est le début du gros rush, plein de grosses sorties à l'horizon, jusqu'en novembre en gros.
J'ai écouté le nouvel Anthrax, c'est très moyen, le nouveau Dream Theater, qui est... juste un autre album de Dream Theater, rien d'autre, et je me suis emmerdé en écoutant le dernier furoncle album d'Opeth.
Voyons un peu ce qu'il y a de bandant dans les prochaines semaines...
Une fois de plus, on ne m'épargne rien, une nouvelle fois plus de 30 vidéos cette semaine, je n'ai pas le courage de compter, ça en fait des news pourraves sur les sites sérieux...
Heureusement, je vous fait économiser du click et du temps, le meilleur et surtout le pire des clips de Metal de la semaine, c'est parti.
L'année dernière, Nightfall sortait son nouvel album, pourtant très bon, dans l'anonymat le plus total, malgré un très joli clip pour le promouvoir, un an après, les grecs ne lâchent pas l'affaire et nous propose une seconde vidéo, qui est... bizarre.
Je dois bien avouer que je n'ai pas tout compris, il y a des dieux qui se battent, et surtout une vague d'énergie qui sort du vagin de Gaia, c'est étrange, mais visuellement je trouve ça vraiment bien foutu.
Enfin, 8 ans après le très bon We've come for you all, Anthrax est de retour avec son nouvel album.
8 ans qui auront vu Anthrax perdre une bonne partie de sa crédibilité avec la gestion catastrophique de ses chanteurs.
Alors on vire Bush comme une merde, on fait revenir Belladonna, qui se casse, alors on rappelle Bush, ensuite on engage Dan Nelson, qui se fait jeter comme une merde via Twitter, on rappelle Bush une fois de plus pour dépanner, et finalement Belladonna revient pour de bon, ou un truc comme ça, moi même je m'y perds. (il y avait eu aussi une embrouille avec Frank Bello je crois)
Bref, Il est là, tout chaud, le nouvel Anthrax avec son vieux chanteur, et malheureusement, on est loin d'atteindre des sommets avec ce Worship Music, pourtant, ça commençait assez bien...
Vader, c'est un peu un Opinel, c'est rustique, solide, efficace, et ça ne sert qu'à trancher, certes, c'est moins classe qu'un Laguiole, ça fait moins de truc qu'un couteau suisse, mais c'est une valeur sûre, à la qualité constante; Alors quand sort un nouvel album, on sait globalement où l'on met les pieds, ce sera une bonne déferlante de Death survitaminé et rugueux dans ta face...
De la mèche, du slim, du chant clair moisi, des breakdowns, putain encore un clip de We came as romans? aaaah non, autant pour moi, ce sont les français de Betraying the Martyrs et leur Christian Deathcore pitoyable, la différence avec WCAS ? une moustache !
A part ça, leur Crabcore est lamentablement commun et pénible...
La vache, pire que la semaine dernière, 26 vidéos quand même, cette fois-ci nous avons 32 vidéos au programme !!!!
On ne perd pas de temps, c'est parti pour la première salve.
Il fallait bien que ça arrive, ce vieux Has-been de Manson est de retour, avec un nouveau titre assez médiocre, et une vidéo que tout le monde annonçait comme choquante, mais qui n'est juste qu'une suite de scènes bizarres.
Autant l'avouer tout de suite, je n'ai que très peu suivi Opeth dernièrement, et depuis Blackwater Park, aucun album du groupe ne m'a réellement emballé.
Mais j'étais curieux d'écouter ce Heritage, qui s'annonçait comme un album complètement différent, pas de Death Metal, pas de growls, juste du Rock prog typé 70's, pourquoi pas après tout, ça pourrait être sympa.
En fait, non, ce nouvel Opeth est loin d'être une franche réussite.
Je ne vais pas jouer au vieux con et vous balancer du "C'était mieux avant" ou du "C'est plus du Metal", là n'est pas la question, je ne m'aventurerai même pas à comparer cet album avec la discographie du groupe, Opeth propose un album différent, soit, mais il faut se rendre à l'évidence, il se vautre complètement avec cet Heritage...
Decapitated, c'est 4 albums géniaux de Death Metal entre 2000 et 2006, et aussi un groupe brisé en 2007 sur une route russe quand leur tour bus percuta un camion, tuant le batteur Vitek et plongeant le chanteur Covan dans le coma.
Malgré tout, le guitariste Vogg, le frère de Vitek, ne lâche pas l'affaire et nous livre donc en 2011 un nouvel album, Carnival is forever, avec un line-up tout neuf.
Et franchement, il aurait mieux fait de s'abstenir...
Après un excellent EP sorti en mai dernier, Arkona nous revient donc avec son tant attendu nouvel album, Slovo (sorti le 26 Août chez Napalm records).
En tant que gros Fan boy d'Arkona et de Mascha Scream, autant vous dire que je l'attendais de pied ferme, avec malgré tout une certaine appréhension, ayant lu par-ci par-là quelques déclarations de Mascha, annonçant un album choquant et controversé (sic).
Le dernier album du groupe, Goi, rode, Goi!, m'avait enthousiasmé, et malgré sa longueur excessive (un gros pavé de 80 minutes), marquait un gros pas en avant pour les russes, et autant l'avouer tout de suite, ce Slovo est... différent.